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samedi, 19 décembre 2009

Hervé Morin au Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI



Hervé Morin invité du Grand Jury RTL - 13.12.09.

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vendredi, 18 décembre 2009

Retour chaleureux à Strasbourg

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J'ai été très heureuse de me rendre mercredi dernier au Parlement européen, à Strasbourg, afin d'assister dans les tribunes de l'hémicycle à la remise du Prix Sakharov.

L'occasion également de revoir beaucoup de personnes qui me sont proches, tels les députés européens Sophie Briard Auconie (qui a eu la gentillesse de m'accueillir) et Damien Abad, mon ex-assistante parlementaire Florence Rangeon ou encore Médéric Furon-Kuntzmann, Président des Jeunes Centristes d'Alsace (voir ci-dessous). Dans l'après-midi, j'ai également pu visiter le très célèbre marché de Noël!

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Prix Sakharov / Sergeï Kovalev : "L'Europe ne doit pas rester silencieuse"

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Le Prix Sakharov pour la liberté de pensée a été remis mercredi 16 décembre à l'association russe de défense des droits de l'homme Memorial et à ses trois représentants Oleg Orlov, Sergeï Kovalev et Lioudmila Alexeïeva. Ces derniers, qui s'étaient déplacés à Strasbourg pour recevoir le Prix, l'ont dédié à leurs compatriotes assassinés en Russie et dans les anciennes républiques soviétiques.
« Il y a des jours où je suis particulièrement fier de présider le Parlement européen, et aujourd'hui est l'un de ces jours », a déclaré Jerzy Buzek, soulignant l'importance qu'il attache au Prix Sakharov pour la liberté de pensée. Il a rendu hommage aux journalistes assassinés pour avoir défendu les droits de l'homme. « Natalia Estemirova et Anna Politkovskaïa auraient dû être ici aujourd'hui : leurs assassins doivent être traduits en justice », a-t-il martelé.

Au nom de l'association Memorial, Sergeï Kovalev a dédié le Prix Sakharov à tous ceux qui étaient morts pour avoir lutté pour le respect des droits de l'homme. Il a cité Natalia Estemirova, Stanislas Markelov, Anna Politkovskaïa, Anastasia Babourova, Nikolaï Girenko et Farid Babayev, précisant que malheureusement, la liste était encore bien plus longue. Les députés se sont levés pour leur rendre hommage.

« L'Europe ne doit pas rester silencieuse »

Sergeï Kovalev a par ailleurs nuancé la situation en Russie. Selon lui, « la situation n'est pas aussi simple qu'elle paraît. Nous avons beaucoup d'alliés dans la société - dans notre lutte pour les droits de l'homme comme dans celle pour faire la lumière sur le stalinisme. De plus, les autorités russes ne sont pas aussi monolithiques qu'elles semblent au premier abord ».

Un message d'espoir, qui ne doit pas cacher la nécessité pour l'Union européenne d'agir. « Qu'attendre de l'Europe ? Andreï Sakharov l'a très bien exprimé il y a vingt ans : ´mon pays a besoin d'être soutenu et mis sous pression'. (...) Il est du devoir de l'Europe de ne pas rester silencieuse mais, encore et toujours, de répéter, de rappeler et d'insister sur le fait que la Russie doit respecter ses engagements ».

« La liberté de pensée est à la base de toutes les autres libertés », a rappelé en conclusion Sergeï Kovalev, avant d'être, avec Oleg Orlov et Lioudmila Alexeïeva, longuement ovationné par les députés européens.

 

(Source : Communiqué de presse. Photo AFP).

3ème Prix du livre européen

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Pour sa troisième édition le Prix du livre européen a vu la création d'une nouvelle catégorie celle du roman. Ainsi, cette année deux livres ont été récompensés, un essai et un roman.

Ce Prix s'adresse à tous livres paraissant dans un des pays de l'Union européenne dans l'année pourvu qu'il s'agisse d'un essai ou d'un roman. Il est doté pour chacune de ses catégories de 10 000 euros. Le jury est composé de journalistes de neuf pays de l'UE. Cette année, il était présidé par Ezio Mauro, directeur de rédaction à La Repubblica.

Cette année, le Prix du livre européen dans la catégorie essai est revenu à Sylvie Goulard pour L'Europe pour les nuls. Le jury souhaitait récompenser l'auteur pour l'ensemble de son oeuvre et a apprécié « un véritable acte de foi en faveur de l’intégration communautaire » comme le précise dans son blog Jean Quatremer journaliste chez Libération et juré.

Dans la catégorie roman, c'est le journaliste polonais Mariusz Szczygiel qui a été primé pour Gottland. Ce livre est déjà édité en France aux éditions Actes Sud.

(Source : Actualitte.com).

 

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Constance Legrip va devenir députée européenne

CL.jpgLe départ de Michel Barnier pour la Commission européenne dans les semaines à venir fera une heureuse : Constance Le Grip, sixième sur la liste francilienne de l'UMP aux élections européennes. En cas de démission du Parlement européen, la loi prévoit en effet que le premier non-élu de sa liste bénéficie automatiquement de son siège.

A 48 ans, Constance Le Grip a notamment été conseillère de Nicolas Sarkozy lorsqu'il était ministre de l'Intérieur, avant d'être l'une des coordinatrices de la campagne présidentielle.

De 1986 à 1995, elle fut l'assistante parlementaire d'Alain Lamassoure.

Elle est aujourd'hui conseillère technique au cabinet du président de la République.

 

Pour consulter le trombinoscope des eurodéputés, rendez-vous sur le site Internet du Parlement européen.

jeudi, 17 décembre 2009

Premier du mois sacré (Awal Muharram)

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Je souhaite un bon Awal Muharram à tous mes amis et amies musulmans. Le nouvel an musulman célèbre le premier jour de l'émigration du prophète (Hégire). Awal Muharram a lieu demain 18 décembre.

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mercredi, 16 décembre 2009

Conseil municipal : Traditionnel dialogue de sourds!

Portrait-de-Gilles-Demailly-Maire-d-Amiens.jpgJeudi dernier avait lieu le Conseil Municipal. Comme il se doit, le maire et plusieurs adjoints ont présenté leurs priorités budgétaires, les travaux dans les écoles et le logement pour l'essentiel. Puis, plusieurs membres de l'opposition ont pris la parole pour le désormais traditionnel dialogue de sourds qui règne au Conseil Municipal d'Amiens.

En effet, le maire laisse longuement les membres de sa majorité aborder des sujets nationaux, leur permettant de dire tout le mal qu'ils pensent du président de la République et du gouvernement. Mais quand un membre de l'opposition ose demander ce que la majorité municipale va faire dans le domaine de l'enseignement supérieur ou encore de la politique de la ville ou des transports, le maire lui coupe sèchement la parole en indiquant que ces sujets sont de la compétence d'Amiens-Métropole (il faut préciser qu'Amiens-Métropole vote à son tour le budget cette semaine) !

Deux poids, deux mesures: c'est probablement cela la conception de la démocratie du maire d'Amiens...

Il y aurait encore beaucoup à dire sur le comportement de Gilles Demailly qui, en privé reconnaît volontiers qu'il faudrait aborder certains sujets de compétence métropolitaine au conseil municipal mais affirme le contraire en public...

Je m'attendais à ce que la presse relève ces incohérences mais il n'en a rien été. Peut-être est-il plus facile d'affirmer sans même vérifier que l'équipe municipale actuelle fait dix fois plus que la précédente en matière de logement ou de travaux dans les écoles.

Il faut donc conseiller à ceux qui veulent se faire une idée objective de suivre le conseil municipal sur Internet...

 

(Illustration : Portrait de Gilles Demailly par l'artiste Milano).

 

mardi, 15 décembre 2009

Hervé Morin au Conseil national de l'UDF-NC


Discours de cloture d'Hervé Morin lors du Conseil National du Nouveau Centre le 12 décembre 2009.

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Giscard approuve le projet de Morin de relancer le sigle UDF

Le ralliement d'Hervé de Charette et le soutien apporté par Valéry Giscard d'Estaing accroissent la légitimité du projet du président du Nouveau centre de faire revivre l'UDF, nom dont le Modem est aujourd'hui détenteur.

500ème note de ce blog : Merci à toutes et à tous pour votre fidélité car vous êtes chaque mois plus nombreuses et plus nombreux à venir consulter cet espace de libre expression.

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Après le ralliement d’Hervé de Charette, Hervé Morin enregistre un autre soutien de poids dans son opération reconquête du sigle «UDF», celui de Valéry Giscard d’Estaing. Manifestement nostalgique, l’ancien président de la République «estime que reprendre le nom de l’UDF serait la meilleure nouvelle qui soit».

C’est Hervé Morin qui a annoncé ce coup de pouce dans la foulée d’un petit déjeuner avec VGE, ce jeudi. «Il m’a dit: "cela me semble évident qu’il faut reprendre ce nom là".»

Le NC, partenaire de la majorité, tient samedi à Paris un Conseil national au cours duquel son président devrait confirmer sa volonté de récupérer le nom «UDF», aujourd’hui contrôlé par le Modem mais revendiqué par Hervé de Charette, qui a quitté l’UMP pour rejoindre le NC. Celui-ci est le premier a avoir déposé la marque UDF, en 2004, à l’institut national de la propriété industrielle (INPI). «Je voulais protéger les intérêts de la famille centriste et ceux de Giscard dans une atmosphère de querelles politiques entre les amis de Bayrou et ceux à l’intérieur de l’UMP», a-t-il justifié jeudi, invoquant un «acte de préservation de notre patrimoine politique».

«Acte de contrefaçon»

Ce dépôt est jugé illégal par le Modem qui a qualifié le projet de Morin «d’acte de contrefaçon» et brandit la menace d’une saisie des tribunaux en cas de passage à l’acte. En 2007, un congrès de l’UDF avait confié au Modem de François Bayrou le nom et le patrimoine de l’ancien parti à savoir son siège parisien.

Sans se soucier de cet épisode, Morin et Charette ont déjà tenté d’avancer et ont tenu, ce jeudi, une première réunion de travail pour «fixer les perspectives et thèmes majeurs qui pourraient être ceux de l’UDF», a expliqué le ministre de la Défense. Le rôle d’Hervé de Charette «dans la reconstruction du NC sur l’Ouest de la France» a également été évoqué.

Selon Hervé Morin, VGE a dressé «une analyse extrêmement lucide de l’évolution (...) de la famille centriste, dont le début de l’acte de décès remonte à la candidature d’Edouard Balladur à la présidentielle de 1995, où l’UDF avait décidé de ne pas présenter de candidat». «J’ai eu l’occasion de lui exposer quelles étaient les thématiques de cette société apaisée que nous voulons construire, de cet humanisme moderne qui correspond parfaitement, m’a-t-il rappelé, à la première partie de son septennat», a ajouté le ministre.

Façon aussi de prendre son autonomie vis-à-vis de l’UMP, deux ans après s’être rallié à Nicolas Sarkozy: «L’UMP est un parti important mais c’est le parti de la droite française et moi, je suis un homme du centre», a plaide Hervé de Charette, exprimant, au passage, son malaise sur la conduite du débat sur l’identité nationale.

 

(Source : AFP et Libération).

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Hervé de Charette au Conseil national de l'UDF-NC


Discours d'Hervé de Charette lors du Conseil National du Nouveau Centre le 12 décembre 2009.

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Hervé Morin dans "La Matinale" de Canal +



Hervé Morin, Ministre de la Défense et Président du Nouveau Centre est l'invité de Maïtena Biraben dans l'émission "la Matinale" le 8 décembre 2009.

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Anne-Marie Idrac et Hervé de Charette au NC!

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Le Nouveau Centre recrute. Le parti du ministre de la Défense, Hervé Morin, a annoncé hier le ralliement de deux personnalités de la majorité : la secrétaire d'Etat au Commerce extérieur, Anne-Marie Idrac, et le député de Maine-et-Loire Hervé de Charette. L'ancien ministre des Affaires étrangères d'Alain Juppé a expliqué qu'il quittait l'UMP pour rejoindre le Nouveau Centre afin de contribuer à la formation d'« une UDF nouvelle ». L'ex-parti giscardien « manque cruellement à la vie politique », a-t-il estimé. Interrogé sur le fait de savoir s'il autoriserait le Nouveau Centre à utiliser le sigle UDF, Hervé de Charette a répondu oui. Estimant que l'UMP n'était pas parvenu  à devenir « le grand parti de la droite et du centre », il s'en est pris en particulier au débat sur l'identité nationale, jugeant qu'on prenait les électeurs « pour des billes » en lançant cette consultation avant les régionales.

 

(Source : Les Echos).

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lundi, 14 décembre 2009

L'agenda de ma semaine

Agenda bleu.jpgLundi 14 décembre : Goûter des aînés avec le Comité de quartier Saint-Roch (Amiens).

 

Mardi 15 décembre: Rencontre avec une association d'Amiens-Nord.

 

Mercredi 16 décembre : J'assisterai à la remise du Prix Sakharov au Parlement européen à Strasbourg.

 

Jeudi 17 décembre : Permanence sans rendez-vous à Amiens.

Conseil d'Amiens-Métropole.

 

Vendredi 18 décembre : 20ème anniversaire de la Corpo de la faculté de droit d'Amiens.

 

Samedi 19 décembre : Séminaire de travail avec les élus municipaux de l'opposition amiénoise.

 

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dimanche, 13 décembre 2009

Hanukkah

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Je souhaite une bonne fête de Hanukkah à tous mes amis et amies juifs. Hanukkah, qui a commencé hier samedi, est la fête des lumières du candélabre qui brillèrent durant huit jours avec une seule fiole d'huile pour permettre la consécration du Temple après la victoire des Maccabées, importante dynastie de prêtres sur le Roi Antiochus, qui avait profané le site sacré. C'est le symbole de la victoire de la lumière sur les ténèbres où se complaisent les forces du mal.

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Début des fêtes de Noël en Suède

En Suède, pays qui assure actuellement la Présidence du Conseil de l'Union européenne, les fêtes de Noël débutent le 13 décembre, jour de la Sainte-Lucie, fête de la lumière. La fille aînée de la maison revêt une robe blanche et une ceinture rouge, et elle pose sur sa tête une couronne ornée de sept bougies. Le 24 décembre, les fenêtres sont décorées de petits luminaires. Ce n’est pas le Père Noël qui apporte les cadeaux, mais un lutin vêtu de gris, appelé Tomte.

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samedi, 12 décembre 2009

Conseil National du Nouveau Centre à Paris

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Conseil national


Notre projet pour les régions

Ce Samedi 12 décembre 2009, de 9h à 13h

au Théâtre du Gymnase à Paris
38, boulevard de Bonne-Nouvelle, Paris 10ème
Métro : Bonne Nouvelle (lignes 8 et 9)

 

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Le Président Obama a reçu son Prix Nobel de la Paix

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Barak Obama a officiellement reçu son Prix Nobel de la Paix ce jeudi à Oslo. Le Président américain a accepté cette distinction avec une grande humilité. Devant l’Académie Nobel, Obama a tenté de désamorcer les critiques ravivées par sa décision d’intensifier l’action militaire en Afghanistan. Et il souligné le paradoxe soulevé par le choix du jury des Nobel, alors qu’il entame tout juste son mandat.

Trompettes, grande tenues de gala, invités de marques, paillettes et applaudissements, le Comité Nobel a réservé un accueil à la hauteur du lauréat Obama.

En recevant son Prix Nobel, Barak Obama a défendu un droit à la guerre.

"Comparé à certains géants de l’histoire qui ont reçu le prix ... ce que j’ai accompli est peu" a précisé le président américain. Tout en justifiant son engagement en Afghanistan, "il y aura des moments où des pays, individuellement ou de concert, jugeront l’usage de la force non seulement nécessaire mais moralement justifié", le chef de la Maison blanche a affirmé faire œuvre de Paix. "La paix exige le sens des responsabilité. La paix impose des sacrifices. C’est la raison pour laquelle l’Otan est toujours indispensable."

Barak Obama, tout en paradoxe, ne veut pas renoncer à ses idéaux.

 

(Source : France Info).

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vendredi, 11 décembre 2009

Entrée en fonctions de Catherine Ashton

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La nouvelle Madame Europe de la diplomatie a passé son premier grand oral public, mercredi 2 décembre, devant le Parlement de Bruxelles, dès le lendemain de sa prise de fonction officielle. La baronne Catherine Ashton of Upholland, Britannique et travailliste, fraîchement élue haute représentante pour les affaires étrangères (et la politique de sécurité) par les vingt-sept dirigeants de l'Union européenne (UE), a participé à un "échange de vues" avec des eurodéputés de la commission des affaires étrangères. Une présentation informelle en attendant, en janvier, son audition officielle en tant que commissaire et vice-présidente de la Commission européenne.

Ceux qui se sont étonnés du choix de Lady Ashton,  inconnue hors du microcosme politique à Londres et à Bruxelles et dépourvue d'une expérience diplomatique notable, peuvent commencer à ravaler leur chapeau. En matière de rhétorique, la baronne a montré sa maîtrise parfaite des codes de la diplomatie : l'art des phrases rondes qui n'annoncent rien et ne fâchent personne. Le cadre, il faut dire, ne prêtait guère à autre chose : la haute représentante disposait presque chaque fois d'une minute trente pour répondre au bombardement de questions en désordre des eurodéputés. Et ceux-ci s'intéressaient autant aux relations commerciales avec le Sri Lanka qu'aux grandes questions du type : "Le respect des droits de l'homme est-il un préalable indispensable à toute négociation ?"

Lady Ashton s'est tirée de cet exercice impossible avec habileté, justifiant l'absence de toute vision ou d'initiative par la nouveauté de sa fonction. Elle a prôné une "diplomatie tranquille", "en coulisses", où "il faut parler mais aussi écouter". Sans trop d'audace, elle a dit que l'Europe devait aider à stabiliser l'Afghanistan, penser à imposer de nouvelles sanctions à l'Iran pour son programme nucléaire, promouvoir la relation transatlantique, "respecter les avis des Etats membres mais se rassembler au sein de l'Union". Elle ne s'est pas prononcée sur l'adhésion de la Turquie à l'UE.

A un député qui s'étonnait qu'elle ait été nommée à ce poste sans avoir été ministre des affaires étrangères, elle a répondu qu'elle avait "les qualités requises", au vu de son expérience dans les ministères, à la Chambre des lords et comme commissaire au commerce. "Je pense que je suis très intelligente", a-t-elle ajouté sans sourciller.

Trait d'humour

Son premier grand chantier sera la mise en place du service d'action extérieure. Le traité de Lisbonne ne dit pas s'il doit être rattaché à la Commission ou au Conseil et l'ambiguïté est déjà source de conflit entre les institutions. Lady Ashton s'est contentée de dire qu'elle conserverait son bureau dans le bâtiment de la Commission. Et a osé ce trait d'humour, sans grand succès : "Parce que là, je sais où se trouve le café."

La baronne a dû répondre de son passé de trésorière de Campagne pour le désarmement nucléaire (CND), une organisation britannique accusée d'avoir été soutenue par le bloc soviétique au début des années 1980. Elle a rappelé que "l'argent était récolté dans des seaux pendant les manifestations" et elle a assuré n'avoir "pas perçu directement de fonds de quelque pays communiste que ce soit". Qu'elle soit britannique, issue d'un pays réticent à toute idée de diplomatie européenne supranationale et dégagé de la charte des droits fondamentaux a aussi suscité des questions. "Je ne serai pas une extension du gouvernement britannique. Je prendrai un point de vue européen", a-t-elle promis.

(Source : Marion Van Renterghem, Le Monde).

Le Prix LUX du Parlement européen à Philippe Lioret

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Et le lauréat du Prix LUX est… « Welcome » ! Le long métrage du Français Philippe Lioret a convaincu les députés européens et sera donc sous-titré dans les 23 langues officielles de l'Union européenne. Il raconte l'histoire d'un maître-nageur de Calais qui aide un jeune réfugié kurde désireux de traverser la Manche à la nage pour rejoindre sa petite amie.

« Le Prix LUX est une initiative récente (il en est à sa troisième édition, ndlr) mais dont le Parlement européen attend beaucoup », a expliqué le Président du Parlement européen, Jerzy Buzek, juste avant d'annoncer le lauréat. « Au moyen du cinéma, nous espérons provoquer un débat public sur des questions qui nous concernent tous, et qui concernent en conséquence ce Parlement ».


Cette année, c'est donc le film « Welcome » du Français Philippe Lioret qui a été retenu. « Le film a eu un écho dans la société française qui m'a fait évoluer. Nous avons commencé cinéastes et avons fini citoyens », a expliqué le réalisateur français. Il a également expliqué son combat à l'Assemblée nationale à Paris pour faire modifier le projet de loi visant à pénaliser l'aide aux migrants illégaux.


Soutenir le cinéma européen par-delà les frontières linguistiques


Les députés européens étaient invités à visionner les trois films finalistes : « Welcome », « Eastern Plays » du Bulgare Kamen Kaleev et « Sturm » de l'Allemand Hans-Christian Schmid. Ils pouvaient ensuite voter pour élire le lauréat. « Welcome » sera sous-titré dans les 23 langues officielles de l'Union européenne, une aide à la diffusion estimée à 87 000 €.


Depuis 2007, le Parlement européen soutient la production cinématographique européenne en remettant ce prix. Il vise à dépasser les frontières linguistiques en soutenant la distribution du film lauréat dans toute l'Union européenne.

 

 

(Source : Site Internet du Parlement européen).

Il ya dix jours, dans la capitale portugaise, l'Union européenne célébrait l'arrivée du Traité de Lisbonne

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"C'est la journée du traité de Lisbonne, le jour d'un nouveau départ", a déclaré l'hôte et Premier ministre portugais, Jose Socrates.

"Nous sommes désormais capable de montrer au monde que l'UE sera mieux à même d'affronter les défis placés devant nous", a renchéri le Premier ministre suédois, Fredrik Reinfeldt, dont le pays exerce la présidence tournante de l'UE jusqu'au 31 décembre.

L'ancien Premier ministre Herman Van Rompuy, nommé premier président du Conseil européen, a déclaré pour sa part: "La construction de l'Europe a besoin d'être légitimée à tout moment".

Selon cet homme rompu à la discrétion et peu disert, le traité de Lisbonne constitue "un outil puissant à notre disposition pour relever les défis de notre temps".

Pour sa part, le président de la Commission européenne, le Portugais Jose Manuel Barroso, a déclaré: "Je suis ravi que nous disposions désormais des bonnes institutions pour agir ainsi que d'une période de stabilité, de manière à pouvoir concentrer toute notre énergie à satisfaire les besoins de nos citoyens".

La Commission, qui fait office d'exécutif de l'Europe, a souligné que l'UE porterait désormais tous ses efforts sur "la mise au point d'une stratégie de sortie en douceur de la crise économique et financière".

 

Sort incertain

 

L'entrée en vigueur du traité de Lisbonne marque une étape importante pour l'UE dans sa quête d'une influence plus étendue, mais on ne la voit encore guère se transformer en superpuissance mondiale.

Ce traité renforce les pouvoirs du Parlement européen et doit faciliter les prises de décision communautaires. Il crée un président du Conseil européen.

Il accroît les prérogatives du haut représentant pour la politique étrangère et de sécurité, un poste confié à la Britannique Catherine Ashton, qui supervisera un nouveau corps diplomatique.

Pour les partisans de Lisbonne, le traité prépare le terrain à une plus grande "visibilité" de l'UE dans le nouvel ordre mondial lié à l'ascension de puissances émergentes comme la Chine dans le contexte de la crise économique internationale.

Ses adversaires estiment que l'Union a justement compromis cette perspective en s'attachant à obtenir le soutien des 27 Etats membres au traité - qu'il a fallu huit ans pour négocier et ratifier - et en choisissant des personnalités discrètes pour les postes de président et de chef de la diplomatie.

Quoi qu'il en soit, toutes les parties conviennent que le changement sera lent. Il dépendra en grande partie de la manière dont les nouveaux dirigeants de l'UE exerceront leurs fonctions, ainsi que de la volonté des gouvernements de placer les besoins européens au-dessus des intérêts nationaux

Le sort du traité est resté incertain jusqu'à ce que l'Irlande l'approuve par référendum le 3 octobre à la seconde tentative, et que le président tchèque Vaclav Klaus renonce à s'y opposer. Il l'a signé le 3 novembre.

 

(Source : L'Express)

Composition de la nouvelle Commission européenne

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Treize commissaires sur 27 ne siégeaient pas dans la Commission sortante. Il y a 9 femmes contre 8 dans la Commission sortante :

Allemagne: Günther Oettinger (Energie)

Autriche: Johannes Hahn (Politique régionale)

Belgique: Karel De Gucht (Commerce)

Bulgarie: Rumiana Jeleva (Coopération, Aide humanitaire)

Chypre: Androulla Vassiliou (Education, Culture, Multilinguisme)

Danemark: Connie Hedegaard (Climat)

Espagne: Joaquin Almunia (Concurrence - Vice-président)

Estonie: Siim Kallas (Transports - Vice-président)

Finlande: Olli Rehn (Affaires économiques et monétaires)

France: Michel Barnier (Marché intérieur, services financiers)

Grèce: Maria Damanaki (Affaires maritimes et pêche)

Hongrie: Laszlo Andor (Emploi, Affaires sociales)

Irlande: Maire Geoghegan Quinn (Recherche et innovation)

Italie: Antonio Tajani (Industrie et entreprises)

Lettonie: Andris Piebalgs (Aide au développement)

Lituanie: Algirdas Semeta (Fiscalisté et union douanière)

Luxembourg: Viviane Reding (Justice, droits fondamentaux - Vice-présidente)

Malte: John Dalli (Santé et Protection des consommateurs)

Pays-Bas: Neelie Kroes (Nouvelles technologies - Vice-présidente)

Pologne: Janusz Lewandowski (Budget)

Portugal: José-Manuel Barroso (président)

République tchèque: Stefan Füle (Elargissement)

Roumanie: Dacian Ciolos (Agriculture)

Royaume-Uni: Catherine Ashton (vice-présidente, diplomate en chef de l'UE)

Slovaquie: Maros Sefcovic (Relations institutionnelles - Vice-président)

Slovénie: Janez Potocnik (Environnement)

Suède: Cecilia Malmström (Affaires intérieures).

Pierre de Boissieu, vigie de l'Europe

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PORTRAIT - Promu secrétaire général du Conseil européen, il est depuis dix ans la cheville ouvrière des négociations entre les Vingt-Sept à Bruxelles. Dans l'ombre, il se bat contre le charabia et la cacophonie qui brouillent le message de l'Europe.

Dans la grisaille bruxelloise, la silhouette trapue du Conseil européen est le navire amiral, face au triangle élongé de la Commission. De verre et de marbre sombre, le pouvoir politique cherche à en imposer. Un capitaine nouvelle formule, Herman Van Rompuy, s'apprête à prendre la barre. La vigie, elle, reste imperturbable. Elle monte quotidiennement à son poste avant 6 heures du matin. Depuis dix ans, l'Europe se lève tôt avec Pierre de Boissieu, pour «profiter au mieux des heures les plus productives, sans visiteur ni téléphone».

Homme de vision resté dans l'ombre, le secrétaire général du Conseil entretient sa légende et cultive l'ascétisme. Un bureau aux murs obstinément vierges pour ne pas distraire le regard, un mobilier Bauhaus devenu anodin, une bouilloire plutôt qu'une machine à expresso. L'homme à l'uniforme anthracite et bleu marine voyage peu. Il évite les dîners en ville. «Tout ce qui vient après 20 heures me paraît du temps perdu», lâche-t-il. Ce diplomate hors norme de 64 ans, promu jeudi par les Vingt-Sept, vient de changer de titre mais pas de fonction. Le distant cousin des De Gaulle va continuer à faire tourner la boutique, comme il le faisait comme secrétaire général adjoint, avec un humour décapant. Au bout d'une carrière vouée à l'Europe, il s'apprête à servir son premier président à temps-plein, «dans le bureau d'à côté». Fini les changements de maître à bord tous les six mois, Prague après Paris, Madrid après Stockholm. La nouveauté ? «La continuité, c'est-à-dire une plus grande cohérence dans l'action.»

Le premier bureaucrate d'Europe, débarqué à Bruxelles en 1978 dans les bagages de Francois-Xavier Ortoli, peut ne pas être tendre avec ceux qu'il a servis. La communauté s'est élargie de neuf à vingt-sept pays. Il a vu passer beaucoup de jeunes premiers et des anciens poussés vers la sortie. Il est resté et ne s'est pas fait que des amis. «C'est un personnage hors du commun, très fier et un peu vaniteux», dit l'un d'eux. Certains le trouvent arrogant, voire cassant. Les Français bien sûr lui pardonnent tout, parce qu'il est au cœur du réseau d'influence et de pouvoir de la République à Bruxelles. Trente ans de hauteur permettent d'y voir clair, bien au-delà de l'écume des jours. L'Europe a-t-elle changé ? Oui, parce qu'un marchandage quasi permanent entre chefs d'État et de gouvernement européens s'est substitué à la mission fédératrice des pères fondateurs. «Sous la génération précédente, le Conseil européen était vu comme une institution de responsabilité et gestion collectives, dit-il. Aujourd'hui, c'est le lieu où se confrontent les positions des États membres. La faute en revient à l'élargissement, bien sûr (…), mais aussi à une logique du donnant-donnant qui finit par nous bloquer en permanence.»

Nostalgie ? Sûrement. Pierre de Boissieu appartient à une génération qui passe, celle des grands commis de l'Europe. Ils ont voué toute leur existence à la construction et à la recherche d'intérêts partagés. Ils conjuguent la confiance de leur gouvernement à une véritable expérience communautaire, dit Alain Lamassoure, député européen après avoir dirigé les affaires européennes dans un gouvernement Chirac. Ils sont français - à l'image de Jean-Claude Trichet - mais pas seulement. «Si l'on est trop français ou trop franco-allemand, ça n'a aucune chance de décoller en Europe, observe l'ancien ministre. Il faut aussi compter avec les petits pays et Boissieu y excelle.» Discret au point de croire que c'est une preuve d'efficacité, le secrétaire général peut revendiquer sa part de paternité dans le dernier grand projet abouti du continent : l'euro. «Le sentiment européen subsiste là où il y a responsabilité collective, ce qui est précisément le cas de la monnaie commune», dit-il.

 

Une métaphore de la confusion

 

Le risque, aujourd'hui, serait de laisser l'UE s'étioler sans autre grand dessein pour l'avenir. La dépendance énergétique, l'éducation et la recherche ou encore la défense européenne sont les chantiers concrets sur lesquels devraient maintenant converger les besoins et les intérêts nationaux. «Nous n'avons plus besoin d'incantation», souligne-t-il. Pour ce lecteur de Proust et de Saint-Simon, l'urgence du moment est la reconquête du Verbe. «Il peut être plus difficile de s'exprimer que de penser», lâche-t-il. L'Europe est une construction lointaine pour ses habitants, elle devrait être au moins capable de se faire comprendre. Le traité de Lisbonne donne à l'UE ce que Henry Kissinger attendait depuis quarante ans : un numéro de téléphone, ou plutôt un visage. Il lui reste à émettre un discours intelligible. L'avenir de l'Europe dépendra de sa capacité d'expression. Depuis des années, Pierre de Boissieu tonne contre le charabia qui inonde l'Union européenne, du sommet jusqu'à la base. «Les rencontres des dirigeants devraient être le creuset d'une pensée claire, voire d'une identité d'analyse, plaide la vigie du Conseil. Ce qu'on obtient plus souvent, ce n'est pas du muscle mais de la cellulite. Des dizaines de pages de textes attrape-tout qu'aucun des Vingt-Sept ne lit de la même manière et que chacun présente en assurant qu'il a gagné. Ont-ils participé à la même réunion ? À entendre les conférences de presse nationales, il est permis d'en douter. Personne n'est dupe. Mais c'est précisément là que s'insinue le malaise européen.»

L'immeuble du Juste Lipse, siège massif du Conseil, est une métaphore de la confusion. Conçu avec plusieurs maîtres d'ouvrage pour refléter la diversité européenne, c'est un dédale où il ne fait pas bon s'aventurer sans guide. Une invraisemblable numérotation de la douzaine d'étages répartit les niveaux d'ascenseur de - 0,5 à + 90. Comprenne qui pourra. «Au bout de dix ans passés ici, je ne parviens à toujours pas à me repérer», avoue le secrétaire général. L'image vaut ce qu'elle vaut, Pierre de Boissieu la poursuit pour esquisser la mission prioritaire du nouveau président du Conseil : livrer un message européen clair au nom des Vingt-Sept et s'assurer que «leurs conclusions seront aussi brèves que possible». Avare de ses mots, grand amateur de haïkus japonais en trois vers et dix-sept pieds, Herman Van Rompuy ne devrait pas le décevoir.

 

(Source : Le Figaro).

jeudi, 10 décembre 2009

Noël : 2000 ans plus tard...

2000 ans plus tard, certains naissent et meurent toujours dans des crèches pendant que d'autres s'adonnent à une frénésie de consommation...

mercredi, 09 décembre 2009

Un beau cadeau de la part de ma "marraine" européenne!

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COMMUNIQUE DE PRESSE

 

 Mardi, 8 décembre 2009

 

Nicole Fontaine devient la

Présidente d’honneur des Amis de Brigitte Fouré

 

 

Le conseil d’administration de l’association des Amis de Brigitte Fouré a validé hier soir le fait que Madame Nicole Fontaine ait accepté la proposition qui lui avait été faite par l’ancienne Maire d’Amiens de devenir la Présidente d’honneur de l’association.

 

 

Dans une lettre adressée aux Amis de Brigitte Fouré, Nicole Fontaine écrit :

 

« En plus de vingt ans de présence au Parlement européen, j’ai assisté de près à une formidable aventure : l’unification économique, sociale et politique de notre continent.

 

Cette aventure se poursuit aujourd’hui. De nombreux défis restent à relever, notamment celui d’une écologie responsable en vue d’un environnement maîtrisé ou encore la lutte pour le droit des femmes.

 

C’est à chacun de nous de donner un peu à l’Europe chaque jour, et non l’inverse, afin de toujours plus construire notre destin commun à près de 500 millions d’Européennes et d’Européens.

 

Au cours de son passage au sein de l’assemblée européenne, j’ai pu apprécier les qualités de rigueur et de travail de Brigitte Fouré, tout comme son enthousiasme envers le projet européen. J’ai pu être témoin de tout cela car le hasard du classement alphabétique nous avait placées côte à côte dans l’hémicycle !

 

Je me réjouis aujourd’hui du travail que Brigitte continue à mener auprès des citoyens afin de relayer la construction européenne à l’échelon local et régional. C’est pourquoi je suis très honorée de sa proposition et j’accepte ainsi la présidence d’honneur de son association.

 

Longue vie aux Amis de Brigitte Fouré ! »

 

 

Nicole Fontaine a été députée européenne, Présidente du Parlement européen de 1999 à 2002 et Ministre déléguée à l’industrie de 2002 à 2004. Madame Fontaine est avocate au barreau des Hauts-de-Seine.

 

 

CONTACT PRESSE – 03 22 72 86 50

Femmes au Centre 80 : c'est parti!

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COMMUNIQUE DE PRESSE

 

 

Jeudi, 3 décembre 2009

Lancement du club de réflexion Femmes au Centre dans la Somme

Fabrice Hinschberger en sera le référent

 

Dimanche 30 août 2009, dans le cadre des Universités d'été Jeunes Centristes - Nouveau Centre, " en off " du programme officiel, des militantes, militants et élues Nouveau Centre et Jeunes Centristes, (près d'une trentaine de personnes) dont Sophie Briard Auconie, députée européenne de la région Massif Central - Centre, Mireille Benedetti, conseillère régionale PACA, Catherine Morin-Desailly, sénatrice de Seine-Maritime, Brigitte Fouré, se sont réunis afin de créer un club de réflexion Femmes au Centre, à l'initiative de Karin Tourmente-Leroux, conseillère municipale en Haute-Normandie.

Elles ont été rejointes par Colette Le Moal, députée des Yvelines et Valérie Létard, Secrétaire d'Etat auprès du ministre d'Etat, ministre de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement durable et de la Mer, en charge des Technologies vertes et des Négociations sur le climat.

Ce groupe, répondant à un besoin réel, s'interroge sur " la place de la femme dans la société, ses libertés et ses actions".

Il est apolitique mais contribuant au projet politique du Nouveau Centre, en apportant des propositions issues de commissions de travail.

Depuis, un peu partout en France, des antennes Femmes au Centre voient le jour. Aussi, le lancement de la délégation de la Somme aura lieu à Amiens le mercredi 6 janvier 2010 dans le cadre des Cafés-Europe de Brigitte Fouré, en présence de Karin Tourmente-Leroux, Présidente déléguée de ce club.

Le référent Femmes au Centre de la Somme désigné par la députée européenne Sophie Briard Auconie, Présidente de Femmes au Centre, est Fabrice Hinschberger. Car ce club de réflexion est ouvert à tous et réunit des femmes et des hommes de toutes confessions.

 

Hervé Morin favorable à l’adoption par les couples de même sexe

« J’ai accepté cette mission lorsque j’ai vu Hervé Morin, Président du Nouveau Centre, il ya peu prendre position en faveur de l’adoption par les couples de même sexe dans La Matinale de Canal +.

Cela fait longtemps que je soutiens une telle réforme et je compte bien réfléchir sur ces questions avec les hommes et les femmes qui nous rejoindront au sein de la délégation pour la Somme de Femmes au Centre.

Avoir été l’assistant parlementaire de Brigitte Fouré au Parlement européen, seule femme élue Maire d’Amiens jusqu’à présent, m’a également conféré une responsabilité particulière dans le cadre de la lutte pour le droit des femmes, mais, bien au-delà, de toutes les minorités.

De plus, le fait que la députée européenne Sophie Briard Auconie soit la présidente de ce club m’a poussé à accepter car c’est une élue de terrain qui connaît le prix d’un ticket de métro ou d’une baguette de pain, contrairement à beaucoup d’élus  qui se complaisent dans des discussions de salons complètement déconnectées de la réalité vécue par nos concitoyens » a déclaré Fabrice Hinschberger.

 

Sophie Briard Auconie présente à Bertangles le 9 janvier prochain

 

D'ores et déjà des thématiques de travail ont émergé : le divorce, les femmes au foyer, les femmes et la retraite, l'adoption, les familles monoparentales, les parents et les enfants malades, l'aide aux femmes issues de l'immigration, la bioéthique, les systèmes de garde des enfants, les privations de libertés, les femmes en prison, l'homoparentalité, la fin de vie, la parité et le travail / le télétravail, les violences familiales, et bien entendu les femmes et la politique !

Les membres de Femmes au Centre se réuniront pour participer aux grands rendez-vous politiques du Nouveau Centre.

L’adhésion à Femmes au Centre est de 10 euros. La présidente nationale du club, Sophie Briard Auconie, sera en outre présente en tant qu’invitée d’honneur le samedi 9 janvier prochain à la salle polyvalente de Bertangles dans le cadre des vœux annuels prononcés par Brigitte Fouré (qui est aussi l’une des vice-présidentes nationales de Femmes au Centre).

 

INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES et CONTACT PRESSE :

Délégation Femmes au Centre de la Somme (Référent : Fabrice Hinschberger)

10, rue Jean Calvin - 80000 AMIENS

03 22 72 86 50 / 06 75 16 46 87

femmesaucentre80@gmail.com

mardi, 08 décembre 2009

Ouverture du sommet de Copenhague

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Les signaux d’alerte sont multiples : une fonte des glaces en accélération, le niveau des mers en augmentation, des catastrophes naturelles à répétition, des forêts en disparition, une biodiversité en danger… Sous l’égide de l’ONU, les dirigeants de la planète se donnent rendez-vous, du 7 au 18 décembre 2009, à Copenhague, au Danemark, pour un grand sommet de lutte contre le changement climatique. Objectif : parvenir à un accord sur la réduction des gaz à effet de serre, principale cause du réchauffement de la Terre, et limiter la hausse moyenne des températures à 2 °C.

Ce sommet a pour ambition de prévoir l’après-Kyoto, seul accord mondial sur le climat signé en 1997 et dont les engagements expirent en 2012. Il impose à 38 pays industrialisés une réduction d’au moins 5 % des quantités des gaz à effet de serre par rapport aux niveaux de 1990. Mais quatre ans après son entrée en vigueur, le bilan reste mitigé. Les discussions s’annoncent difficiles. Le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), Prix Nobel de la paix en 2008, préconise une réduction de 25 % à 40 % en dessous du seuil de 1990 d'ici à 2020 et de 50 à 85 % d'ici à 2050.

Les réticences de nombreux pays dont les États-Unis − qui n’ont jamais ratifié le protocole de Kyoto − et la Chine, les plus gros pollueurs de la planète, font craindre l'échec du sommet. Malgré la venue très attendue de Barack Obama, qui contraste avec l'attitude américaine de la précédente administration, les États-Unis ne seraient prêts à consentir que 4 % de réduction.

Quant à l’Arabie Saoudite, chef de file des pays producteurs de pétrole, elle ne semble pas déterminée à faire un quelconque sacrifice tant les enjeux économiques sont grandes.

Cependant, les signes de bonne volonté se font nombreux. L'Union européenne promet une réduction de 20 à 30 % en fonction des engagements des autres pays industrialisés. L'Inde a annoncé des chiffres allant de − 20 à − 25 %. Le Japon est prêt à réduire ses émissions carboniques de − 25 %. Reste à tenir ses promesses, le travail qui est de loin le plus difficile des hommes politiques.Face à la montée des océans, les États côtiers verront leurs frontières profondément modifiées. D'autres, à l'instar des Maldives, disparaîtront. Des millions de personnes, pauvres pour la plupart, sont directement menacés alors même que le statut de réfugiés climatique est encore inconnu du droit international. Des milliers de personnes sont d’ores et déjà forcées à migrer vers d’autres contrées.

Pour la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), 66 milliards d'euros d'aide par an d'ici à 2030 sont nécessaires pour permettre à ces États de s'adapter au changement. Une somme colossale dont devra discuter les pays développés au sommet danois, perçu comme celui de la dernière chance pour les écologistes et les mouvements altermondialistes.

En savoir plus :
www.copenhague-2009.com
Onze ONG (Action contre la faim, Care, FIDH, Fondation Nicolas Hulot, Greenpeace, Les Amis de la Terre, Médecins du monde, Oxfam France – Agir ici, Réseau action climat France, Secours catholique et WWF) ont lancé la campagne « L’ultimatum climatique ». Elles appellent à la mobilisation internationale − notamment par le biais d'une pétition en ligne, ayant pour objectif d'atteindre 1 million de signatures − pour obtenir à Copenhague 2009 un accord à la hauteur des enjeux climatiques.

La France présidera le G20 en 2011

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SOMMET - Les dirigeants l'ont annoncé le vendredi 23 septembre en clôture de celui de Pittsburgh...

Quelle ville française devra se préparer à vivre un état de siège dans deux ans? On ne le sait pas encore. Mais le vendredi 23 septembre, les chefs d'Etats et de gouvernement du G20, réunis à Pittsburgh (notre photo) ont annoncé dans leur communiqué final qu'ils se retrouveraient deux fois en 2010, au Canada et en Corée du Sud, et une fois en 2011, en France.

Les 20 pays riches et émergents formant le G20 ont décidé de faire de cette enceinte le principal forum de coopération économique mondial.

Importance accrue par la crise

Le G20 s'est réuni trois fois en sommet en moins d'un an, la crise économique et financière ayant accru son importance par rapport au G8, club des pays les plus riches de la planète ne comprenant pas les grandes économies émergentes comme la Chine, l'Inde ou le Brésil. Le rythme ralentira en 2010, avec deux sommets, et ensuite, il devrait retomber à une rencontre annuelle.

Au cours des 12 derniers mois, le premier sommet du G20 a eu lieu en novembre à Washington, le second à Londres en avril et le troisième s'est déroulé jeudi et vendredi à Pittsburgh. Le G20, créé en 1999, rassemblait à l'origine les ministres des Finances et les gouverneurs des banques centrales des 20 plus importantes économies de la planète.

 

(Source : 20 minutes)

10:57 Publié dans Monde | Lien permanent | Commentaires (0)

lundi, 07 décembre 2009

L'agenda de ma semaine

Agenda bleu.jpgLundi 7 décembre : Conseil d'administration de l'association de mes amis.

 

Mardi 8 décembre : Comité Exécutif du Nouveau Centre à Paris.

 

Mercredi 9 décembre : Réunion du Nouveau Centre de la Somme en présence de François Sauvadet, Député, Président du Conseil Général de la Côte d'Or et Président du groupe des députés NC à l'Assemblée Nationale.

 

Jeudi 10 décembre: Permanence sans rendez-vous à Amiens.

Conseil municipal d'Amiens (vote du Buget Primitif 2010).

 

Samedi 12 décembre: Conseil national du Nouveau Centre à Paris au sujet des élections régionales.

 

Dimanche 13 décembre: Fête de Noël organisée par le Comité de Quartier Renancourt, à Amiens.

 

08:00 Publié dans Mon Agenda | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 06 décembre 2009

Fête des Lumières à Lyon

Les plus belles images en musique de la fête des lumières à Lyon entre 2005 et 2008. Cette fête a lieu cette nuit même et ces jours-ci dans la Capitale des Gaules. J'ai eu la chance d'y participer l'an dernier dans le cadre de la Convention régionale des Jeunes Centristes de Rhône-Alpes, qui a vu l'élection de Jérémy Coste à la présidence de cette fédération.

Je sais que la fête des lumières est vécue intensément par toutes les Lyonnaises et tous les Lyonnais et je veux leur dire que je pense beaucoup à eux en ce moment, notamment aux nombreux amis qui me sont chers là-bas...

00:53 Publié dans Traditions | Lien permanent | Commentaires (0)

samedi, 05 décembre 2009

Bonne humeur

La grande période des bêtisiers va bientôt commencer. Cette exercice n'échappe pas à la politique. Retours sur les moments récents les plus drôles de la vie politique...