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vendredi, 24 décembre 2010

Un réveillon sous le signe de l'ouverture

C'est Noël dans le monde entier !

Que ce réveillon nous permette de nous ouvrir aux cultures du monde entier qui, comme nous, contemplent le message universel de Noël...

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jeudi, 23 décembre 2010

Brigitte Fouré demande au maire d’Amiens de déneiger la ville

deneigement1.jpgBrigitte Fouré, Conseillère générale de la Somme et Conseillère municipale d'Amiens déplore le manque de prise en charge de la municipalité concernant le déneigement de la ville.

"Nous vivons dans une capitale régionale. Or, on se sent plus en sécurité dans certaines communes rurales, dont le déneigement est assuré par le Conseil Général de la Somme, qu'à Amiens. Le maire devrait être sur le pont pour remettre la situation à la normale. Les services de la ville d'Amiens sont composés de personnes extrêmement compétentes mais qui se retrouvent actuellement désorientées par un maire qui ne sait même pas gérer les affaires courantes de sa ville".

Et l'ancienne Maire d'Amiens d'ajouter : "De nombreuses personnes âgées n'osent plus sortir de chez elle, de peur de glisser. Avec mon suppléant Olivier Mira, nous le constatons notamment dans notre canton du Sud-Est. Gilles Demailly, par son attitude, assigne nos anciens à résidence et les isolent encore plus. Où est la proximité ? Est-ce cela être unis et solidaires ?"

En conséquence, Brigitte Fouré et Olivier Mira demandent au maire de « se ressaisir » car les fêtes de fin d’année vont voir un grand nombre de personnes arriver pour passer ce temps fort dans leurs familles. « Il en va de l’image de notre ville ».

 

CONTACT PRESSE

06 47 54 95 47

vendredi, 17 décembre 2010

Bonnes fêtes de fin d'année à tous !

pere-noel.gifJe vous souhaite à tous de passer de très bonnes fêtes de fin d'année et vous donne rendez-vous sur ce blog, dans la version que vous connaissez, dès le lundi 3 janvier.

Durant les deux semaines qui viennent, la programmation habituelle de ce blog est modifiée en raison des fêtes.

mercredi, 15 décembre 2010

Les Centristes implosent de bonheur

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En colère contre le remaniement qui, avec deux ministres, ne leur accorde qu’une petite place, les centristes espèrent en profiter pour se rassembler.

 

Je cherche à mettre de la colle et pas de la poudre », martèle le député maire de Drancy Jean-Christophe Lagarde, président exécutif du Nouveau Centre. Depuis l’annonce du remaniement, les centristes veulent y croire : « C’est un électrochoc qui sonne l’heure de notre refondation », assure le sénateur Jean Arthuis. « Un moment historique », ajoute le député Nouveau Centre Philippe Vigier, proche d’Hervé Morin. Et un de ses collègues d’annoncer : « En démontrant que les centristes n’avaient plus de poids dans le parti majoritaire, le remaniement a recréé le clivage UMP/UDF. Cet épisode va beaucoup contribuer à refonder le centre ! »

Le constat est dressé par tous : en 2002, lors de la constitution de l’UMP, si le président de la République (Chirac) comme celui du parti (Juppé) étaient RPR, le Premier ministre (Raffarin) et le patron des députés (Barrot) venaient de l’UDF. Aujourd’hui, aucun centriste n’occupe ces postes : ils sont trop divisés pour peser. Tous lorgnent donc vers Borloo et ses élus dans l’espoir qu’ils quittent l’UMP, comme l’ancien ministre de l’Ecologie le laisse entendre. « Les trois quarts de ses parlementaires sont prêts à le faire. Si on les ajoute à nos forces, cela en ferait environ 70 », compte un responsable du Nouveau Centre. Au lendemain du remaniement, ils étaient une soixantaine d’ex-UDF à s’être retrouvés autour de Borloo : radicaux valoisiens, centristes de l’UMP, membres du Nouveau Centre, ou électrons libres comme Jean-Louis Bourlanges. Même Jean-Marie Bockel pour la Gauche moderne en était et Dominique Paillé, porte-parole de l’UMP, est passé. La feuille de route est claire : « Nous avons mandaté Jean-Louis Borloo pour organiser la coordination entre les centristes afin de recréer la deuxième jambe de la majorité », détaille la Nouveau Centre Valérie Létard, ex-secrétaire d’Etat à l’Ecologie. Une nouvelle réunion est programmée sous quinze jours.

Tous lorgnent vers Borloo et ses élusdans l’espoir qu’ils quittent l’UMP

Reste encore à en définir les modalités. Déjà, des divergences apparaissent. Surtout sur le départ des radicaux de l’UMP. François Sauvadet, président des députés Nouveau Centre, en fait un préalable : « La première étape, c’est une clarification politique de Borloo. » ­Laurent Hénart, secrétaire général des radicaux, n’en voit pas l’urgence : « Il faut prendre les choses dans le bon ordre : d’abord se coordonner, défendre des positions communes, notamment au Parlement. » Les radicaux discuteront de leur place dans l’UMP lors de la réunion de leurs instances dirigeantes le 24 novembre. La question est loin d’être réglée. Car, comme le souligne le sénateur Jean Arthuis, « derrière la présidentielle, il y a les législatives ». Pas sûr que les députés prennent le risque de quitter l’UMP. « N’oubliez pas que l’on ne peut pas faire confiance à la girouette Borloo », rappelle un centriste. Même si espère un autre : « En sortant du gouvernement, il a enfin montré qu’il pouvait prendre des décisions courageuses. »

Reste aussi le problème du leader : Hervé Morin rêve d’être le rassembleur, mais face à la popularité de Borloo, il est de plus en plus seul, y compris dans son camp : « Ils sont dans une situation ­similaire vis-à-vis du gouvernement, mais différente vis-à-vis de la structure partisane », affirme l’un de ses lieutenants. Les deux ont déjeuné ensemble mardi 16 novembre pour tenter d’aplanir leurs différences. L’heure est au rassemblement. Mais déjà le feu couve… Quant à François Bayrou, fort d’un sondage de l’Ifop pour « France Soir » le donnant « personnalité qui incarne le plus les idées et les valeurs du centre » à 41 % devant Borloo à 24 % et Morin à 9 %, il assure ne pas s’intéresser à ce « panier de crabes » : « Deux éléments créent la confiance en politique : une analyse juste et le courage d’en tirer les conséquences jusqu’au bout. » Quelque chose dont il ne semble pas croire Borloo capable...

 

(Source : Caroline Fontaine - Paris Match).

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lundi, 13 décembre 2010

L'agenda de ma semaine

2234422020.jpgLundi 13 décembre : Permanence rue Vascosan.

Session du Conseil Général de la Somme.

 

Mardi 14 décembre : Permanence en mairie de quartier Sud-Est, rue Pierre Rollin.

Fête de Noël au club de boxe française d'Amiens-Nord.

Repas de Noël à l'EPHAD de Cagny.

 

Mercredi 15 décembre : Remise du prix Sakharov au Parlement européen à Strasbourg au Cubain Guilhermo Farinas.

 

Jeudi 16 décembre : Permanence sans rendez-vous à mon bureau d'élue.

Réunion du Centre Libre Ecologique Européen (CLEE).

 

Vendredi 17 décembre : Fête de Noël de l'Espérance Sportive du Pigeonnier.

Bureau départemental du Nouveau Centre.

 

Dimanche 19 décembre : Goûter des aînés à Cagny.

 

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dimanche, 12 décembre 2010

Hervé Morin, invité de Ruth Elkrief le 6 décembre sur BFM TV

vendredi, 10 décembre 2010

La construction européenne : actualité de la déclaration de Robert Schuman

robert-schuman.jpgPourquoi les chrétiens devraient-ils s’engager dans les affaires de la vie publique ? Comment contribuer, en tant que chrétien, à la vie politique aujourd'hui, et notamment à la construction européenne ?

Du partenariat à la communion : actualité de la déclaration de Robert Schuman, par frère Paul-Dominique Masiclat, o.p.

Résumé d'une conférence donnée à Strasbourg le 8 novembre 2010

Pourquoi les chrétiens devraient-ils s’engager dans les affaires de la vie publique ? Comment contribuer, en tant que chrétien, à la vie politique aujourd'hui, et notamment à la construction européenne?

L'ambition de Robert Schuman. La déclaration du 9 mai 1950 était plus qu'un plan de développement industriel et économique. Il fallait changer le vivre-ensemble européen, reconstruire l'économie de marché mais surtout éliminer une fois pour toute la possibilité même d'une nouvelle guerre européenne. Robert Schuman, Jean Monnet et une poignée d'autres hommes politiques, forts de leur foi chrétienne ou leurs convictions humanistes, ont élaboré un nouveau type de relations internationales pour l'Europe. Il n’y aura plus les vainqueurs arrogants face aux humiliés. Schuman parle d'une « réhabilitation morale » de l'Allemagne et d'une « politique nouvelle » pour l'Europe en général.  Pari réussi avec l'adhésion de six pays, pour commencer, à la Communauté européenne de charbon et d'acier (CECA) en 1951 : France, Allemagne Fédérale, Italie et les trois pays du Benelux. Ce fut le début d'un processus de pacification, de réconciliation, de développement économique et de construction d'une communauté unie à l'échelle d'un continent. Une structure nouvelle fut créée pour garantir la pérennité de cette nouvelle façon de traiter avec les pays voisins : la Haute Autorité, une instance supranationale. Ce fut là une innovation mondiale dans la sphère politique, bien que la nature de cette supranationalité restât mal définie.

Evolution, élargissement, heurts.
En soixante ans, la CECA a laissé la place à d’autres structures. Il y eut la Communauté économique (CEE) en 1957 puis, avec le Traité de Maastricht de 1992, l'Union européenne avec un Parlement européen. Composée de 6 membres au départ, l’Europe est arrivée par étapes successives jusqu’à 27 pays membres actuellement. L'évolution ne s'arrête pas là puisque le processus d'intégration dans l'Union européenne suit son cours pour un certain nombre de pays candidats. Elle a réalisé au moins deux grands projets : la création d'une monnaie européenne et la libre circulation des biens et des personnes dans un espace règlementé (l'espace Schengen). Ces projets-là demeurent : l'espace euro comme l'espace Schengen sont susceptibles de s'élargir à l'avenir. Cependant, l'Europe semble stagner. Elle se heurte encore au problème de la supranationalité. Il semble que le bien commun européen fasse figure d'un seuil plutôt que d'un défi. L'Europe peine à doter les intérêts européens d'une véritable parité face aux intérêts nationaux. L'Europe se résumerait-elle alors en une simple aire de commerce ?

La construction européenne : un projet sans pareil
Une excursion hors des frontières de l'Union européenne permet de prendre du recul face à un sentiment de déception générale et de mieux apprécier les atouts uniques du projet européen. Car d'autres régions du globe ont imaginé des projets d'union et de développement économique. Une région dont le plan de développement partage plusieurs traits avec l'UE est l'Asie du sud-est. En 1967, en pleine guerre du Vietnam, 5 pays fondent l'ASEAN, une organisation politique, économique et culturelle. Son but avéré est de contenir la guerre et la menace d'invasion communiste, de développer la croissance économique et d’assurer la stabilité politique. L'ASEAN a adopté la présidence par pays à tour de rôle. Elle a connu des étapes d'élargissements successifs : de 5 pays fondateurs (l'Indonésie, les Philippines, la Malaisie, Singapour et la Thaïlande) elle est passée progressivement à 10 avec le Brunei, le Cambodge, le Laos, Myanmar et le Vietnam, puis à 10+3, la Chine, le Japon et la Corée du Sud siégeant comme membres avec un statut particulier. Or, nulle instance supranationale, nul accord monétaire pour l'ensemble. Rien n'est tenu en commun, même pas la démocratie, malgré d’importants efforts de collaboration et de rapprochement. L'on alors voit que l'Europe a su innover dans le domaine des relations internationales. Elle a fait preuve de créativité sociopolitique pour inventer des structures qui n'ont d’équivalent nulle part ailleurs.

De la communauté à la communion
L'on a dit qu'il faut une âme à l'Europe. Les hommes ne peuvent créer une âme, mais ils peuvent faire œuvre de communion pour que l'Europe soit vivifiée à nouveau. Qu'est-ce que la communion ? Pour les chrétiens, c'est sans doute une réalité spirituelle d'abord, le lien sans faille d'amour entre Créateur et créatures, entre l'unique Père et sa multitude d'enfants baptisés partout dans le monde, rassemblés en un seul corps, le corps du Christ. Dans le registre de la foi, les chrétiens connaissent et vivent la supranationalité tous les jours. La communion de foi unit des peuples dans une communion ecclésiale sans se soucier d'identités nationales, de passeports ou de visas. Cette communion spirituelle entre baptisés, c'est la catholicité au sens propre du terme.
En régime de laïcité des Etats, il appartient aux croyants aussi, comme à chaque homme et à chaque femme de bonne volonté, de faire exister la communion au plan sociopolitique. Là où ils vivent - dans leur paroisse, leur quartier, leur ville - là se trouve un champ à labourer pour la communion. Tel un grain de blé, la communion est semée en terre. De la base de la société - les entités locales - jailliraient alors des plants de solidarité et d'entraide, d'égale dignité, de justice, de proximité, de liberté, de sécurité et de paix. Ces plants pourraient monter alors jusqu’au registre de la politique internationale pour concrétiser une Europe plus unie, une communion des citoyens. Répandue de paroisse en paroisse, de quartier en quartier, de ville en ville et de nation en nation, cette communion serait comme une nappe phréatique d'eau vive irrigant l'Europe à la base. Ainsi les citoyens croyants sauront-ils participer pleinement à la construction européenne. Le Plan Schuman reste d'actualité. Il s’agit de la réhabilitation morale de tout le projet européen. Ce projet est un chantier en cours. La moisson d’unité et de communion est abondante. Les chrétiens sont éminemment qualifiés pour moissonner un bien si précieux.

(Source : La Vie).

mercredi, 08 décembre 2010

Hervé Morin ce matin dans le quotidien La Provence

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logo_laProvence.jpgFaites-vous ce tour de France pour vous compter ?
Depuis des mois, je vais à la rencontre des Français. Il y a en France des forces d’innovation, d’anticipation qu’il faut écouter. Je souhaite m’imprégner de tout cela.

Cela ressemble à une démarche de présidentiable !
Je souhaite que les valeurs que défend la famille centriste soient portées au moment de l’élection présidentielle. Cela doit s’appuyer sur un projet politique que je construis progressivement. Il faut un candidat centriste à la présidentielle, celui-ci sera désigné à l’automne 2011. Ma détermination est absolument totale pour que l’expression centriste se fasse entendre.

Qui est le leader du centre, Jean-Louis Borloo ou vous-même ?
Nous verrons bien qui sera sur la ligne de départ à l’automne prochain. Je ne suis pas en concurrence, ni dans une compétition. Pour moi, il n’y a pas de rivalité mais d’abord la volonté de porter un message politique qui a une pertinence absolue. Compte tenu de nos valeurs, les centristes doivent être associés à un parti de la droite républicaine.

Ce qui revient à dire que François Bayrou n’est pas un centriste ?
Une des conditions de cette expression centriste, c’est qu’il faut clairement savoir où on habite. Quand on est au centre, on n’est pas au milieu de nulle part! Etre indépendant ne signifie pas être seul. François Bayrou confond indépendance et démarche solitaire.

Pas de stratégie de rupture avec l’UMP pour exister ?
Lorsque l’on est centriste, on porte le principe de responsabilité individuelle, de liberté d’entreprise, de tempérance fiscale. Des valeurs qui nous amènent à être associés à la majorité actuelle. Mais il faut qu’on soit assez fort pour peser sur le cours des choses. Mon objectif est donc de créer une coalition des partis de droite et du centre où ces sensibilités de la vie politique française puissent être entendues. Toutes les démocraties européennes sont sous le régime de la coalition, de gauche comme de droite, ce n’est pas un hasard. On a besoin d’équilibre.

Les centristes ont été les grands perdants du remaniement. La rumeur d’un réajustement au profit du centre vous réjouit-elle ou vous vexe-t-elle ?
Nous avons très clairement assisté à l’occasion du remaniement à la constitution d’une équipe de campagne à base RPR. C’est un message de plus pour que les centristes prennent conscience qu’il doit exister une expression politique indépendante. Quant à l’entrée de centristes lors d’un réajustement, ce n’est pas significatif.

N’est-ce pas acrobatique de jouer l’alliance avec l’UMP pour les cantonales alors que vous êtes exclus des ministères ?
Lorsqu’il s’agit d’élections locales, les gens votent pour un homme davantage que pour un parti. Il faut donc choisir le meilleur.
 
Vous prônez une réforme fiscale qui s’engage à peine aujourd’hui. Etes-vous amer ?
Nous demandons la suppression du bouclier fiscal depuis trois ans. C’est un sparadrap, une mauvaise réponse à un vrai problème. Par ailleurs nous sommes favorables à la suppression de l’ISF qui serait compensé par la création d’une tranche marginale d’impôt sur les hauts revenus. Une solution économiquement efficace et socialement juste.

Les divisions qui se dessinent au PS vous seront-elles profitables ?
Il vaut mieux miser sur sa propre force que sur la faiblesse des autres.

Recueilli par Marjory CHOURAQUI

lundi, 06 décembre 2010

L'agenda de ma semaine

915002596.jpgLundi 6 décembre : Commission des affaires sociales au Conseil Général de la Somme.

Permanence sans rendez-vous en mairie de quartier Saint-Acheul.

 

Mardi 7 décembre : Commission des affaires sociales du Conseil Général de la Somme.

Conseil d'Administration du collège Guy Mareschal.

Conseil d'Administration du collège de La salle.

 

Mercredi 8 décembre : Commission des affaires sociales du Conseil Général de la Somme.

 

Jeudi 9 décembre : Permanence sans rendez-vous à ma permanence.

Conseil Municipal d'Amiens.

 

Samedi 11 décembre : Vente d'artisanat au profit du Tibet à ma permanence.

 

Dimanche 12 décembre : Plantation de l'arbre du Tibet.

Arbre de Noël organisé par le comité de quartier Saint Honoré-Jeanne d'Arc.

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dimanche, 05 décembre 2010

"Quand la femme est grillagée", par Pierre Perret


Pierre Perret dans l'émission Champs-Elysées, présentée par Michel Drucker sur France 2.

vendredi, 03 décembre 2010

Téléthon 2010 : C'est parti !

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TÉLÉTHON 2010, un seul geste suffit le 36. 37, pour que la mobilisation humaine prenne de l’issue sur la maladie, et que la recherche progresse et avance à grands pas.

Sécurité Routière : Accord en vue au Conseil de l'UE sur les sanctions transfrontalières

Sécurité routière.jpgLe Conseil Transports qui doit se tenir le 2 décembre à Bruxelles devrait voir se débloquer un important dossier en matière de sécurité routière : celui de la poursuite des conducteurs commettant des infractions routières dans les autres Etats membres de l'UE. La proposition de directive, présentée par la Commission européenne en mars 2008, a pour but de faciliter l'identification des contrevenants afin de pouvoir faire suivre les amendes dans leur Etat de résidence. L'objectif est de mettre fin à l'impunité dont jouissent aujourd'hui les conducteurs en infraction dans un autre Etat que leur Etat de résidence.

Au Conseil Transports, les ministres devraient conclure un accord de principe sur la proposition de directive. Le texte permettra aux Etats membres d'échanger les informations qui conduiront à l'identification des chauffeurs en infraction. Huit infractions sont couvertes : l'excès de vitesse, le non-port de la ceinture de sécurité, le non-respect d'un feu de signalisation rouge, l'alcool au volant, la conduite sous influence de drogue, le non-port d'un casque, l'utilisation d'une bande de conduite interdite et l'utilisation d'un téléphone portable au volant. Concrètement, l'Etat membre dans lequel l'infraction s'est produite pourra demander à l'Etat membre de résidence des informations concernant le véhicule concerné et son propriétaire. Une fois en possession de ces informations, il pourra donc faire suivre l'amende qui correspond à l'infraction.
Le texte ne règle pas autre chose que l'échange d'informations entre Etats membres et reste donc muet sur les suites à y donner. Décider de poursuivre ou pas l'infraction relèvera de la compétence des Etats, de même que rien n'est dit sur l'application effective des sanctions. Quid, dès lors, si le contrevenant décide de ne pas payer ? Si les deux Etats concernés (Etat d'infraction et Etat de résidence) ont des accords bilatéraux qui permettent la poursuite des sanctions, le chauffeur n'est pas à l'abri. Par contre, sans de tels accords, rien ne pourra être fait contre lui. Ce qui ne signifie pas forcément l'impunité puisqu'il sera toujours susceptible d'être « rattrapé » par le droit s'il se rend à nouveau dans l'Etat d'infraction et qu'il s'y fait contrôler.
 
 
BASE JURIDIQUE RÉVISÉE
 
 
C'est la base juridique du texte qui a longtemps bloqué un accord au Conseil. La Commission avait opté pour la base juridique « transport » (article 91(1) du Traité) mais les Etats, confortés par le service juridique du Conseil, l'ont toujours contestée. Le compromis élaboré par la présidence belge change donc cette base juridique. Ce sera une base « coopération policière » (article 87.2 du Traité). Avant l'entrée en vigueur du Traité de Lisbonne, cela aurait signifié que la proposition aurait dû être adoptée à l'unanimité, sous le troisième pilier. Ce n'est plus le cas aujourd'hui : la majorité qualifiée pourra suffire, avec la procédure de codécision.
Les conséquences sont ailleurs. D'abord, le Royaume-Uni et l'Irlande pourront choisir de ne pas participer à l'adoption du texte et de ne pas l'appliquer (opt-out). Ils ont trois mois pour se décider et c'est seulement après cette période qu'un accord politique pourra être formellement conclu au Conseil, avec ou sans eux. Ces deux pays ont d'ores et déjà indiqué qu'ils appliqueraient le texte. A moins d'un revirement, ils devraient donc être en mesure de donner formellement leur accord. Pour le Danemark, c'est plus compliqué : son statut particulier concernant la mise en oeuvre des décisions « Justice, Affaires intérieures » font qu'un accord international sera nécessaire pour le voir appliquer la directive sur son territoire.
Autre conséquence : toute référence à des mesures de coopération opérationnelle concrète entre les Etats pour la mise en oeuvre du texte a été éliminée, parce que, selon le Traité, cela impliquerait une adoption selon une procédure spéciale, à l'unanimité des Etats (article 87.3 du Traité). C'est pour cette raison que la proposition se concentre sur le simple échange d'informations entre les Etats et que tout ce qui relève de la poursuite des infractions reste de la responsabilité des Etats.
(Source : Isabelle Smets).

jeudi, 02 décembre 2010

Conférence de presse de Brigitte Fouré et Olivier Mira à 12h

bus.jpgBrigitte Fouré et Olivier Mira donneront une conférence de presse aujourd'hui jeudi à 12 heures au sein de leur permanence cantonale sur le thème : "Bus et voies de circulations dans Amiens : Pourquoi la Mairie se trompe !"

mercredi, 01 décembre 2010

Café Europe à Amiens ce soir : "Comment vit-on les fêtes de Noël en Europe et dans le monde?"

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mardi, 30 novembre 2010

Un Café Europe sous le signe de la Francophonie avec Margie Sudre

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"La Francophonie, un monde en partage". C'est sous ce thème qu' environ 50 personnes se sont réunies le mercredi 17 novembre dernier au café-restaurant "Le Kimbo", à Amiens, autour de Madame Margie Sudre, dans le cadre des Cafés Europe organisés par le Conseil de la Société Civile "Amiens Horizon Europe", Femmes au Centre 80 et l'Association des Amis de Brigitte Fouré. Le grand témoin de ce Café Europe était Johanna Bougon, conseillère municipale d'Amiens et Présidente du Centre Libre Ecologique européen (CLEE).

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lundi, 29 novembre 2010

L'agenda de ma semaine

2234422020.jpgLundi 29 novembre : Réunion d'intergroupe au Conseil Général de la Somme.

Réunion du groupe au Conseil Municipal d'Amiens.

 

Mardi 30 novembre : Comité Exécutif (COMEX) du Nouveau Centre à Paris.

 

Mercredi 1er décembre : Café Europe sur le thème "Comment vit-on les fêtes de Noël en Europe et dans le monde ?", de 18 à 20 heures au bar "L'Antidote" (derrière la Cathédrale Notre-Dame d'Amiens). Entrée libre.

 

Jeudi 2 décembre : Permanence sans rendez-vous à mon local d'élue.

Conseil d'Administration du Collège Auguste Janvier.

 

Vendredi 3 décembre : Réunion de la commission 2 du Conseil Général de la Somme.

Réunion du Bureau de l'association "Imagine Amiens".

 

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dimanche, 28 novembre 2010

Un rêve sans mucoviscidose

vendredi, 26 novembre 2010

Article de Vincent Bour, Jeune Centriste, dans le magazine eurocitoyen "Le Taurillon"

Un accord de défense sans précédent

auton1003-988c7.jpgC’est un grand pas en avant que vient d’effectuer l’Europe par l’intermédiaire de la France et du Royaume-Uni. Un accord militaire a été signé en effet le 2 novembre dernier entre les deux pays, fixant ainsi une base militaire en Europe alors que le débat sur un organisme de défense commune était relancé depuis plusieurs années. La brigade franco-allemande, créée en novembre 1987, avait déjà dressé l’espoir d’une Europe de la défense, mais elle s’était soldée par un simple partenariat militaire entre la France et l’Allemagne.

C’est ce qui diffère dans le nouvel accord franco-britannique. Cet accord est plus qu’un simple partenariat : une véritable collaboration dans le domaine de la construction militaire ainsi que dans le domaine d’opérations extérieures. Dès 2011, environ 5000 hommes issus des forces françaises et britanniques s’entraîneront conjointement. Par ailleurs, le traité vise à regrouper les industries d’armement, et à limiter les coûts de recherche et de développement, plus particulièrement dans le domaine nucléaire.

Une Europe de la défense projetée il y a 60 ans déjà

Il y a 58 ans déjà, la Communauté européenne de défense (CED) proposait la création d’une véritable armée européenne, en vain. Le projet fut signé par les six États membres, France, Allemagne de l’Ouest, Italie, Belgique, Pays-Bas et Luxembourg, mais fut avorté suite au refus de ratification française, par la voie majoritairement contre de l’Assemblée nationale. Les inutiles crispations françaises face au réarmement allemand – celui-ci aura lieu de toute façon, mais dans le cadre de l’OTAN – mirent brutalement fin à un projet qui eut imprimé sa marque sur l’identité européenne.

Aujourd’hui, grâce au traité franco-britannique, c’est toute la machine militaire européenne qui est relancée, forte en matière de défense. L’Angleterre et la France sont en effet les seuls pays européens possédant l’arme nucléaire. Toutefois, le traité n’est qu’une nouvelle base à la construction européenne, qui ne doit pas rester en jachère. Et malgré l’effort des deux ministres de la défense, on peut mettre en cause l’absence d’autres forces européennes telles l’Allemagne, l’Italie ou l’Espagne, qui possèdent de nombreux contingents autour du globe. Il est en effet difficile de créer une Europe de la défense à deux, d’autant plus si l’on considère les liens fraternels unissant aujourd’hui la France à son voisin d’outre-Rhin. On ne peut que se désoler de ne pas voir le traité renforcé par l’implication de l’état-major allemand.

Un accord hanté par un passé chaotique

arton3788-9fcda.jpgCet accord n’est pas sans suites économiques. Le montant de cette coopération n’est toujours pas évalué, et ne le sera probablement pas, puisque la France et surtout l’Angleterre ont lancé des plans drastiques de restriction des finances en matière de défense. Mais à quelle hauteur ? Les priorités de l’un peuvent être le dernier des soucis de l’autre. Le danger serait que l’une des deux nations veuille mettre fin à l’accord, sous prétexte d’une implication humaine trop fragile ou d’un engagement financier trop faible de la part du partenaire. L’Angleterre, l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie en ont déjà fait les frais dans le cadre du projet de l’Eurofighter. Ce projet portant sur un avion de chasse commun prévu pour le début des années 1990 a été renégocié de trop nombreuses fois, retardant considérablement son arrivée, et lui faisant manquer son but. De nombreuses constructions ont du être abandonnées, et le nombre initial de commandes s’est trouvé en net recul. C’est très précisément contre ce type de dangers que la France et l’Angleterre doivent se réunir pour prévenir un échec.

Enfin, l’Angleterre est plus réputée pour fustiger l’UE que pour en apprécier les réalisations. Sa participation initiale dans un projet bilatéral d’une telle ampleur pourrait cantonner celui-ci à deux pays, ou au contraire lever un obstacle de poids dans la construction de l’Europe de la défense. Toute proportion gardée, on peut donc se féliciter de ce partenariat et en attendre les fruits. The die is cast.

 

(Source :  Le Taurillon).

jeudi, 25 novembre 2010

Jean-Marie Cavada et Philippe Vigier nommés porte-paroles du Nouveau Centre

logo_nouveau_centre.jpgSur proposition d’Hervé Morin, Président du Nouveau Centre,  le Comité exécutif a nommé conjointement M. Jean-Marie Cavada, député  européen, Vice-président du Nouveau Centre , et M. Philippe Vigier, député d’Eure-et-Loir, Secrétaire général adjoint du Nouveau Centre, à la fonction de porte-parole du Nouveau Centre.

Ils succèdent à M. Maurice Leroy, ministre de la ville.

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mercredi, 24 novembre 2010

Les Amis de Brigitte Fouré en Pologne

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L'association des Amis de Brigitte Fouré a effectué sa sortie annuelle
du 11 au 13 novembre dernier en Pologne.
Accompagnés par une guide francophone durant tout leur séjour, les participants à ce voyage ont eu l'occasion de visiter le camp de concentration d'Auschwitz-Birkenau à leur arrivée, en mémoire des centaines de milliers de personnes exterminées à cet endroit durant la seconde guerre mondiale, principalement de confession juive.
La seconde partie de ce périple a consisté en une découverte des hauts-lieux de Cracovie. Une ville dans laquelle les Amis de Brigitte Fouré se sont rendus notamment dans le quartier juif de Kazimierz et l'ancien ghetto (où fut tourné le film La liste de Schindler, de Steven Spielberg), mais aussi dans la cathédrale du Wawel, celle où officiait Jean-Paul II en tant qu'archevêque, où ils ont pu se recueillir devant le tombeau du président Lech Kaczynski, décédé dans un accident d'avion avec une partie de son gouvernement il y a quelques mois.
Une sortie unaninement appréciée par tous. Une soirée autour de ce voyage aura lieu pour tous les membres de l'association en avril. Les participants à ce périple pourront alors faire partager ce qu'ils ont vécu aux autres adhérents.

Auschwitz : un lieu indicible...

auschwitz_l.jpgL'association de mes amis avait décidé de se rendre à Auschwitz. En ce jeudi 11 novembre, nous étions donc en ces lieux de mémoire.

On sait bien, grâce aux documentaires, aux livres, aux photos, ce qui s'est passé là-bas mais on le sait comme si cette connaissance venait de l'extérieur. Quand on est sur place, on le ressent de l'intérieur et on est saisi par une indicible émotion. Ici, les briques des bâtiments et les cailloux des chemins parlent et disent l'horreur de la barbarie...

Seul le silence peut y répondre. Et tous les visiteurs gardent le silence.

Car que dire devant les tonnes de cheveux ou encore les milliers de paires de chaussures d'enfants exposés aujourd'hui dans les vitrines des bâtiments, à l'époque bien entendu non chauffés, où vivaient, ou plutôt tentaient de survivre des déportés qui travaillaient onze heures par jour, sans aucune hygiène, vêtus du même pyjama rayé par tous les temps?

Que dire face au mur des fusillés, que l'on humiliait jusqu'au bout, en exigeant d'eux qu'ils se déshabillent avant d'être exécutés?

Que dire devant le cachot sans air et sans lumière dans lequel est mort, par injection, le père Maximilien Kolbe, depuis canonisé par Jean-Paul II?

 

Ce sont des hommes qui agissaient ainsi

 

Que dire face au cachot dans lequel on mettait pour la nuit des prisonniers que l'on voulait punir, à quatre dans une cellule dans laquelle ils ne pouvaient tenir que debout, et qui devaient le lendemain retourner travailler?

Et pourtant, comme nous le disait notre guide, ce sont des hommes, non pas des monstres qui ont agi ainsi...

Après Auschwitz, nous nous sommes rendus à quelques kilomètres de là à Birkenau: nous sommes ainsi passés de l'extermination artisanale à l'extermination industrielle, avec toujours cette froide détermination et cette organisation rigoureuse niant l'humanité des déportés...

Nous avons vu les lieux où les Tziganes, parce qu'ils étaient Tziganes, étaient parqués, isolés des autres déportés... Ne serait-ce que pour cela, par respect pour tous ceux qui sont morts là, on n'a pas le droit de stigmatiser aujourd'hui telle ou telle population!

Les trop rares survivants de ces camps disent aujourd'hui avec beaucoup de grandeur d'âme qu'ils ont pardonné à leurs tortionnaires, mais qu'il ne faut pas oublier...

Après avoir visité ces lieux, comment oublier?

 

Aujourd'hui, alors que nous sommes en paix, c'est à l'échelle de l'Europe que ce devoir de mémoire doit être réalisé...

 

lundi, 22 novembre 2010

L'agenda de ma semaine

915002596.jpgLundi 22 novembre : Permanence sans rendez-vous en mairie de Cagny.

Café-débat des Jeunes Centristes de Picardie sur le thème du marketing des centres-villes, à Amiens.

 

Mardi 23 novembre : Obsèques de ma collègue de la faculté de droit et sciences politiques, la Maman de ma collaboratrice au Parlement Européen.

Débat sur l'éducation, avec notamment Jean-Marie Petitclerc.

 

Mercredi 24 novembre : Bureau Politique du Nouveau Centre à Paris.

 

Jeudi 25 novembre : Permanence sans rendez-vous à ma permanence à Amiens.

Réunion de la commission "Amiens, ville à vivre" de l'association Imagine Amiens que je préside.

 

Vendredi 26 novembre : Conseil d'Administration de l'association Présence Pour Amiens.

 

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dimanche, 21 novembre 2010

Hervé Morin sur Europe 1 le lundi 15 novembre

vendredi, 19 novembre 2010

Laurent Wauquiez, nouveau Ministre des Affaires européennes

y452nnd0.jpgNommé à la place de Pierre Lellouche, il devra recoller les morceaux avec Bruxelles. Contrairement à ces prédécesseurs, Laurent Wauquiez devient ministre, et non pas secrétaire d’Etat.

Quatre ministres en trois ans et demi. Laurent Wauquiez est devenu, dimanche 14 novembre, le nouveau ministre des Affaires européennes. Après Jean-Pierre Jouyet et Bruno Le Maire, exit Pierre Lellouche, qui devient secrétaire d’Etat en charge du Commerce extérieur.

Normalien agrégé d’histoire, Laurent Wauquiez est sorti premier de l’Ena. Son lien avec l’Europe est indirect. Il a en effet commencé en politique en inscrivant ses pas dans ceux de Jacques Barrot, alors ministre des Affaires sociales. Trois ans après leur rencontre, Laurent Wauquiez devient suppléant de son mentor lors des élections législative de 2002. Deux ans plus tard, lorsque le premier part à Bruxelles pour entrer à la Commission européenne, Wauquiez est élu député. A 29 ans, il est alors le benjamin de l’Assemblée nationale.

Polémique

A son arrivée à l’Elysée, Nicolas Sarkozy le nomme porte-parole du gouvernement. Au lendemain des élections municipales de mars 2008, où il gagne la mairie du Puy-en-Velay, il est nommé secrétaire d’Etat chargé de l’Emploi. 

Au deuxième semestre 2008, il a profité de la présidence française pour organiser une réunion ministérielle sur le thème de l’Emploi des séniors. 

A la tête d’un club de réflexion baptisé « la droite sociale », il veut redonner une place aux classes moyennes dans les politiques publiques. En juillet 2010, alors secrétaire d’Etat à l’Emploi, Laurent Wauquiez s'est trouvé au centre d’une polémique à propos de son micro-parti, Nouvel Oxygène. M. Wauquiez avait profité d’un déplacement à Londres pour rencontrer les banquiers français de la City. Il leur avait alors demandé un soutien financier pour son mouvement. «Certains, rancuniers, ont refusé leur aide, estimant que le président a trop maltraité les banquiers. D'autres ont signé un chèque à l'ordre de Nouvel Oxygène», précisait alors Le Point, qui avait révélé l’affaire.

Laurent Wauquiez aura un rôle important pour la campagne de l'élection présidentielle de 2012. Avec la nouvelle ministre de l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, il est en charge de l’élaboration du projet de l’UMP pour la prochaine élection présidentielle de 2012. 

« Nouveau challenge »

Contrairement à ces prédécesseurs, Laurent Wauquiez devient ministre, et non pas secrétaire d’Etat. Néanmoins, il est toujours sous la tutelle du ministre des Affaires étrangères, Michèle Alliot-Marie.

«[C’]est une belle promotion et un super challenge», a-t-il affirmé au journal Le Progrès, après avoir appris sa nomination. «Je suis fier pour la Haute-Loire car nos départements ont besoin de l'Europe. Je resterai un élu de terrain au service de la Haute-Loire pour une Europe de terrain. Car l'Europe ne doit pas être déconnectée du terrain.»

Après sa nomination, le nouveau ministre a également réagi sur son compte Twitter «Nouveau et gros challenge : après l'emploi, l'Europe. Et si les 2 étaient liés ?», a-t-il écrit dans la soirée. Au delà- des dossiers de fond, le défi est de taille car le ministre n’arrive pas en terrain conquis à Bruxelles. Depuis quelques mois, les relations entre la Commission européenne et le ministère des Affaires européennes sont très mauvaises. La polémique liée au traitement des Roms en France a fait couler beaucoup d’encre et laissé des traces. Y compris au Parlement européen. 

Recoller les morceaux

Les rapports entre bon nombre de députés européens français, notamment UMP, et l’ancien secrétaire d’Etat étaient si détéstables que certains d’entre eux auraient tout fait pour obtenir son départ. Laurent Wauquiez pourrait donc avoir à recoller les morceaux. 

Reste que le dossier de l’intégration des minorités Roms en Europe n’est pas clos. La Hongrie, qui présidera le Conseil de l’UE à partir du 1er janvier 2011, en a fait une priorité de sa présidence. 

D’autres dossiers chauds attendent le nouveau ministre. Il prend la tête des Affaires européennes à Paris en pleine négociation sur le renforcement de la coordination des politiques budgétaires de l’UE. Après la crise de la dette souveraine connue par la Grèce, qui touche aujourd’hui l’Irlande et le Portugal, les Etats réfléchissent à la mise en place de sanctions pour les pays qui ne respecteraient pas les critères prévus par le pacte de stabilité.

Modifier le traité

La révision du traité de Lisbonne voulue par l’Allemagne, pour péreniser le système de sauvetage de la zone euro est au cœur des débats. Le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy, doit faire des propositions sur le sujet en décembre. Or, les Etats ne sont aujourd’hui pas tous d’accord sur la façon dont le traité pourrait être modifié. 

Dans les deux ans à venir, le nouveau ministre sera enfin confronté aux grandes négociations sur les perspectives financières de l’UE pour 2014-2020. En pleine sortie de crise, et alors que tous les Etats membres connaissent des politiques de restriction budgétaires drastiques, l’augmentation du budget européen semble plus qu’incertaine.

La Commission a fait des propositions pour développer des ressources, différentes des contributions actuelles des Etats. Mais l’Allemagne, notamment, s’est déjà dite opposée à la mise en place de tout impôt européen. L’avenir de la politique agricole commune, si important pour la France, et de la politique régionale seront également des questions-clés.

 

(Source : Clémentine Forissier et Loup Besmond de Senneville, Euractiv.fr).

mercredi, 17 novembre 2010

Café Europe ce soir avec Margie Sudre et Johanna Bougon, à Amiens

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lundi, 15 novembre 2010

Le nouveau Gouvernement

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16:57 Publié dans France | Lien permanent | Commentaires (0)

L'agenda de ma semaine

2234422020.jpgLundi 15 novembre : Convention du Nouveau Centre à Paris sur le thème de l'égalité des chances.

 

Mardi 16 novembre : Permanence sans rendez-vous à la mairie de quartier Sud-Est, rue Pierrre Rollin.

 

Mercredi 17 novembre : Café Europe avec Margie Sudre, ancienne ministre en charge de la francophonie.

 

Jeudi 18 novembre : Conseil Municipal d'Amiens.

 

Vendredi 19 novembre : Réunion de "Femmes au Centre" à Boulogne-sur-Mer, en présence de Mireille Benedetti, Vice-présidente nationale du club.

08:03 Publié dans Mon Agenda | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 14 novembre 2010

Hervé Morin quitte le gouvernement et dénonce un manque de pluralisme et d'équilibre

1343d3ea-f02d-11df-9975-c3aab8dcf462.jpgPARIS (AP) — A quelques minutes de l'annonce de la composition du nouveau gouvernement Fillon, Hervé Morin a déclaré dimanche soir qu'il n'en ferait pas partie, accusant la future équipe d'être "une équipe de campagne électorale UMP". "Je ne pouvais pas rester au gouvernement", a annoncé le président du Nouveau centre, qui occupait le poste de ministre de la Défense dans la précédente équipe. Hervé Morin a expliqué sur i>télé et France-Info qu'il avait espéré "une représentation plus équilibrée des sensibilités de la majorité". "Au lieu de ce geste de rassemblement dans la composition du gouvernement, j'ai vu apparaître une équipe de campagne", a-t-il déploré, avant de renchérir: "j'ai vu apparaître une équipe de campagne électorale UMP". Et de confier: "Je le regrette". Souhaitant "rassembler la famille centriste", il a annoncé qu'il allait à présent "entamer un tour de France pour partager mes convictions (avec les Français) et pour les écouter". Hervé Morin a conclu en appelant "tous les centristes à rejoindre la seule formation politique indépendante de la majorité, c'est-à-dire le Nouveau centre". AP

23:27 Publié dans France, UDI | Lien permanent | Commentaires (0)

Maurice Leroy nommé Ministre de la Ville

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PARIS, 14 novembre (Reuters)- Nommé ce soir ministre de la Ville, le député du Loir-et-Cher Maurice Leroy est l'un des centristes enfin récompensés pour avoir préféré Nicolas Sarkozy à François Bayrou au lendemain de l'élection présidentielle.

"Momo", comme l'appellent ses proches, remplace à ce poste Fadela Amara, symbole de la diversité.

Il n'a pas que des amis au Palais-Bourbon. Certains lui reprochent ses fidélités successives et surtout de tenir des propos acerbes à l'égard de ses amis de la veille.

Âgé de 51 ans, Maurice Leroy a longtemps oeuvré au Parti communiste avant de devenir un des fidèles lieutenants du président de l'UDF, après quelques années passées dans l'entourage de Charles Pasqua.

Maurice Leroy a commencé sa carrière politique comme directeur de cabinet du maire alors communiste d'Orly, dans la banlieue parisienne, avant d'occuper le poste de secrétaire général du groupe communiste du Sénat, de 1984 à 1990.

Il retournera ensuite dans des cabinets d'élus communistes, celui du conseil général du Val-de-Marne puis de la mairie de Nanterre (Hauts-de-Seine), avant de passer chez le très RPR Charles Pasqua comme chargé de mission au ministère de l'Intérieur et au conseil général des Hauts-de-Seine.

Il rejoindra ensuite le cabinet du RPR Eric Raoult, devenu ministre délégué à la Ville et à l'Intégration.

En 1997, Maurice Leroy est élu député UDF de la troisième circonscription du Loir-et-Cher. Il sera réélu en juin 2002 et choisira de rester à l'UDF au moment de la création de l'UMP.

Il était l'un des porte-parole de François Bayrou lors de la campagne présidentielle, où le candidat centriste a obtenu 18,6% des voix au premier tour. Longtemps thuriféfaire du dirigeant centriste, il deviendra du jour au lendemain l'un de ses adversaires les plus acharnés.

Rallié au lendemain du premier tour de l'élection présidentielle à la candidature de Nicolas Sarkozy, comme la majorité des députés UDF sortant, il est réélu député du Loir-et-Cher en juin 2007.

Maire du Poislay, dans ce même département de 1989 à 2001, Maurice Leroy est conseiller général depuis 1994. Il préside l'instance départementale depuis mars 2004.

D'un contact facile, Maurice Leroy, qui a su garder de bonnes relations avec certains de ses anciens amis communistes, n'avait jamais raté une occasion de pourfendre "l'hégémonisme" d'une UMP dont il s'est pourtant rapproché et avec laquelle il entretient d'excellentes relations.

Il est titulaire d'une maîtrise de sciences économiques et d'un diplôme de technologie de gestion des entreprises et des administrations obtenu après des études au lycée Montaigne, puis à Paris I-Panthéon Sorbonne et à l'Institut universitaire de technologie de Saint-Denis.

Marié et père de trois enfants, Maurice Leroy, qui pratique le tennis et la natation, est un passionné de cinéma et de littérature. Il est incollable sur Stendhal.

 

(Par Elizabeth Pineau, édité par Yves Clarisse)

23:19 Publié dans France, UDI | Lien permanent | Commentaires (0)

En mémoire de toutes les personnes exterminées à Auschwitz

 Mille Colombes