mercredi, 25 septembre 2024
Hommage à Loïc Résibois, un serviteur dévoué à notre Ville
09:03 Publié dans Amiens, Amiens Métropole, En mémoire, Hommages | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 08 mai 2013
Armistice 1945 : Souviens-toi...
08:00 Publié dans En mémoire, Europe, France, Traditions | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 01 juin 2011
Pour Brigitte Fouré, « Léon Lamotte nous laisse une œuvre au message impressionnant »
Brigitte Fouré, Conseillère Générale de la Somme et ancien Maire d’Amiens, fait part de sa très grande tristesse suite au décès de l’artiste Léon Lamotte, survenu le 22 mai dernier dans sa 100ème année.
« J’ai eu la chance de le revoir deux jours avant son décès. Malgré la souffrance de la maladie, il avait gardé toute sa lucidité et était très préoccupé par la situation économique et sociale de notre pays. Ses dernières paroles à mon encontre résonnent en moi comme un testament pour la femme publique que je suis » a déclaré Brigitte Fouré.
L’œuvre de Léon Lamotte se matérialise dans des collections particulières et aussi sur des édifices et places publiques. Beaucoup de rues de notre ville d’Amiens et de lieux du Nord de la France abritent à jamais ses créations. Rappelons aussi que Léon Lamotte a notamment, au cours de sa longue carrière artistique, restauré les dosserets des stalles de la Cathédrale Notre-Dame d’Amiens, plusieurs façades de la Grand-Place d’Arras ou la statue de Napoléon Ier à Boulogne-sur-Mer.
Citons enfin, à Amiens, la statue de Saint-Antoine que l’on peut apercevoir dans la rue de Noyon ou celle en hommage aux mutilés du travail, dans un square situé Place Joffre, qui est une œuvre d’une force incroyable et que l’association des Amis de Brigitte Fouré fleurit chaque 1er Mai, jour de la fête du Travail.
Brigitte Fouré tient à ajouter : « Par son œuvre foisonnante, Léon Lamotte aura permis de faire se rapprocher les hommes et les femmes de bonne volonté.
En 2007, animé du souci de transmettre son savoir et son savoir-faire, il avait fait donation de sa maison à Amiens Métropole afin que celle-ci soit comme le reflet vivant de son œuvre pour les générations futures.
Puissions-nous désormais être à la hauteur de l’impressionnant message qu’il nous laisse ».
Léon Lamotte était membre de l’association des Amis de Brigitte Fouré et avait participé, entre 2007 et 2009, au conseil « Amiens Horizon Europe », instance composée d’une quinzaine de membres issus de la société civile et chargée de rédiger un livre bleu « Amiens à l’horizon 2050 », lorsque Brigitte Fouré exerçait le mandat de députée européenne. Ce livre bleu avait été remis le 25 mars 2009 à Hans-Gert Pöttering, alors Président du Parlement européen. Dans ce livre bleu, il écrivait notamment : « Récemment, une dame m’a dit : « L’Europe, on s’en fiche ! » J’ai vécu les deux guerres mondiales. Je lui ai répondu : « Madame, grâce à l’Europe, cela fait soixante ans que nous sommes en paix ! »
Les obsèques de Léon Lamotte ont eu lieu dans la plus stricte intimité.
Un hommage public lui sera rendu ultérieurement en la Cathédrale Notre-Dame d’Amiens.
CONTACT PRESSE
06 47 54 95 47
mercredi, 11 mai 2011
Hommage à Nisso Pelosof
Nisso Pelosof, Père des hortillonnages d'Amiens et rescapé de la Shoah, nous a quittés samedi dernier à l'âge de 90 ans.
Ce Grand Homme laissera une très grande trace dans notre ville d'Amiens.
18:18 Publié dans Amiens, Amiens Métropole, Culture, Ecologie et développement durable, En mémoire, Hommages, Tourisme, Traditions, Vie associative | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 15 février 2011
Le 1er Prix Henri Fouré décerné à Anne-Sophie Aubriot
19:49 Publié dans En mémoire, Santé, Science, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 24 novembre 2010
Les Amis de Brigitte Fouré en Pologne
L'association des Amis de Brigitte Fouré a effectué sa sortie annuelle du 11 au 13 novembre dernier en Pologne.
08:00 Publié dans En mémoire, Les Amis de Brigitte Fouré - NEA | Lien permanent | Commentaires (0)
Auschwitz : un lieu indicible...
L'association de mes amis avait décidé de se rendre à Auschwitz. En ce jeudi 11 novembre, nous étions donc en ces lieux de mémoire.
On sait bien, grâce aux documentaires, aux livres, aux photos, ce qui s'est passé là-bas mais on le sait comme si cette connaissance venait de l'extérieur. Quand on est sur place, on le ressent de l'intérieur et on est saisi par une indicible émotion. Ici, les briques des bâtiments et les cailloux des chemins parlent et disent l'horreur de la barbarie...
Seul le silence peut y répondre. Et tous les visiteurs gardent le silence.
Car que dire devant les tonnes de cheveux ou encore les milliers de paires de chaussures d'enfants exposés aujourd'hui dans les vitrines des bâtiments, à l'époque bien entendu non chauffés, où vivaient, ou plutôt tentaient de survivre des déportés qui travaillaient onze heures par jour, sans aucune hygiène, vêtus du même pyjama rayé par tous les temps?
Que dire face au mur des fusillés, que l'on humiliait jusqu'au bout, en exigeant d'eux qu'ils se déshabillent avant d'être exécutés?
Que dire devant le cachot sans air et sans lumière dans lequel est mort, par injection, le père Maximilien Kolbe, depuis canonisé par Jean-Paul II?
Ce sont des hommes qui agissaient ainsi
Que dire face au cachot dans lequel on mettait pour la nuit des prisonniers que l'on voulait punir, à quatre dans une cellule dans laquelle ils ne pouvaient tenir que debout, et qui devaient le lendemain retourner travailler?
Et pourtant, comme nous le disait notre guide, ce sont des hommes, non pas des monstres qui ont agi ainsi...
Après Auschwitz, nous nous sommes rendus à quelques kilomètres de là à Birkenau: nous sommes ainsi passés de l'extermination artisanale à l'extermination industrielle, avec toujours cette froide détermination et cette organisation rigoureuse niant l'humanité des déportés...
Nous avons vu les lieux où les Tziganes, parce qu'ils étaient Tziganes, étaient parqués, isolés des autres déportés... Ne serait-ce que pour cela, par respect pour tous ceux qui sont morts là, on n'a pas le droit de stigmatiser aujourd'hui telle ou telle population!
Les trop rares survivants de ces camps disent aujourd'hui avec beaucoup de grandeur d'âme qu'ils ont pardonné à leurs tortionnaires, mais qu'il ne faut pas oublier...
Après avoir visité ces lieux, comment oublier?
Aujourd'hui, alors que nous sommes en paix, c'est à l'échelle de l'Europe que ce devoir de mémoire doit être réalisé...
07:45 Publié dans En mémoire, Les Amis de Brigitte Fouré - NEA | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 14 novembre 2010
En mémoire de toutes les personnes exterminées à Auschwitz
Mille Colombes
18:12 Publié dans Dimanche Images, En mémoire | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 06 avril 2010
Hommage à Daniel Leroy
Brigitte Fouré, ancien maire d'Amiens, tient à faire part de sa tristesse suite au décès de Daniel Leroy, Conseiller général, Conseiller municipal d'Amiens et Conseiller d'agglomération :
"Lors des cinq ans où j'étais maire, nous avions mis en place la conférence des présidents de groupes. Les présidents de groupes d'opposition étaient alors Jacques Lessard, Daniel Leroy, Jacques Goffinon et Christophe Porquier. Lors de ces réunions, nous essayions de hiérarchiser les sujets présents dans l'ordre du jour du conseil municipal, notamment en associant des intervenants extérieurs. L'invitation de ces personnes extérieures lors du conseil municipal était le moyen de susciter une discussion propice à rendre le débat démocratique vivant. Daniel Leroy a toujours été présent à nos réunions en faisant des propositions constructives, alors même qu'il se trouvait dans l'opposition. J'appréciais beaucoup son état d'esprit en faveur de l'intérêt général. C'est un grand témoin de notre ville qui disparaît."
16:03 Publié dans En mémoire | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 11 septembre 2009
Une vie bien remplie
Gustave Dufour, maire honoraire de Saveuse, est décédé dans sa 95ème année.
Gustave Dufour a consacré sa vie à la chose publique. Elu municipal et maire de Saveuse pendant une cinquantaine d'années, il a été vice-président du District du Grand Amiens à sa création (il en était aussi le doyen) puis en 1995, il a passé la main à Claude Meulin.
Gustave Dufour était unanimement respecté et ses paroles pleines de bon sens étaient toujours écoutées avec attention.
Mais au-delà de l'homme public, c'est l'homme qui était attachant. Fidèle à ses convictions, fidèle dans ses amitiés, il avait adhéré à l'association de mes amis.
Aussi c'est avec beaucoup d'émotion que j'ai appris son décès. L'association se joint à moi pour présenter à sa famille nos condoléances les plus sincères.
15:49 Publié dans En mémoire | Lien permanent | Commentaires (0)