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mardi, 20 décembre 2011

La Corée du Nord, l'un des pays les plus fermés du monde


Reporters - Alors que le leader nord-coréen Kim Jong-il est décédé samedi d’une crise cardiaque, notre reporter a réussi à entrer dans ce pays, l’un des plus fermés du monde, quelques semaines plus tôt.

(Source : France 24).

12:16 Publié dans Monde | Lien permanent | Commentaires (0)

Dessine moi Paris : un projet de Julien Dugué

 

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http://www.dessine-moi-paris.com/ - Dessine moi Paris propose aux artistes de présenter leurs dessins de la ville de Paris et de ses monuments historiques.
 
http://www.dessine-moi-paris.com/ ------> Réunit les artistes et leurs oeuvres sur un thème commun : La ville de Paris - Suivez DMP sur twitter : http://twitter.com/dessinemoiparis - Devenez Fan sur Facebook !
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lundi, 19 décembre 2011

L'agenda de ma semaine

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Photo : Ma permanence a pris ses habits de fêtes. Merci à Nicole qui arrange tout cela avec goût !

 

Lundi 19 décembre :

10h : réunion de travail avec mes bénévoles

19h : colorisation de la cathédrale

 

Mardi 20 décembre :

17h30 : fête de Noël organisée par le Comité de Quartier La Vallée

18h30 : réunion de travail « Parole aujourd’hui »

 

Mercredi 21 décembre :

10h30-16h : réunion avec les comités de soutien d’Hervé Morin à Paris

20h30 : réunion du Nouveau Centre à Amiens

 

Jeudi 22 décembre :

10h : rendez-vous avec un chef d’établissement scolaire d’Amiens

12h30 : déjeuner avec un élu local.

 

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Ma permanence (10, rue Jean Calvin à Amiens) est fermée depuis le samedi 17 décembre et jusqu'au mardi 3 janvier inclus. Réouverture au public le mercredi 4 janvier à 14h30.

 

14:16 Publié dans Mon Agenda | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 18 décembre 2011

Hervé Morin invité de Bruce Toussaint sur Europe 1 le 14 décembre


samedi, 17 décembre 2011

En ce mois de décembre, laissez-vous emporter par les polychromies de la Cathédrale d'Amiens chaque soir à 19 heures !

amiens-illuminations.jpg

Depuis quelques années, la cathédrale Notre-Dame d'Amiens retrouve, durant les soirées estivales, ses couleurs d'autrefois, lors d'un magnifique spectacle son et lumière. Grâce à un procédé ingénieux consistant en la projection de lumière traversant un écran translucide sur lequel les couleurs originelles des statues ont été reproduites, un véritable spectacle « son et lumière » est proposé sur le parvis de la cathédrale d'Amiens.

Cette technique est sans dommage et irréversibilité.

Chaque soir à 19 heures sur le parvis.

vendredi, 16 décembre 2011

Vendredi Europe Express - Remise du Prix Andreï Sakharov 2011 à Strasbourg

Prix Sakharov 2011.JPG

Le président du Parlement européen, Jerzy Buzek, a remis solennellement ce 14 décembre 2011 à Strasbourg le prix Sakharov à cinq militants des révoltes arabes. Seuls Ahmed al-Zubai Ahmed al-Sanusi, originaire de Libye et Asmaa Mahfouz, d'Égypte, ont fait le déplacement. Mohamed Bouazizi est lauréat à titre posthume. Le caricaturiste syrien, Ali Farzat et sa compatriote, l'avocate Razan Zitouneh, ont envoyé des messages aux eurodéputés.

 

(Source : RFI).

Vendredi Europe Express - La Croatie va rejoindre l'Union européenne

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Et de 28 ! La Croatie devrait devenir le 28e Etat membre de l'Union Européenne en juillet 2013.

Les dirigeants croates ont, en effet, signé vendredi à Bruxelles, un traité qui lui permettra de rejoindre l'UE en juillet 2013, quand il sera approuvé par référundum par son peuple et ratifé par les 27.

A la sortie des discussions sur le "pacte" pour sauver la zone euro, les dirigeants européens, exception faite de Nicolas Sarkozy représenté par Jean Léonetti, le ministre des Affaires européennes, ont paraphé le traité d'adhésion avec le président et la Première ministre croates. "Vous êtes chaleureusement bienvenus dans la famille européenne", a déclaré Herman Van Rompuy, le président du Conseil européen. Il a toutefois relevé que ce n'était "pas encore le bout du chemin pour la Croatie". "Avant la date d'accession, les réformes devront continuer", a-t-il souligné.

"Nous assistons a un événement historique qui, mesuré à l'aune de son importance pour le peuple croate, n'a d'égal que la déclaration d'indépendance de notre pays", s'est réjoui Ivo Josipovic, le président croate. Jadranka Kosor, la chef de gouvernement croate, devrait participer à un sommet européen, en tant qu'observatrice.

L'UE semble avoir tiré les conséquences des adhésions hâtives de la Roumaine et de la Bulgarie en 2007. Elle a placé Zagreb sous un système de surveillance afin de s'assurer qu'elle poursuivra ses efforts de réformes d'ici 2013. Des rappports seront rendus fréquemment par la Commission européenne sur la mise en oeuvre des réformes du système judiciaire, la concurrence, et la lutte contre le crime organisé et la corruption. Des sanctions sont envisagées si l'exécutif européen juge les effort croates insuffisants. Elles prendront la forme de lettre d'avertissement mais pourraient déboucher sur un gel de fonds européens.

La Croatie va devenir le deuxième Etat de l'ex-Yougoslavie, après la Slovénie, à entrer dans l'Union européenne.

 

(Source : La Dépêche).

mercredi, 14 décembre 2011

Brigitte Fouré cet après-midi dans le quartier d'Amiens-Etouvie

amienscoursives-80.jpgBrigitte Fouré sera présente cet après-midi sur le marché d'Etouvie dès 14h30 et assurera avec Nedjma Ben Mokhtar, conseillère municipale d'Amiens, une permanence commune à 16 heures en mairie de quartier Etouvie.

Les puces électroniques vont-elles restreindre notre liberté ?

Par Julien Dugué

Radio_Frequency_IDentification.jpgLes nouvelles technologies, internet, GPS, téléphonie mobile, cartes électroniques font partie de notre quotidien.
Devenues incontournables, elles ont concidérablement modifié notre notion de la vie privée.
Dans ce domaine, il convient de rester vigilants pour que les droits de l'homme soient bien préservés.

Par exemple la radio-identification RFID qui permet déjà le marquage des objets et des êtres vivants doit être restreinte en Europe car elle pourrait devenir liberticide pour les citoyens et constitue une menace pour la société démocratique. (Exemple : puce sous-cutanée)

 

Pour aller plus loin :

Reportage de la RTBF "Question à la une" les puces éléctroniques "les puces électroniques" : un reportage de Régis de Rath et Serge Ruyssinck, diffusé le 25 avril 2008 par la RTBF.
http://video.google.fr/videoplay?docid=570379243749833404...


Radio-identification sur Wikipédia
http://video.google.fr/videoplay?docid=570379243749833404...

mardi, 13 décembre 2011

Dossier spécial "Rail" (3/3) : Nouveaux horaires SNCF - "Big Bang" sans difficultés malgré des retards et la grogne

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Véritable test pour les nouveaux horaires des trains SNCF, la journée de lundi a débuté sans incident majeur sur le réseau hexagonal, l'entreprise faisant état de retards de TGV dus à un problème de signalisation et de quelques manifestations d'usagers mécontents.

Le PDG de la SNCF Guillaume Pepy s'est félicité lors d'une conférence de presse lundi en fin d'après-midi du taux de ponctualité de 95% des 7.975 trains ayant circulé dimanche, soit mieux que les 90% de la grille précédente.

La SNCF considère qu'un train est à l'heure lorsque son retard n'excède pas cinq minutes.

Le taux n'était pas disponible à ce stade pour le service de lundi, au cours duquel devaient circuler quelque 15.600 trains, soit 200 de plus par rapport au service qui s'est achevé le 10 décembre (150 TER et 50 TGV de la nouvelle ligne à grande vitesse Rhin-Rhône). Près de 4 millions de passagers circulent chaque jour de semaine sur le réseau ferré français.

Au regard de la situation lundi en fin d'après-midi, "le grand chambardement s'est passé correctement et les oiseaux de mauvais augure seront déçus", a relevé le ministre des Transports Thierry Mariani, lors de la même conférence de presse.

Il a félicité les personnels de la SNCF et du gestionnaire Réseau ferré de France (RFF) pour avoir mené à bien cette "opération délicate" qui a consisté à modifier d'un coup près de 100.000 horaires.

Le responsable du centre de veille national installé par la SNCF près de la Gare de l'Est, à Paris, avait indiqué que la période de pointe matinale s'était "bien passée". "On devait s'assurer que le ballet était bien monté", avait indiqué Alain Garde.

"Les changements ont été digérés", avait-il ajouté, confiant que le prochain test serait au moment des Fêtes de fin d'année et des intempéries hivernales.

Selui lui, l'écart est supérieur à 5 minutes pour seulement 1,5% des 3 millions d'usagers du Transilien.

Pour l'occasion, quelque 30.000 agents ainsi que 2.000 volontaires "gilets rouges" avaient été déployés dans les trains et les gares pour accueillir et renseigner les voyageurs.

"On a les questions habituelles d'orientation en gare ou d'achat de billets. Concernant le changement d'horaires, on nous demande simplement où trouver les fiches", ont expliqué à l'AFP trois "gilets rouges" de la gare du Nord.

Selon la SNCF, une vingtaine de TGV circulant sur la ligne Atlantique ont été retardés lundi matin par un incident de signalisation "sans lien" avec les nouveaux horaires.

Par ailleurs, cinq trains ont été bloqués par des manifestants en gare de Dordive (Loiret), sur l'axe Clermont-Ferrand-Paris, et 2 TGV ont été retardés au départ d'Angoulême où une trentaine d'usagers et une cinquantaine d'élus et syndicalistes ont protesté contre les changements d'horaires et notamment la suppression de trois TGV desservant la ville.

Sur le quai, ils avaient déployé banderoles et pancartes proclamant, entre autres, "SNCF tu dérailles".

Selon un porte-parole de Réseau Ferré de France (RFF), il s'agit des deux seules manifestations ayant perturbé la circulation des trains lundi matin tandis que des "incidents liés à l'exploitation classique" du réseau ont été répertoriés.

Mais des dizaines d'abonnés de la ligne Le Mans-Massy ont observé une "grève" de présentation des billets, a indiqué Michel Pottier, président de l'Association des voyageurs usagers des chemins de fer (Avuc), dont le site internet "bigbang.bigbug" a recueilli "plus de 1.000 doléances".

La SNCF a modifié pas moins de 85% des horaires depuis dimanche 00H01, une révolution pour l'entreprise.

Trois raisons principales sont à l'origine des modifications enclenchées ce week-end: le gigantesque chantier de rénovation de 5.000 kilomètres de voies d'ici 2016 (13 milliards d'euros au total) ; l'ouverture de la LGV Rhin-Rhône, première ligne à grande vitesse de province à province, et la mise en place du cadencement, un dispositif faisant partir les trains aux mêmes horaires.

Selon la SNCF et RFF, plus de 1.000 chantiers sont prévus rien qu'en 2012 sur les 30.000 km de voies ferrées françaises.

 

(Source : Le Point).

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Dossier spécial Rail (2/3) : La Ligne à Grande Vitesse Rhin-Rhône a accueilli ses premiers voyageurs

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TGV.jpgLe TGV Rhin-Rhône est entré en service commercial hier. 140 kilomètres de lignes nouvelles entre Dijon et Mulhouse qui vont aussi bouleverser la vie économique de la Franche-Comté.

La mise en service hier du TGV Rhin-Rhône va bouleverser le paysage économique de la Franche-Comté. La construction de 140 kilomètres de lignes nouvelles sur l'itinéraire Dijon -Mulhouse permettra à 11 millions de passagers de gagner 1 heure à 1 h 30 sur de nombreuses destinations. Un désenclavement attendu depuis des lustres par les acteurs politiques et économiques franc-comtois qui viennent de lancer une campagne de communication, « L'originale Franche-Comté » (2 millions d'euros sur deux  ans).

Entre Belfort et Montbéliard, l'attente est la plus forte. C'est là que le premier TGV fut construit il y a trente ans, et c'est là que le gain de temps est le plus évident : de 3 h 40 à 2 h 16 pour rejoindre Paris. « Une révolution », selon Alain Seid, le président de la chambre de commerce du Territoire de Belfort et du Club TGV de l'Aire urbaine, constitué pour accompagner l'événement. Au menu, un projet de lycée international. « Pour les entreprises de la Vallée de l'énergie qui vient de voir le jour et qui attend beaucoup du TGV, c'est incontournable », affirme-t-il. Dans un bassin d'emploi essentiellement automobile, l'énergie est un secteur de diversification prometteur. Mais une autre diversification se dessine avec l'horlogerie suisse. L'arrivée du TGV et l'achèvement de l'autoroute A16 facilite en effet la création de zones d'activité à la frontière, à quelques kilomètres à Boncourt et Chevenez. Swatch et Tag Heuer implantent des sites de production qui créeront chacun 200 emplois d'ici à 2013. Swatch en annonce 700 à moyen terme, et Sonceboz SA, société microtechnique suisse, prévoit également 300 emplois à Boncourt. « La localisation convient à ces groupes », analyse Thierry Bregnard, chef du service économie de la République et canton du Jura. « Nous avons du foncier disponible, nous avons relancé notre école d'horlogerie et il y a des possibilités de développement avec la main-d'oeuvre frontalière », ajoute-t-il.

Bassin d'emploi pour l'horlogerie

Conjuguée à l'effet TGV, la proximité du bassin d'emploi est une aubaine pour l'horlogerie suisse, qui a déjà saturé le pays horloger, plus au sud. « 700 ou 800 emplois se créent à proximité d'un territoire qui compte 11 % de chômeurs », confirme Gilles Curtit, le président de la CCI de Franche-Comté. Et tout sera encore plus simple fin 2014, lorsque la ligne TER franco-suisse Belfort-Delle-Porrentruy desservira ces zones d'activités et sera connectée à la gare TGV. En Franche-Comté aussi, les aménageurs sont à pied d'oeuvre. Les travaux du parc tertiaire jouxtant la gare de Besançon-Franche-Comté seront lancés en 2012. A terme, l'ensemble pourrait accueillir 3.500 salariés.

Pour la suite, 50 kilomètres de ligne restent à financer de part et d'autre de la première tranche de la branche Est, 35 kilomètres entre Belfort et Mulhouse, et 15 kilomètres entre Petit-Croix et Dijon. Le budget est estimé à plus de 1 milliard d'euros. Après trois mois de discussion entre Etat, RFF et collectivités, un accord politique a été trouvé entre les parties. Les collectivités concernées soumettent cet accord à leurs assemblées en ce moment. Un protocole de financement devrait être signé en 2012, puis les appels d'offres en 2013, pour démarrer les travaux en 2014.

 

 
(Source : Les Echos).

Dossier spécial Rail (1/3) : "Thello", premier train privé de voyageurs, a relié Paris à Venise dimanche dernier

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Le premier train privé de voyageurs en France, concurrent de la SNCF, a quitté la Gare de Lyon à Paris, dimanche à 19h48, pour rallier Venise où il est arrivé à 09h34 lundi matin. Un « changement d’époque » qui n’est pas du goût des cheminots.

Paris-Venise aujourd’hui, Paris-Rome courant 2012

Alors que la SNCF a passé sans trop de heurts l’épreuve du basculement d’horaires, elle fait fasse à la première concurrence d’une compagnie privée pour le transport des voyageurs.

Il s’agit d’un train de la compagnie Thello, co-entreprise nouvellement créée par le groupe Transdev (privé) associé à l’opérateur italien Trenitalia (public).

« Le rail français va changer d’époque maintenant en passant d’un monopole à un système ouvert », s’est félicité son directeur général Albert Alday.

Thello arrive toutefois modestement sur le réseau avec un aller-retour quotidien vers l’Italie, l’objectif étant « d’améliorer le produit et, si les retours sont bons de la part de nos clients, de proposer une liaison de nuit Paris-Rome courant 2012 », a ajouté M. Alday.

Un meilleur service à bord promet Thello

La compagnie compte aussi se démarquer par le service à bord assuré par LSG Sky Chefs, qui a travaillé avec de nombreuses compagnies aériennes. Entre huit et douze personnes seront embarquées pour le service aux voyageurs. « La différence avec nous, c’est que l’équipe qui prend en charge le voyageur au départ le suit jusqu’à son arrivée », a encore expliqué le patron de Thello.

Les trains partent de la Gare de Lyon, où Thello dispose d’un local d’exploitation ainsi que d’une boutique pour la vente de billets. Les places peuvent aussi être réservées sur le site www.thello.com.

Prix attractifs

Les prix des billets sont proposés à partir de 35 € pour une cabine six couchettes jusqu’à 275 € pour une cabine avec un lit. Par exemple, en réservant sur internet aujourd’hui un Paris-Venise pour le 19 janvier, vous paierez en effet 35 € pour une cabine six couchettes (départ 19h45, arrivée 9h34) sur Thello contre 80,40 € avec la SNCF, prix le le plus bas (départ 23h12, arrivée 15h28)

Au détriment des usagers

Une ouverture du rail la concurrence qui n’est pas du goût des cheminots. Ils ont manifesté lundi sur les quais de la Gare de Lyon à l’arrivée de Thello.

« Nous sommes venus interpeller les voyageurs sur les trains privés et leur dire que l’ouverture à la concurrence se fera au détriment des usagers, des missions de service public, des conditions de travail des salariés et de la sécurité ferroviaire », a dit à l’AFP Eric Santinelli, secrétaire régional SUD.

Menace sur la sécurité

L’« unique objectif reste et demeure la rentabilité à tout prix au mépris des conditions de transport des voyageurs et des conditions sociales des salariés », estiment-ils, assurant que l’ouverture à la concurrence du fret en 2006 était un « vrai désastre » qui « bénéficie surtout aux camions ».

Les cheminots ont également cité l’exemple de l’Angleterre où « les grands perdants de la libéralisation du chemin de fer ont été la sécurité et les usagers avec les trois catastrophes meurtrières en 1999, en 2000 et en 2001 ».

10:14 Publié dans Transports | Lien permanent | Commentaires (0)

lundi, 12 décembre 2011

L'agenda de ma semaine

915002596.jpgLundi 12 décembre :

9h30 : session du  Conseil Général

12h30 : déjeuner avec un élu local

17h30-19h : permanence rue Vascosan

 

 

Mardi 13 décembre :

9h30 : session du Conseil Général

12h30 : déjeuner avec des élues locales

19h15 : COMEX du Nouveau Centre à Paris

 

Mercredi 14 décembre :

14h30 : marché d’Etouvie

16h : permanence en Mairie de Quartier Etouvie avec ma collègue Nedjma Ben Mokhtar

 

Jeudi 15 décembre :

9h-12h : permanence sans rendez-vous à ma permanence

12h30 : déjeuner personnel

18h : réception à Amiens Nord Boxe Française

 

Vendredi 16 décembre :

12h30 : déjeuner avec un administrateur de mon association

18h : Printemps des Générations

 

Samedi 17 décembre :

10h15 : hommage à Julien Burnay

14h30 : arbre de Noël organisé par le Comité de Quartier Faubourg de Hem

 

Dimanche 18 décembre :

15h30 : arbre de Noël organisé par le Comité de Quartier Renancourt.

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dimanche, 11 décembre 2011

Hervé Morin, des idées neuves pour changer la France !

Brigitte - Morin à Wasquehal.jpg

Avec Hervé Morin, lors de sa première réunion de campagne à Wasquehal (Nord) le vendredi 2 décembre. A ma droite, le Député du Nord Francis Vercamer.

samedi, 10 décembre 2011

Rendez-vous au Marché de Noël d'Amiens à partir de 15 heures !

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Je serai présente avec mon équipe cet après-midi à partir de 15 heures sur le marché de Noël d'Amiens, pour aller à la rencontre des habitants et faire la promotion de la candidature d'Hervé Morin à l'élection présidentielle.

vendredi, 09 décembre 2011

Vendredi Europe Express - Un accord européen trouvé sans la Grande-Bretagne

euro.jpgCe n'est pas à 27 que les pays européens vont négocier les termes d'un nouveau traité qui installera une discipline budgétaire de fer. La chancelière allemande l'avait laissé sous-entendre en arrivant à Bruxelles hier, les faits lui ont rapidement donné raison. Avant le dîner qui devait ouvrir le sommet Nicolas Sarkozy et Angela Merkel se sont enfermés avec David Cameron. «C'était une mise en bouche intéressante», raconte un négociateur, dans un doux euphémisme.

«Nous ne sommes pas exclus (de l'Union européenne)»

Cette réunion à trois avait pour visée d'éviter le blocage des discussions à 27. Mais voilà, le premier ministre anglais arrivait «avec la main lourde», selon l'expression d'un diplomate européen. Il exigeait notamment que figure dans le traité un protocole permettant d'exonérer le Royaume-Uni de certaines réglementations des services financiers. Inacceptable pour Paris et Berlin. «Nous aurions préféré un accord à 27, cela n'a pas été possible compte tenu de la position de nos amis britanniques qui ont posé des demandes inacceptables par tous les autres pays», a regretté le président de la République, Nicolas Sarkozy. Le premier ministre britannique, David Cameron, s'est dit lui satisfait. «Il s'agit d'une décision difficile mais bonne», a-t-il affirmé, en jugeant que son pays n'avait pu obtenir des «gardes-fous» nécessaires. Et d'ajouter : «Nous ne sommes pas exclus (de l'Union européenne».

Il n'empêche, les 27 dirigeants ont négocié pendant plus de 9 heures. Une interruption de séance agitée vers 3 heures du matin a un instant laissé croire à une légère avancée. Mais très vite, après avoir consulté leurs sherpas, les chefs d'Etat et de gouvernement ont refermé les portes. Et la Grande-Bretagne n'a finalement pas donné son feu vert. «Les discussions ont été plus que vives!», raconte-t-on de l'intérieur. «Nous aurions préféré une réforme des traités à 27. Ce sera finalement un traité intergouvernemental», a indiqué Nicolas Sarkozy à l'issue de la nuit de négociation.

La Hongrie rentre dans le rang

Du coup, la zone euro s'oriente vers un traité dans lequel les dix-sept pays membres seraient rejoints par six, voire neuf des dix autres États de l'Union européenne. La Suède et la République tchèque ont en effet dit avoir besoin de temps avant de trancher. La Hongrie se dit prêt à rejoindre le groupe des 17.

 

(Source : Le Figaro - Economie).

jeudi, 08 décembre 2011

Impressions de campagne auprès d'Hervé Morin

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logo.pngDimanche 27 novembre, devant environ mille militants, Hervé Morin se déclarait candidat depuis sa Normandie natale.

Vendredi 2 décembre, il tenait sa première réunion de campagne devant trois cent cinquante personnes à Wasquehal.

Pour ces deux évènements, j'étais présente, avec une délégation de la Somme. Et nous avons tous apprécié la qualité du discours: des propos clairs, qui ne cachent pas la gravité de la situation économique dans laquelle nous sommes, un langage de vérité bien loin des propos démagogiques de certains, des propositions concrètes sur l'éducation avec l'aménagement du temps scolaire, sur le temps de travail ou encore sur l'Europe mais aussi et surtout des perspectives pleines d'espérance!

Les temps sont difficiles, oui. Il faudra faire des efforts, on le sait. Mais ces efforts devront être supportés équitablement par tous les Français. N'attendons pas de solution-miracle ou d'homme providentiel qui règle tout mais comptons sur nos atouts, et ils sont nombreux.

Autrement dit, Hervé Morin s'adresse prioritairement à la classe moyenne, qui se sent trop souvent abandonnée par les pouvoirs publics.

Comme beaucoup de Français, je n'aime pas les discours politiques démagogiques qui sont dangereux pour la démocratie, même s'ils sont totalement faux: c'est si facile d'attribuer nos difficultés à des boucs émissaires, qui seront tantôt les étrangers, tantôt l'Europe!

Je n'aime pas non plus les discours dans lesquels les hommes politiques prétendent régler tous les problèmes comme par enchantement grâce à leur seule présence à la tête de l'Etat. Tout le monde sait bien aujourd'hui que les questions à résoudre sont complexes et qu'elles ne peuvent pas être réglées à l'échelle d'un seul pays et moins encore d'un seul homme.

D'ailleurs, je pense que si les Français désertent les bureaux de vote c'est parce que trop souvent les hommes politiques les traitent comme s'ils étaient des démeurés ou des enfants incapables de comprendre. Je reste convaincue que les Français s'intéressent à la politique, au sens le plus noble du terme.

C'est pourquoi je sais que les Français, comme moi, aiment être traités en adultes responsables. Ils voient bien ce qui se passe dans le monde, ils connaissent et savent analyser la  situation économique. Aussi veulent-ils entendre un langage politique clair et vrai. C'est ce discours que, parce qu'il est centriste, Hervé Morin peut et doit porter.

mercredi, 07 décembre 2011

Café Europe avec Jean-Marc Albert à Amiens ce soir

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lundi, 05 décembre 2011

L'agenda de ma semaine

1496184441.JPGLundi 5 décembre :

9h30 : session du  Conseil Général

15h30-17h : permanence en Mairie de Quartier Saint-Acheul

18h15 : intervention dans le cadre du Club Inner Wheel d’Amiens

 

Mardi 6 décembre :

14h30 : réunion de préparation en vue d’un forum à Amiens

20h30 : gala de Noël de la ville d’Amiens

 

Mercredi 7 décembre :

11h : 1° pierre du prolongement du boulevard de Strasbourg

14h30 : rendez-vous à ma permanence

18h : café-Europe avec Jean-Marc Albert sur les traditions culinaires de Noël

 

Jeudi 8 décembre :

9h-12h : permanence sans rendez-vous à ma permanence

14h-17h30 : cours à la faculté de droit

18h : Conseil Municipal d’Amiens sur le budget

 

Vendredi 9 décembre :

8h-11h 30 : cours à la faculté de droit

13h-15h : cours à la faculté de sciences humaines et sociales

15h : goûter des aînés organisé par le Comité de Quartier Saint-Roch

 

Samedi 10 décembre :

Surveillance d’une épreuve de contrôle continu à la faculté de droit

14h30 : arbre de Noël organisé par le Comité de Quartier Saint Germain-Les Halles

15h30 : visite du Marché de Noël d'Amiens.

08:00 Publié dans Mon Agenda | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 04 décembre 2011

La Somme avec Hervé Morin !

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Avec Laurent Perrette, Délégué Départemental du Nouveau Centre 80; Olivier Mira, mon suppléant au Conseil Général; Daniel Dubois, Sénateur et Président du groupe du Centre et des Indépendants au Conseil Général et Stéphane Demilly, Député-Maire d'Albert.

C'était dimanche dernier lors de la déclaration de candidature d'Hervé Morin à l'élection présidentielle, à Berville-sur-Mer (Eure), au pied du Pont de Normandie.

samedi, 03 décembre 2011

Jean-Marie Cavada élu Président du Mouvement Européen-France

Cavada.jpgJean-Marie CAVADA, Député européen, vient d’être élu Président du Mouvement Européen-France par le Conseil national de ce Mouvement ce samedi 3 décembre 2011. Il succède à Christian Philip, Recteur de l’Académie de Montpellier, démissionnaire.

Le Mouvement Européen est la plus ancienne association française de soutien à la construction fédérale de l’Europe. Elle est née en 1949 après le discours de La Haye. Elle comporte plus de 3000 membres, dont un tiers de jeunes. Elle regroupe au sein de son Conseil national, des membres de la Société civile, et des experts européens à travers trois collèges. La désignation de Jean-Marie Cavada par 180 voix contre 111 au Vice-président délégué sortant, Jean-Luc Sauron, montre un profond accord pour développer, rajeunir, et faire entendre la doctrine du Mouvement Européen dans cette période de grave crise.

Ma permanence d'élue accueille aujourd'hui le Téléthon !

Logo-Telethon.jpgL'association des grands-parents est présente toute cette journée au sein de ma permanence du 10, rue Jean Calvin à Amiens en vue de réaliser une vente d'objets au profit du Téléthon.

Cet après-midi, Jean-Christophe Parisot, Sous-Préfet et Président de mon association, sera sur la péniche du Téléthon, à Paris, en direct sur France 2.

Pour faire vos dons, appelez le 36 37 !

vendredi, 02 décembre 2011

Vendredi Europe Express - Il ya 20 ans, l'URSS s'effondrait...

L'URSS s'est effondrée en décembre 1991. C'était il y a 20 ans. Tout a commencé avec l'arrivée de Mikhaël Gorbatchev au pouvoir. Le nouveau dirigeant est un réformateur, il lance vite la Perestroïka: un ensemble de mesures de libéralisations économiques et politiques. Mais la crise s'aggrave, les pénuries augmentent. Parallèlement, les revendications nationalistes s'accélèrent dans les différentes républiques de l'Union, qui une à une, proclament leur indépendance...

 

(Sources : Yahoo! Actualités et IRIS).

mercredi, 30 novembre 2011

Déclaration de candidature d'Hervé Morin à l'élection présidentielle

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C'était dimanche dernier à Berville-sur-Mer (Eure), au pied du Pont de Normandie.

lundi, 28 novembre 2011

L'agenda de ma semaine

Agenda Mairie.jpgLundi 28 novembre :

9h30 : réunion de groupe au Conseil Général

11h30 : inauguration des travaux de la SIP aux Coursives

18h : Conseil d’Administration du Collège Jean-Marc Laurent

18h30 : réunion de groupe à la Mairie d’Amiens

 

Mardi 29 novembre :

Rendez-vous personnel

19h15 : COMEX du Nouveau Centre à Paris

 

Mercredi 30 novembre :

11h : rendez-vous à ma permanence

16h : réunion de travail Imagine Amiens

18h : commission des finances de la ville

 

Jeudi 1er décembre :

9h-12h : permanence sans rendez-vous à ma permanence

14h-17h30 : cours à la faculté de droit

18h : commission démocratie locale de la ville d'Amiens

 

Vendredi 2 décembre :

8h-11h 30 : cours à la faculté de droit

13h-15h : cours à la faculté de sciences humaines et sociales

18h : inauguration d’une exposition de peinture

 

Samedi 3 décembre :

Election du Président du Mouvement Européen France

Vente à ma permanence, au profit du Téléthon

 

Dimanche 4 décembre :

13h : arbre de Noël du Comité d’œuvres Sociales de la ville d'Amiens.

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dimanche, 27 novembre 2011

Présidentielle 2012 : Je soutiens Hervé Morin !

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Retrouvez le candidat sur son site de campagne : CLIQUEZ ICI.

Hervé Morin sur RTL le 22 novembre

RTL-LOGO.jpgHervé Morin était jeudi soir l'invité "fil rouge" de l'émission RTL Soir, présentée par Christophe Hondelatte.

Pour l'écouter ou la réécouter, CLIQUEZ ICI.

vendredi, 25 novembre 2011

Vendredi Europe Express - Merkel retoque Sarkozy : le rôle de la BCE ne sera pas modifié

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Berlin, Paris et Rome sont parvenus hier à Strasbourg à un compromis a minima pour renforcer la discipline budgétaire de la zone euro, mais Nicolas Sarkozy n'a pas fait plier l'Allemagne sur un point important à ses yeux : le rôle de la BCE face à la crise. ...

Après les tensions de l'ère Berlusconi, le couple franco-allemand avait convié l'Italie de Mario Monti à se joindre à son énième réunion de crise et a promis « de soutenir et aider » son gouvernement, confronté à la défiance des marchés.

L'Italien a rassuré Paris et Berlin sur sa détermination à redresser les finances publiques de son pays surendetté. « L'objectif de l'équilibre budgétaire en 2013 n'est pas remis en cause », a dû concéder Mario Monti, alors qu'il avait laissé planer un doute ces derniers jours. Il a taclé au passage la France et l'Allemagne qui, en 2003, avaient « violé » le Pacte de stabilité.

La bonne santé économique de l'Italie conditionne celle du reste de la zone euro, avec la France en première ligne. Mais le débat sur les solutions pour endiguer la propagation de la crise n'a pas été tranché, notamment le point le plus épineux, au coeur d'un bras de fer entre Paris et Berlin : une intervention plus déterminée de la Banque centrale européenne (BCE) pour acheter de la dette des pays en difficulté, à l'instar de ce que fait la Réserve fédérale américaine.

La France avait fait monter la pression ces derniers jours. En vain.

L'Allemagne s'y refuse parce que les statuts de la BCE, dont le rôle est officiellement de contenir l'inflation, ne le prévoient pas. « Nous avons tous trois indiqué que dans le respect de l'indépendance de cette institution, il fallait s'abstenir de demandes positives ou négatives » à la BCE, a déclaré Nicolas Sarkozy, faisant ainsi marche arrière.

En revanche la dirigeante de la première économie européenne a obtenu l'aval de la France à une révision des traités européens. Solution qui suscitait pourtant les réserves de Nicolas Sarkozy il y a peu.

Angela Merkel a aussi fermé la porte à une proposition d'euro-obligations pour mutualiser les dettes européennes, remise sur la table par Bruxelles

 

(Source : La Voix du Nord).

mercredi, 23 novembre 2011

Discours d'Hervé Morin au Conseil national du Nouveau Centre autour du projet centriste le 20 novembre 2011

 Chers amis,


Merci de votre présence, merci de votre amitié, merci de votre soutien.
Alors pour commencer un immense merci à Jean-Marie Cavada et Philippe Vigier pour le travail  titanesque qu’ils ont réalisé. Merci aussi à François Xavier Priollaud, qui non seulement gère le parti, organise la campagne, répond aux sollicitations des fédérations, et a été la cheville ouvrière de ce document.
Merci pour la méthode utilisée.
Et je vous le garantis ce ne fut pas un travail en chambre, mais ce projet est le fruit d’un vrai travail d’équipe au niveau national, mais aussi dans chaque fédération.
Tout ce qui pouvait être fait a été fait. Des réunions d’experts, des débats, des retours de terrain auprès des militants, dix conventions thématiques avec des centaines de participants, les contributions des fédérations, mon tour de France depuis un an.
Et Dieu sait si tout ce travail était difficile. C’est facile de s’indigner, c’est plus dur de proposer.
Je sais toutes les idées que vous avez éliminées ! Je sais tous les projets que vous avez écartés ! Je sais toutes les promesses que vous n’avez pas voulu faire. Vous avez eu raison.
Le Nouveau Centre, ce n’est pas le Parti Socialiste, nous ne sommes pas dans le rêve, nous sommes dans la vérité. La campagne électorale de 2012, vous pouvez en être sûr ce ne sera pas Hollande au pays des merveilles.
Certains m’ont même dit, un projet, est-ce-que cela vaut la peine d’en faire un avec la situation financière qui est la nôtre ?
Pardon, mais c’est tout sauf une question stupide. Dans une famille, quand les découverts s’accumulent, quand les fins de mois deviennent impossibles, le seul projet c’est de regarder tout ce qu’on peut couper comme dépenses ou récupérer comme recettes. Ce n’est pas de tirer des plans sur la comète.
D’autres m’ont dit. Un projet pour cinq ans est-ce que c’est bien sérieux alors que l’Europe, la France, les entreprises, les ménages vivent dans l’incertitude totale du lendemain. On voit très bien que la contagion de la crise grecque à l’Italie, la perte du triple A français, ou la faillite du système bancaire provoquerait l’effondrement de toutes nos certitudes et très probablement de pans entiers de l’organisation de notre pays.
Et pourtant je vais vous dire, oui il fallait faire un projet, oui il faut regarder vers l’avenir.
Soyez rassurés, on ne fera pas l’impasse sur notre situation financière, sous prétexte que c’est une campagne présidentielle. Celui qui  essaiera, je lui souhaite bien du plaisir.
Les Français ne sont pas idiots, ils voient bien ce qui se passe autour d’eux. En Italie, en Grèce. Au Portugal.  Ils voient bien ce qui se passe près de chez eux, chez Sea France, chez Findus, chez Paru Vendu, chez Peugeot. Ils voient bien les salaires diminués, les emplois supprimés, les impôts augmentés. Et je crois qu’ils sont aujourd’hui majoritairement convaincus que trente ans de facilité budgétaire de gauche et de droite nous ont conduits au bord du gouffre.
François Hollande, sa proposition sur les 60 000 enseignants, je peux vous dire  il va la traîner comme un boulet toute sa campagne. C’est tout dire, même les enseignants, ils n’ont pas compris comment il avait pu dire ça.
Pardon pour cette digression mais arrêtons-nous un seul instant sur l’une de nos priorités politiques, c'est-à-dire l’éducation. Qui peut croire qu’il suffit d’injecter 60 000 enseignants dans le système pour qu’ils permettent comme par magie de mettre fin à ce suicide collectif que représentent ces vingt pour cent d’enfants ne sachant ni lire, ni écrire, ni compter à l’arrivée en sixième. On a doublé les crédits par élève en trente ans et pourtant chaque année l’écart  se creuse un peu plus entre enfants de milieux culturels favorisés  et enfants issus des familles les plus défavorisées. Deux cent mille jeunes sans diplôme, deux cent mille jeunes sur le chemin de l’exclusion et de la précarité, deux cent mille jeunes au tapis, voila le triste bilan d’un système qui rend malheureux les élèves, malheureux les enseignants et malheureux les parents.
Et vous croyez qu’avec cette situation là, il suffit de créer  soixante mille postes !
Et il y a d’ailleurs un coté méprisant parce que c’est tellement facile de dire « je vous file soixante mille postes et vous me foutez la paix, et surtout vous n’oubliez pas de voter pour moi ».
Et bien oui, sur l’éducation il faut des idées neuves pour que les jeunes de la zone urbaine sensible de Metz, les enfants de mon village d’Epaignes et les élèves du septième arrondissement de Paris puissent avoir autant que possible la même chance de réussir et de donner le meilleur d’eux-mêmes.
Et cela passe pour moi par une révolution copernicienne qui accorde l’autonomie aux établissements comme on l’a fait pour les universités afin d’adapter le programme, la pédagogie, l’accompagnement tant des enfants que des familles à la situation de chaque public scolaire.
Un contrat entre chaque école et le rectorat, une évaluation annuelle avec un objectif : cent pout cent des jeunes sachant lire, écrire et compter à l’entrée en sixième. Oui, Monsieur Hollande il y a besoin d’argent pour l’éducation. Mais pas n’importe comment.
La deuxième révolution éducative inscrite dans notre projet c’est la modification en profondeur de nos rythmes scolaires. C’est une année scolaire plus longue, des journées moins chargées et des programmes allégés. On en est arrivé à un système où l’obsession de l’enseignant c’est de finir  le programme alors que sa seule mission devrait être de faire réussir l’élève. C’est pourquoi nous proposons d’allonger le calendrier scolaire et de réserver intégralement l’après midi aux pratiques culturelles, artistiques et sportives ainsi qu’au soutien individualisé. Oui, je revendique une large  place à la culture et à l’art dans nos écoles comme moteur de confiance, comme facteur d’énergie individuelle et collective, comme moteur d’innovation, comme outil de cohésion sociale, comme moyen de donner du sens.
 Je ferme la parenthèse et je reviens sur la situation financière de notre pays.
Charles de Courson proposait de résumer la lutte pour la restauration de notre équilibre budgétaire par la formule de société du désendettement.
C’est la belle idée d’une société durable, une société qui invente un modèle de croissance  plus efficace, plus juste et en même temps plus économe en argent public et en biens publics.
Oui, il faudra réduire la dépense publique. J’ai montré au ministère de la Défense qu’en regroupant, en mutualisant, en professionnalisant certaines fonctions on pouvait effectuer des centaines de millions d’euros d’économie sans renoncer à l’ ambition.
Oui on peut réduire la dépense publique, oui il reste de vraies marges d’économie notamment dans les collectivités locales et sur les dépenses de sécurité sociale.
 Par exemple est-il normal que quel que soit votre niveau de revenu vous vous fassiez rembourser au premier euro vos dépenses de santé. Je défendrai l’idée d’une franchise proportionnelle au revenu pour le remboursement des dépenses de santé.
Compte tenu des hypothèses de croissance, le retour à l’équilibre budgétaire passera nécessairement aussi par des hausses d’impôts, et je dis à la majorité, pas des hausses d’impôts qui relèvent du colmatage ou du bricolage, mais des hausses d’impôts correspondant à un double principe : faire évoluer notre fiscalité pour la rendre plus efficace économiquement, c’est à dire frappant moins la production et les salariés et plus la consommation,
et une politique fiscale juste, qui demande plus d’efforts à ceux qui gagnent le plus.

Mais la réduction de la dépense et la hausse des impôts ont une limite.
La réduction de la dépense par ce que c’est un long chemin qui produit des effets sur le long terme, et surtout parce que la demande de service public est immense et qu’elle est déjà mal satisfaite.
Dans les zones rurales, les services publics ont déserté, et dans les quartiers nord de Marseille, c’est tout simplement la République qui a disparu : plus de commissariats, une école qui a démissionné, des terrains vagues et trente minutes pour accéder à un bureau de poste.
La hausse des impôts a aussi ses limites lorsqu’on est dans le pays d’Europe ou les prélèvements obligatoires sont les plus élevés.
Moi je vous propose une troisième voie alternative à la baisse de la dépense publique et à la hausse des impôts.
Cette troisième voie c’est celle de l’effort, de l’effort partagé, de la lucidité. Cet effort, il a un nom : la semaine de 37 heures.
Je suis persuadé qu’aujourd’hui, compte tenu de la gravité de la situation budgétaire, de la dégradation de notre économie, du chômage de plus en plus élevé,  les Français sont prêts à accepter un discours qui, reprenant celui de Kennedy,  leur dirait : « ne demandez pas ce que la France peut faire pour vous mais ce que vous pouvez faire pour la France ».
Mer chers amis, plutôt que l’effilochage continu de notre trame publique, plutôt que l’atteinte permanente au pouvoir d’achat par les hausses d’impôts, je propose aux français de nous retrousser les manches et comme les Allemands l’ont fait au début des années 2000 de travailler deux heures de plus par semaine, tous ensemble, fonctionnaires comme salariés du secteur privé. 2 heures par semaine : est-ce si insurmontable ? Est-ce si insupportable ? Je ne le crois pas.
Vous voyez, j’en suis arrivé là parce que je me suis dit qu’un peuple, qui dans toute son histoire a su relever des situations tellement plus difficiles que celle-là, est capable de relever ce défi.
Quand on a été effondré physiquement, moralement, matériellement en 1945, et que l’on a été capable de devenir la troisième puissance économique du monde trente ans plus tard, on doit être capable de bosser deux heures de plus par semaine pour tirer son pays de l’ornière dans lequel il est tombé.
Mes chers amis, cela impose une chose : que l’exemple soit donné aussi par le sommet.
Les Français n’accepteront pas l’effort si le fonctionnement de l’Etat ne devient pas sobre et irréprochable. J’ai déjà longuement développé l’idée d’un Etat sobre.
Sobre dans le comportement, sobre dans le discours, sobre dans l’exercice du pouvoir. Et je suis heureux que notre projet en fasse une de ces priorités avec plusieurs propositions applicables sans délais.
Et cette République irréprochable qui fait partie des échecs de ce quinquennat, ou tout du moins pendant les 4 premières années, doit reposer sur des règles extrêmement strictes pour protéger la sphère publique du  conflit d’intérêt avec le privé, mettre la presse à l’abri de sociétés qui ont des intérêt directs avec l’Etat, et prévoir un régime de sanctions extrêmement simple : tout homme public ayant été condamné à un délit politico-financier doit être inéligible à vie.
Tout ça pour dire que notre projet, il n’est pas un exercice purement technique, mais il est d’abord le miroir de notre conception de l’homme, de notre idéal démocratique et de notre vision  de la société. Une économie au service des hommes. Les intérêts particuliers au service de l’intérêt général. Et l’Europe bien sûr, comme destin.
 Pendant des siècles nous nous sommes rassemblés autour de ces valeurs. 
Certains m’objecteront que nous avons changé de siècle, que le monde change comme jamais.
Oui, c’est vrai, le monde change, et il nous faut des idées neuves, mais les valeurs auxquelles nous croyons sont éternelles.
Moi je pense que justement c’est lorsque tout chavire, quand tout semble fragile, quand tout semble instable, qu’il faut réaffirmer, avec plus de forces que d’habitude, notre projet de société, nos convictions premières, nos racines les plus profondes.
Et permettez moi de dire que dans ce monde qui est en train de basculer des rives de l’Atlantique vers les rives du Pacifique, dans ce monde inexorablement ouvert, la réponse ne sera ni la démondialisation, ni le protectionnisme, mais une nouvelle politique économique et fiscale fondée sur un principe simple : ne plus construire notre croissance sur la consommation financée à crédit dont on voit bien les limites, mais sur une croissance portée par l’appareil productif.
Et donc en concentrant notre politique sur les PME, l’artisanat, le commerce, on ne s’adresse pas aux patrons comme certains le caricaturent pour nous dénigrer, mais aux ouvriers, aux ingénieurs, aux techniciens qui chaque jour font tourner l’entreprise France

L’entreprise, et en particulier la PME, c’est un sujet qui me touche particulièrement. Comme vous le savez, la PME, c’est mon enfance, c’est mon père, c’est presque j’ai envie de vous dire une part de moi-même.
Avec mon père qui a commencé maçon à 15 ans avec son seul certificat d’études pour ensuite monter sa boîte de bâtiment, j’ai tout connu, les périodes fastes pendant les 30 glorieuses  comme les heures les plus sombres au moment des années Mitterrand.
Et je le vois bien quand je sillonne la France on me pose les mêmes questions : les charges trop élevées, les complications administratives, la formation des jeunes, les contentieux, les banques qui traînent les pieds, etc…
En tous cas, moi je voudrais vraiment que le Nouveau Centre dans la prochaine campagne soit le parti des PME, de leurs patrons comme de leurs salariés.
Je n’ai rien contre les grands groupes au contraire. Mais ils ont moins besoin de nous. Xavier Darcos disait souvent «  les bons élèves, ils n’ont pas besoin du ministre » ; et bien les grandes entreprises, c’est pareil. En revanche, les PME, les TPE, elles ont besoin des politiques, et les politiques, ils ont aussi besoin d’elles.
Et si nos déficits commerciaux sont là où ils en sont, et si notre croissance est là où elle en est, c’est très largement parce que nos PME on ne les a pas considérées comme on aurait dû.
Et pourtant on ne parle pas d’un sujet mineur. 70 % des emplois, 60 % de la TVA, ce n’est pas rien. Et les ¾ des TPE et PME situées dans des communes de moins de 100 habitants !
Mais nous en France on continue à avoir l’obsession des très grandes entreprises.
C’est frappant quand on est ministre d’un ministère très exportateur comme la Défense. On voit nos grands groupes remporter des beaux marchés, on les soutient, on défend leur cause. On a l’impression du coup que, dans le pays où on va, on doit faire un malheur au niveau exportation.
Alors on pose la question et on vous dit « ah non vous n’êtes pas les premiers, il y a les Allemands », « alors on vient juste après ?», on vous répond, « ah non il y a les Italiens devant vous », et là on commence à avoir un sourire crispé parce qu’on se dit, mais elles sont où les boîtes italiennes, on devrait les connaître ? Et alors l’ambassadeur ou le chef de la mission économique vous dit : « les Allemands, les Italiens, ce sont des dizaines de PME, souvent de taille intermédiaire parfois toutes petites qui ramassent des dizaines de marchés ».
Mes Chers amis,
Le décrochage de l’économie française ne s’explique pas seulement par la montée en puissance des émergents, Chine ou Inde : les parts de marché de la France régressent aussi au sein de la zone euro.
Notre déficit commercial atteint des sommets, avec l’Allemagne bien sûr – 13 milliards, mais aussi avec l’Italie ou les Pays-Bas, 7 milliards avec la Belgique, 500 millions, avec la Suède – C’est bien simple, à part le Royaume-Uni et la Grèce, nous sommes en déficit avec quasiment tous les pays importants de la zone euro.
C’est pourquoi Mr Montebourg, Mr Mélenchon, Mme Le Pen, la question ça n’est pas les herses et les barricades du protectionnisme ou la sortie de la zone Euro, la question c’est comment être compétitif au sein de l’Union Européenne face à des pays ayant les mêmes niveaux de salaires et de protection sociale que nous.
Premier levier à mon avis essentiel, nous devons donner aux PME les moyens de leur développement, avec par exemple un mécanisme fiscal d’investissement très puissant comme peuvent en avoir deux très grands pays d’innovation comme l’Allemagne ou Israël.
Deuxième levier de cette reconquête, le défi de la protection réciproque du patron et du salarié. C’est l’idée du contrat de travail unique à droits progressifs, un contrat qui efface la barrière si pénalisante entre CDD et CDI. Oui, nous avons tellement rigidifié le droit du travail que nous sommes arrivés au résultat inverse de celui que nous recherchions, la précarisation de plus en plus forte du salarié français au lieu de sa protection et sans pour autant lever les freins à l’embauche. 
Vous vous rendez compte, 80% des déclarations uniques d’embauche sont des CDD de moins d’un mois. Et encore, au mieux des CDD, car combien d’artisans n’embauchent tout simplement pas, ne voyant pas comment ils pourraient gérer un éventuel licenciement dans l’hypothèse d’un carnet de commandes un peu moins bon. 
C’est pourquoi moi en matière de contrat de travail, notre idée est de remplacer un système où tout le monde est perdant par un système où tout le monde est gagnant.
Troisième levier de croissance pour nos entreprises, la stabilité juridique. 
Dans mon Tour de France, j’ai dû entendre des dizaines de fois de la part des chefs d’entreprise comme d’ailleurs des acteurs du champ social ou de la réinsertion, cette critique sur ces lois et ces textes qui changent tous les jours.
La stabilité législative et règlementaire  doit reposer sur un engagement simple: quand la loi a été changée une fois, elle ne le sera plus jusqu’à la fin de la législature.
4e levier , le poids des charges sociales est anormalement élevé en France – 20% d’écart avec l’Allemagne. Il  bride la compétitivité de nos entreprises, empêche l’amélioration du pouvoir d’achat des salariés et nuit à la création d’emplois.
Alors, basculons la totalité des cotisations familiales sur la TVA et procédons dans un Grenelle de la fiscalité à un partage entre augmentation  les salaires et amélioration de la compétitivité des entreprises.
Pour finir sur le projet, un petit mot sur l’Europe si vous le permettez mais un mot important, « fédéralisme ».
C’est drôle ce mot. On le dénigrait. On le méprisait. On le trouvait ridicule. Nous centristes, nous en étions réduits à le murmurer, à le chuchoter.
Un mot oublié et soudain un mot qui renaît.
Oui, il s’est passé quelque chose d’important à Leipzig cette semaine lors du Congrès de la CDU. "L'heure est venue pour une percée vers une nouvelle Europe", a dit Madame Merkel. «L’Europe n’est pas achevée, il faut développer les structures de l’Union, et ça veut dire plus d’Europe», a-t-elle dit ensuite.
Ces paroles, je vais vous dire, j’aurais voulu les entendre aussi à Paris. M. le Président de la République, que répondez-vous à Mme Merkel ?  Monsieur le Président de l’UMP, répondrez- vous à cet appel de Leipzig, si seulement vous l’avez entendu, tout occupé que vous étiez à promettre des représailles aux députés du Nouveau Centre.
En tous cas, nous au Nouveau Centre, nous répondrons à l’appel de Leipzig, nous dirons à nos amis de la CDU que leur vision est aussi la nôtre et que leur chemin est aussi le nôtre.
Nous leur dirons que nous sommes prêts pour un nouveau traité qui fera de l’Europe non seulement une puissance mais aussi un exemple.
Nous leur dirons que nous sommes prêts à coopérer et à partager non seulement sur notre budget, notre fiscalité mais aussi sur notre énergie, sur notre défense, sur notre politique étrangère, et sur de grandes questions communes, comme la recherche ou la biodiversité.
Voici l’Europe fédérale que nous voulons. Le temps est venu de passer des discours aux actes car rien ne serait pire que de ne pas profiter de la fenêtre historique qui s’ouvre devant nous.
Mes Chers amis,
Le Président de la République élu en Mai prochain devra dès le lendemain de son élection se rendre à Berlin pour dire aux Allemands qu’il est prêt à s’engager dans une intégration politique et économique poussée car si au sein de la zone Euro nous n’allons pas vers le fédéralisme, l’Euro et l’essentiel de la construction européenne sombrera.

Voilà, maintenant pour conclure, je vais vous poser une question toute simple. Votre travail, votre projet, vos propositions, que voulez-vous en faire ?
Voulez-vous comme certains le suggèrent que j’aille le porter, dès la première heure, au petit matin, rue de la Boétie, au siège de l’UMP ?
Voulez-vous que je frappe à la porte du bureau de son secrétaire général, que j’entre et que je lui dise, « tiens Jean-François, voici le projet du Nouveau Centre, nos militants et nos élus y ont mis tout leur cœur, toute leur intelligence, est-ce que tu peux-maintenant  le remettre à votre candidat ?
Vous souriez mais ce que je décris, c’est exactement ce que réclament certains d’entre nous.
Ce scenario il a nom, le renoncement. Et d’ailleurs je vous le demande : qu’est-ce que vous faites là un dimanche matin, venus de toute la France ?
Ouvrez la porte. Rentrez chez vous. Passez par le siège de la fédération Nouveau Centre, fermez la lumière, coupez le chauffage et mettez la clé sous le paillasson.
Certains me disent, « il faut peser a priori ». Peser a priori, en politique ça n’existe pas. La politique c’est d’abord un rapport de forces au service de ses convictions. Et ce rapport de forces il n’existe pas quand dés le mois de novembre on annonce qu’on soutiendra Nicolas Sarkozy au premier tour.
Qu’on le fasse à titre individuel pourquoi pas, chacun est libre ? Mais qu’on en fasse une stratégie collective, c’est accepter d’être immédiatement dissous.
Et d’ailleurs, croyez- vous un seul instant qu’il y aurait aujourd’hui des medias dans la salle si nous avions d’ores et déjà indiqué que Nicolas Sarkozy était notre candidat de premier tour. Personne ne s’intéresserait à ce que nous pourrions dire puisque nous ne le portons pas.
On ferait trois lignes dans les journaux, et d’ailleurs, je le dis à mes amis qui me veulent du bien, quel autre message politique de leur part a été retenu par la presse à l’exception de ceux concernant ma candidature. Quand je disparaitrai, je les invite à en trouver très vite un autre pour exister médiatiquement. 
D’autres me disent il faut négocier sans tarder ton retrait contre notre investiture et des circonscriptions supplémentaires pour sauver le groupe à l’Assemblée Nationale.
Mais, mes chers amis, qui peut croire que nous aurons, la légitimité politique de revendiquer 20 ou 30 circonscriptions nouvelles, bénéficiant bien entendu de l’investiture commune du Nouveau centre et de l’UMP, si nous ne démontrons pas, avant, que nous représentons une voix, une force et une espérance, soutenus par des français.
Vous croyez que cela se passe comme ça ?
Le secrétaire général de l’UMP  a d’ailleurs tellement de respect pour nous, il nous considère tellement, que d’ores et déjà il est dans le registre de l’intimidation. Et d’ailleurs, si on cède à cette intimidation au mois de novembre, c’est que l'on a décidé de se faire piétiner quand quelques mois.
Je dis à ceux-là : imaginons que ce soir, j’aille sur le plateau du 20 h de TF1 sans avoir prévenu personne,  et que j’annonce  que je n’irai pas plus loin. 
Je vous laisse deviner le sort que réserveraient nos amis de l’UMP à notre demande des 20 ou 30 circonscriptions supplémentaires en février ou mars au moment des négociations. Quelle capacité de négociation incroyable, nous aurons entre les mains !
Bien entendu aucune !...
… A moins de considérer que notre parti a vocation à être seulement un club d’élus locaux et nationaux, comme peut l’être le Parti radical de gauche.
Mais ne demandez plus alors aux militants de s’engager, d’être présents aux universités d’été, aux conseils nationaux, aux conventions et aux congres !
On me dit aussi, Hervé, ta candidature menace l’existence de notre parti ! Tu te rends compte, tu es à un pour cent dans les sondages. Si ta candidature ne décolle pas c’est une catastrophe pour toi et surtout pour le parti. Je sais qu’une campagne présidentielle, c’est difficile. J’en ai mené 2 aux côtés de François Bayrou dans des contextes assez similaires. Pour autant, ce n’est pas parce que c’est difficile qu’il faut renoncer. J’ai appris une chose de ma mère : elle n’était pas allée au-delà de l’école primaire, était d’une constitution fragile, mais elle m’a appris une chose : c’est que la volonté, la détermination et la ténacité finissaient toujours par être reconnu.
Je vous le dis, si nous abandonnons tout de suite, c’est que nous avons décidé de ne pas être des acteurs mais des spectateurs des débats politiques de 2012.
Qui peut penser un seul instant que l’armada UMP a besoin de nous pour mener la campagne électorale ? Dans le meilleur cas nous serons un alibi, une simple petite teinture centriste. En clair, renoncer maintenant, c’est décider de disparaitre, sans fleurs ni couronnes.
Et je vous le dis encore plus directement. Nous n’avons pas fait tout cela depuis 2007 pour en arriver là. Partis de rien, construisant brique après brique un parti.
Pardon d’être immodeste, mais je pense que je ne me suis pas beaucoup trompé. Et encore dernièrement, lorsque dans l’enthousiasme que certains mettaient à rejoindre Jean Louis Borloo, sans arrière-pensées bien entendu… et avant même la décision de notre parti, et que je demandais simplement un peu de prudence, de retenu et de recul pour tester la solidité de cette candidature, on me racontait que je n’avais rien compris. On a vu !
Non, mes chers amis, nous n’avons pas construit tout cela pour devenir des supplétifs de la majorité sous le regard amusé d’un François Bayrou, apparaissant comme le seul détenteur du message centriste.
Je n’ose d’ailleurs même pas imaginé le sort qui pourrait nous être fait dans cette hypothèse.
 Et bien moi, je ne ferai pas partie de ceux qui écriront cette histoire là. A ce compte, il vaut mieux rejoindre nos amis centristes de l’UMP, puisque c’est à peu près la même chose qu’on vous propose, et on voit bien à quel point ils ont pesé dans la majorité ces cinq dernières années. 

Notre projet, il est ce que nous sommes, il est ce que nous voulons. Oui tout donner au présent, ne pas calculer, c’est le pacte que je vous propose.
Pour cela, j’ai besoin de vous. J’ai besoin de vos mains, j’ai besoin de votre énergie, j’ai besoin de vos cœurs, j’ai besoin de votre engagement.
Merci à tous et vivement dimanche prochain.

lundi, 21 novembre 2011

L'agenda de ma semaine

1496184441.JPGLundi 21 novembre :

9h-11h : permanence logement à ma permanence

11h : réunion police nationale-Ville d’Amiens dans le quartier Sud-Est

20h : réunion du Bureau de « Imagine Amiens »

 

Mardi 22 novembre :

14h30-16h : permanence sans rendez-vous en mairie de quartier Pierre Rollin

18h30-20h : réunion des référents cantonaux de mon association

20h : réunion de « Imagine Amiens » avec Serge Grouard, maire d’Orléans

 

Mercredi 23 novembre :

12h30 : déjeuner personnel

20h30 : réunion mensuelle du Nouveau Centre d’Amiens

 

Jeudi 24 novembre :

9h-12h : permanence sans rendez-vous à ma permanence

14h-17h30 : cours à la faculté de droit

 

Vendredi 25 novembre :

8h-11h 30 : cours à la faculté de droit

13h-15h : cours à la faculté de sciences humaines et sociales

19h30 : réunion d’Olivier Jardé chez un particulier

 

Samedi 26 novembre :

Après-midi : exposition de peinture à Cagny, stage de Muay Thaï à Amiens, vente annuelle du Rotary.

16h30 : inauguration du Marché de Noël

 

Dimanche 27 novembre :

11h : déclaration de candidature d’Hervé Morin à l’élection présidentielle, depuis le Pont de Normandie.

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