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mercredi, 09 octobre 2013

Café-Europe ce qoir au Bowling Mont-Blanc (BMB) à Amiens de 20 à 22 heures !

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Attention, changement d'horaires : ce Café-Europe a finalement lieu de 20 à 22 heures.

mercredi, 25 septembre 2013

Deux mois de travaux sur la ligne SNCF Amiens-Paris, deux mois de retards

France_Bleu_Picardie.gifPour lire l'article sur le site de France Bleu Picardie, CLIQUEZ ICI.

vendredi, 05 juillet 2013

Brigitte Fouré : « Je veux être la candidate qui propose un réel changement de cap sur la politique des déplacements à Amiens »

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COMMUNIQUE DE PRESSE

Vendredi, 5 juillet 2013

Brigitte Fouré : « Je veux être la candidate qui propose un réel changement de cap sur la politique des déplacements à Amiens  »

 

« A l’heure où s’achève à la fois le premier et le dernier mandat de Gilles Demailly, le constat que je tire de la politique des déplacements à Amiens est un échec sur plusieurs niveaux : Echec sur l’utilisation optimisé des modes alternatifs de déplacements à la voiture. Echec sur les aménagements invraisemblables tant en faveur des transports en commun et des pistes cyclables qu’envers les automobilistes. Echec en matière de concertation des habitants sur la réalisation des grands projets de déplacements, comme l’aménagement de l’axe Barni-Ferry et enfin, échec sur la bonne appréciation des amiénois vis-à-vis de la politique des déplacements.  

Durant ces cinq dernières années, les mécontentements des amiénois n’ont jamais été aussi nombreux et clairement affichés. C’est la raison pour laquelle j’ai créé une commission de réflexion sur les Déplacements urbains  en vue de préparer un programme clair et adapté aux amiénois.

Je veux être la candidate qui propose un réel changement de cap sur la politique des déplacements à Amiens. Cela doit passer par la préparation de nombreux projets comme l’arrivée du TGV à Amiens à l’horizon 2019, grâce à la mise en service du barreau Creil-Roissy, la desserte du CHRU et du futur pôle étudiant de la Citadelle. Pour cela, j’accompagnerai la mise en place du tramway mais je reverrai totalement le projet de Gilles Demailly qui me semble inadapté et incohérent sur de nombreux points. Je crois en effet qu’il faut relier les différents quartiers au centre-ville et permettre de dynamiser les secteurs concernés. Amiens Métropole a besoin de cet équipement structurant et ambitieux. Mais avec un financement maîtrisé et un tracé  efficace.

Ce moyen de transport doit redynamiser le centre-ville, attirer les entreprises et capter des investisseurs potentiels. Enfin, il permettra de créer des emplois grâce aux travaux réalisés, à l’exploitation future et au développement de projets dynamiques autour du projet. Si je suis élue maire, je donnerai la priorité à l’embauche locale sur le chantier.

 

Je souhaite également améliorer la qualité des déplacements pour tous en favorisant l’utilisation de transports en commun rapide, pratique, confortable et accessible tout en réalisant des économies d’énergie (meilleure qualité de l’air, diminution de la pollution sonore).

En outre, il faut intégrer ce projet à une refonte du système actuel : améliorer le plan de circulation des bus et, pourquoi pas, utiliser en grande partie les rails RFF pour faire circuler un tram-train en mettant en exergue l’offre déjà existante et en l’améliorant (gares de Longueau, Boves, quartier Saint-Roch, Dreuil, Saleux, Poix de Picardie, Corbie…)

Se déplacer aisément constitue un atout majeur pour la qualité de notre vie quotidienne, pour notre environnement, notre économie et pour l’attractivité de notre ville. Je veillerai qu’aucun quartier d’Amiens ne soit oublié dans la desserte des transports en commun.

Pour préciser toutes ces idées, je dévoilerai mes idées au cours du dernier trimestre de cette année, en réservant quelques surprises aux amiénois ».

 

 

CONTACT PRESSE - 06 47 54 95 47.

mercredi, 15 mai 2013

Stéphane Demilly lance une page sur Facebook pour défendre le projet de Canal Seine-Nord Europe

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mardi, 30 avril 2013

Canal Seine-Nord : Les requêtes de Brigitte Fouré et d'Hubert de Jenlis auprès de Barbara Pompili

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COMMUNIQUE DE PRESSE

Mardi, 30 avril 2013

Les conseillers généraux Brigitte FOURE et Hubert de JENLIS ont rencontré hier lundi la députée Barbara POMPILI afin de faire connaître leur mécontentement au sujet du Canal Seine-Nord-Europe

 

Brigitte FOURE, Conseillère générale d’Amiens V Sud-Est, et Hubert de JENLIS, Conseiller général d’Amiens VI Sud, ont tous deux rencontré hier la députée de leur circonscription Barbara POMPILI (EELV) afin de leur faire part de leur mécontentement au sujet du projet de Canal Seine-Nord-Europe, malmené par l’actuel gouvernement. En effet, le Canal Seine-Nord, long de 106 kms entre Janville au nord de Compiègne et Oisy-le-Verger au nord de Cambrai,est le chaînon manquant indispensable pour assurer la continuité du transport fluvial entre la France, la Belgique, les Pays-Bas et l’Allemagne et promouvoir un nouveau système durable de transport de marchandises à l’échelle européenne, alternatif à la route. Le projet prévoyait quatre ports intérieurs, dont deux proches de Saint-Quentin, Nesle et Péronne, devant générer à eux seuls plus de 4 000 emplois, en supplément des 5 000 directs pour la construction du canal, perspectives soulageantes qui ne manqueraient pas de rejaillir sur le bassin d’emplois amiénois.

Pour Brigitte FOURE et Hubert de JENLIS « Ce projet, qui a fait jour en 1985 est un atout sur le plan économique mais aussi environnemental. Nous ne pouvons pas passer à côté d’une telle chance pour la Picardie, qui a trop souvent été oubliée des grands schémas d’aménagement du territoire ! De très nombreux parlementaires de l’actuelle Majorité présidentielle soutiennent le projet, notamment dans le Nord Pas de Calais, y compris la Sénatrice EELV Marie-Christine BLANDIN. En tant que co-présidente du groupe EELV à l’Assemblée Nationale et Députée de la Somme, Barbara POMPILI doit soutenir ce projet auprès du gouvernement, Il en va de sa responsabilité. Nous  lui demandons d’agir avant tout auprès du Gouvernement. Il est inconcevable qu’un tel impact sur la lutte contre le réchauffement climatique n’intéresse pas une députée écologiste ! Mme POMPILI doit penser aux intérêts de son territoire qui s’inscrivent parfaitement dans l’objectif de baisse du chômage prôné par le Gouvernement qu’elle soutient »

 

CONTACTS PRESSE : 06 47 54 95 47 (Brigitte FOURE) – 06 78 93 93 97 (Hubert de JENLIS).

vendredi, 07 septembre 2012

Vendredi Europe Express : Bernard Cazeneuve, ministre des Affaires européennes, était hier à Amiens

Cazeneuve B..jpgD'accord pour encore financer le monosite hospitalier mais aucune promesse pour le canal Seine-Nord: le ministre des Affaires européennes était au CHU hier.

Le ministre délégué chargé des Affaires européennes, Bernard Cazeneuve, n'est pas venu par hasard hier, sur le chantier du monosite hospitalier d'Amiens, pour évoquer le Pacte européen de croissance, ainsi que le rôle de la Banque européenne d'investissement (BEI).

Cette dernière, en effet, a accordé 250M€ de financements pour ce projet dont le «coût d'objectif» était de 516 M€ en 2003. Problème: le coût prévu est aujourd'hui de... 630M€ en raison de l'augmentation des prix et de la réglementation.

Qu'à cela ne tienne: François Hollande a été élu président de la République, il a négocié un Pacte européen de croissance et la BEI doit être recapitalisée.

Lire la suite de l'article sur le site du quotidien régional Le Courrier Picard : CLIQUEZ ICI.

 

mardi, 13 décembre 2011

Dossier spécial Rail (2/3) : La Ligne à Grande Vitesse Rhin-Rhône a accueilli ses premiers voyageurs

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TGV.jpgLe TGV Rhin-Rhône est entré en service commercial hier. 140 kilomètres de lignes nouvelles entre Dijon et Mulhouse qui vont aussi bouleverser la vie économique de la Franche-Comté.

La mise en service hier du TGV Rhin-Rhône va bouleverser le paysage économique de la Franche-Comté. La construction de 140 kilomètres de lignes nouvelles sur l'itinéraire Dijon -Mulhouse permettra à 11 millions de passagers de gagner 1 heure à 1 h 30 sur de nombreuses destinations. Un désenclavement attendu depuis des lustres par les acteurs politiques et économiques franc-comtois qui viennent de lancer une campagne de communication, « L'originale Franche-Comté » (2 millions d'euros sur deux  ans).

Entre Belfort et Montbéliard, l'attente est la plus forte. C'est là que le premier TGV fut construit il y a trente ans, et c'est là que le gain de temps est le plus évident : de 3 h 40 à 2 h 16 pour rejoindre Paris. « Une révolution », selon Alain Seid, le président de la chambre de commerce du Territoire de Belfort et du Club TGV de l'Aire urbaine, constitué pour accompagner l'événement. Au menu, un projet de lycée international. « Pour les entreprises de la Vallée de l'énergie qui vient de voir le jour et qui attend beaucoup du TGV, c'est incontournable », affirme-t-il. Dans un bassin d'emploi essentiellement automobile, l'énergie est un secteur de diversification prometteur. Mais une autre diversification se dessine avec l'horlogerie suisse. L'arrivée du TGV et l'achèvement de l'autoroute A16 facilite en effet la création de zones d'activité à la frontière, à quelques kilomètres à Boncourt et Chevenez. Swatch et Tag Heuer implantent des sites de production qui créeront chacun 200 emplois d'ici à 2013. Swatch en annonce 700 à moyen terme, et Sonceboz SA, société microtechnique suisse, prévoit également 300 emplois à Boncourt. « La localisation convient à ces groupes », analyse Thierry Bregnard, chef du service économie de la République et canton du Jura. « Nous avons du foncier disponible, nous avons relancé notre école d'horlogerie et il y a des possibilités de développement avec la main-d'oeuvre frontalière », ajoute-t-il.

Bassin d'emploi pour l'horlogerie

Conjuguée à l'effet TGV, la proximité du bassin d'emploi est une aubaine pour l'horlogerie suisse, qui a déjà saturé le pays horloger, plus au sud. « 700 ou 800 emplois se créent à proximité d'un territoire qui compte 11 % de chômeurs », confirme Gilles Curtit, le président de la CCI de Franche-Comté. Et tout sera encore plus simple fin 2014, lorsque la ligne TER franco-suisse Belfort-Delle-Porrentruy desservira ces zones d'activités et sera connectée à la gare TGV. En Franche-Comté aussi, les aménageurs sont à pied d'oeuvre. Les travaux du parc tertiaire jouxtant la gare de Besançon-Franche-Comté seront lancés en 2012. A terme, l'ensemble pourrait accueillir 3.500 salariés.

Pour la suite, 50 kilomètres de ligne restent à financer de part et d'autre de la première tranche de la branche Est, 35 kilomètres entre Belfort et Mulhouse, et 15 kilomètres entre Petit-Croix et Dijon. Le budget est estimé à plus de 1 milliard d'euros. Après trois mois de discussion entre Etat, RFF et collectivités, un accord politique a été trouvé entre les parties. Les collectivités concernées soumettent cet accord à leurs assemblées en ce moment. Un protocole de financement devrait être signé en 2012, puis les appels d'offres en 2013, pour démarrer les travaux en 2014.

 

 
(Source : Les Echos).