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mercredi, 14 mars 2012

Jean-Christophe Parisot dans VSD

jean-christophe-parisot-10623855bowis_1713.jpgPour lire l'entretien de Florence Belkacem, CLIQUEZ ICI.

dimanche, 04 mars 2012

Congrès extraordinaire du Nouveau Centre: des méthodes de voyou!

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NC-UDF3.jpgSamedi dernier 25 février, Le Nouveau Centre  tenait un Congrès Extraordinaire afin de déterminer sa position à tenir pour l'élection présidentielle.

Trois motions, en ligne sur le site du Nouveau Centre depuis le début de la semaine, étaient proposées au vote de l'ensemble des adhérents: celle d'Olivier Jardé, critiquant la candidature d'Hervé Morin à l'élection présidentielle, se prononçait pour un soutien au Président de la République dès le premier tour, celle de Jérémy Coste  soutenait la candidature de François Bayrou, celle enfin d'Hervé Morin rappelait la démarche courageuse qui l'avait amené à se présenter à l'élection présidentielle puis à y renoncer et appelait par conséquent à voter pour le Président de la République - candidat.

Les adhérents étaient invités à voter par voie électronique, grâce à une procédure organisée par un prestataire extérieur, afin d'éviter toute contestation.

En tant que membre de la Commission Nationale d'Arbitrage et de Contrôle, j'étais Vice-Présidente du bureau de vote et j'ai pu constater le bon déroulement des opérations de vote. Je m'attendais donc à ce que tous les orateurs félicitent l'équipe nationale pour cette consultation exemplaire sur le plan démocratique... Mais c'était sans compter sur un mauvais perdant qui n'a pas hésité à utiliser des méthodes de voyou pour troubler les débats et surtout pour fournir à la presse des images honteuses montrant le Président du Nouveau Centre hué par de pseudo-militants...

Ainsi la presse a retenu, à tort, que le Nouveau Centre était divisé, alors qu'en réalité plus des deux tiers des suffrages exprimés se sont portés sur la motion d'Hervé Morin et, bien plus encore, que 85% des adhérents ont montré par leur vote qu'ils voulaient qu'un candidat centriste se présente au premier tour de l'élection présidentielle!

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Photos : Patrick Pigout.

mardi, 28 février 2012

Jean-Christophe Parisot dans les médias

JCP 1.jpgJean-Christophe Parisot dans La Vie.

Jean-Christophe Parisot sur le site TF1 News.

Jean-Christophe Parisot sur le blog Faire Face.

Jean-Christophe Parisot dans 20 Minutes.

Jean-Christophe Parisot sur le site handicap.fr

lundi, 27 février 2012

Félicitations à toute l'équipe du film "The Artist" ! HISTORIQUE !

(Source : I>Télé).

dimanche, 26 février 2012

Congrès extraordinaire du Nouveau Centre : Discours de clôture d'Hervé Morin


samedi, 25 février 2012

Résultats du vote des motions au Congrès extraordinaire du Nouveau Centre

NC.jpgMotion n°1, présentée par Olivier JARDE : 16,51%. 

Motion n°2, présentée par Jérémy COSTE : 15,86%.

Motion n°3, présentée par Hervé MORIN : 67,63%. Motion élue.

jeudi, 23 février 2012

Brigitte Fouré était l'invitée ce matin de France Bleu Picardie

France_Bleu_Picardie.gifPour écouter ou réécouter l'entrevue, CLIQUEZ ICI.

mercredi, 22 février 2012

Brigitte Fouré sur France 3 Picardie


19/20, édition régionale Picardie du jeudi, 16 février 2012.

mardi, 21 février 2012

Hervé Morin dans "Le Figaro Magazine"

photo.pngPour lire l'entrevue, CLIQUEZ ICI.

samedi, 18 février 2012

Jean-Christophe Parisot : un "intouchable" nommé Préfet

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Jean-Christophe Parisot, 44 ans, Sous-Préfet depuis juillet 2008 a été nommé mercredi dernier au conseil des ministres « Préfet en mission de service public ».

Myopathe sous assistance respiratoire, ce haut fonctionnaire a connu et connaît une fulgurante ascension. Premier handicapé diplômé de Sciences-Po (1989), docteur en sciences politiques (1995), administrateur territorial (1997), premier délégué ministériel chargé du handicap à l'éducation nationale (2007-2008), secrétaire-général de la Préfecture du Lot (2008-2010) puis Sous-Préfet chargé de mission à l'Egalité des chances pour le Languedoc-Roussillon (2010-2012), son action et son charisme font l'unanimité.

Celui qui se définit comme « un militant de l'impossible » est connu pour son approche sociétale innovante dans le domaine de l'exclusion, l'illettrisme, les migrants, la solitude, la grande dépendance. Sa connaissance des enjeux de la cohésion sociale est connue et reconnue dans la haute administration. Concepteur de l'Observatoire des Politiques du Handicap, fondateur de la Ligue nationale des étudiants handicapés, du Collectif des Démocrates Handicapés (CDH), d'Aide-Handicap-Ecole, conférencier et écrivain, son livre « Préfet des autres », publié en octobre dernier, a eu un grand écho médiatique en France et à l'étranger. « Je suis un membre ordinaire du corps préfectoral à la vie extraordinaire » dit-il simplement. Admirateur de l'abbé Pierre et de Vaclav Havel, Jean-Christophe Parisot a été deux fois candidats aux présidentielles (2002, 2007) avec le slogan « le handicap une chance pour la France ». En 2007, trente-huit maires lui avaient spontanément envoyé leur parrainage.

Contact presse  : secrétariat particulier du Préfet Parisot

Jean-Louis Fontaine jean-louis.fontaine2@wanadoo.fr

Tel : 06 88 17 53 25

jeudi, 16 février 2012

Après le retrait d’Hervé Morin, Brigitte Fouré votera pour François Bayrou

(Communiqué de presse en date de ce jour)

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Après le retrait d’Hervé Morin de la course à l’élection présidentielle, Brigitte Fouré, qui fut sa coordinatrice de campagne dans la Somme, tient à préciser :

 

« Durant toutes ces semaines, notre candidat a tenu un langage de vérité, qui ne cache pas la gravité de la situation économique dans laquelle nous sommes et a formulé des propositions concrètes sur l'éducation avec l'aménagement du temps scolaire, sur le temps de travail ou encore sur l'Europe mais aussi et surtout des perspectives pleines d'espérance!

Les temps sont difficiles. Il faudra faire des efforts mais ceux-ci devront être supportés équitablement par tous les Français.

 

Comme beaucoup de nos concitoyens, je n'aime pas les discours politiques démagogiques qui sont dangereux pour la démocratie, même s'ils sont totalement erronés : c'est si facile d'attribuer nos difficultés à des boucs émissaires, qui sont tantôt les étrangers, tantôt l'Europe, tantôt les « civilisations » !

 

Je reste convaincue que les Français s'intéressent à la politique, au sens le plus noble du terme, à savoir le service de la Cité. Aussi veulent-ils entendre un langage politique clair et vrai.

 

A l’occasion du premier tour de l’élection présidentielle, je considère que ce langage politique est désormais, en l’absence du candidat que je soutenais initialement, tenu par François Bayrou, envers qui j’apporte mon soutien.

 

Naturellement, je reste adhérente du Nouveau Centre. J’ai d’ailleurs informé personnellement Hervé Morin de ma décision. Je remercie pour finir l’ensemble des militants qui m’ont aidée dans cette campagne durant ces derniers mois. Ils reprennent à présent leur entière liberté de vote ».

 

 

 

 

 

CONTACT PRESSE

 

06 47 54 95 47

dimanche, 12 février 2012

Hervé Morin sur la chaîne Public Sénat

Emission Déshabillons-les ! diffusée sur Public Sénat le 8 février.

dimanche, 29 janvier 2012

Les premiers mots de Gilad Shalit

Gilad Shalit est Franco-Israélien. Il a 25 ans. Il était l'otage du Hamas dans la Bande de Gaza depuis 2006, date où il avait été capturé en Israël, près d'un Kibboutz, alors qu'il effectuait son service militaire. Il a été libéré le 18 octobre 2011.

(Source : Channel 2 - télévision israélienne).

Les premiers mots de Salah Hamouri

Salah Hamouri est Franco-Palestinien. Il a 26 ans. Il était emprisonné en Israël depuis 2005 et a été libéré le 18 décembre dernier de manière anticipée dans le cadre d'une libération de 550 prisonniers palestiniens contre Gilad Shalit.

(Source : Agence Médias Palestine).

mercredi, 25 janvier 2012

Les Samariennes et samariens avec Hervé Morin !

logo.pngBrigitte Fouré présente en ce moment une motion de soutien à la démarche d'Hervé Morin pour la présidentielle devant la fédération Nouveau Centre de la Somme.

mardi, 24 janvier 2012

Les voeux d'Hervé Morin à la presse

photo.pngPour lire ce discours, CLIQUEZ ICI.

dimanche, 15 janvier 2012

Jean-Christophe Parisot dans le New York Times

JCP.jpgPour lire l'article, CLIQUEZ ICI.

jeudi, 12 janvier 2012

Gilles Jacquier, journaliste à France 2, tué en Syrie

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Gilles Jacquier, grand reporter de France 2, a été tué mercredi 11 janvier au matin dans la ville de Homs (ouest), en Syrie. Six Syriens ont également trouvé la mort au même endroit et plusieurs personnes ont été blessées, selon  l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). Le journaliste, âgé de 43 ans, était accompagné de son caméraman Christophe Kenck, qui a été légèrement blessé. Tous deux étaient partis dotés d'un visa officiel des autorités du pays pour le magazine "Envoyé spécial". 

(Source : France 2).

11:34 Publié dans France | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 18 décembre 2011

Hervé Morin invité de Bruce Toussaint sur Europe 1 le 14 décembre


dimanche, 04 décembre 2011

La Somme avec Hervé Morin !

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Avec Laurent Perrette, Délégué Départemental du Nouveau Centre 80; Olivier Mira, mon suppléant au Conseil Général; Daniel Dubois, Sénateur et Président du groupe du Centre et des Indépendants au Conseil Général et Stéphane Demilly, Député-Maire d'Albert.

C'était dimanche dernier lors de la déclaration de candidature d'Hervé Morin à l'élection présidentielle, à Berville-sur-Mer (Eure), au pied du Pont de Normandie.

mercredi, 30 novembre 2011

Déclaration de candidature d'Hervé Morin à l'élection présidentielle

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C'était dimanche dernier à Berville-sur-Mer (Eure), au pied du Pont de Normandie.

dimanche, 27 novembre 2011

Hervé Morin sur RTL le 22 novembre

RTL-LOGO.jpgHervé Morin était jeudi soir l'invité "fil rouge" de l'émission RTL Soir, présentée par Christophe Hondelatte.

Pour l'écouter ou la réécouter, CLIQUEZ ICI.

mercredi, 23 novembre 2011

Discours d'Hervé Morin au Conseil national du Nouveau Centre autour du projet centriste le 20 novembre 2011

 Chers amis,


Merci de votre présence, merci de votre amitié, merci de votre soutien.
Alors pour commencer un immense merci à Jean-Marie Cavada et Philippe Vigier pour le travail  titanesque qu’ils ont réalisé. Merci aussi à François Xavier Priollaud, qui non seulement gère le parti, organise la campagne, répond aux sollicitations des fédérations, et a été la cheville ouvrière de ce document.
Merci pour la méthode utilisée.
Et je vous le garantis ce ne fut pas un travail en chambre, mais ce projet est le fruit d’un vrai travail d’équipe au niveau national, mais aussi dans chaque fédération.
Tout ce qui pouvait être fait a été fait. Des réunions d’experts, des débats, des retours de terrain auprès des militants, dix conventions thématiques avec des centaines de participants, les contributions des fédérations, mon tour de France depuis un an.
Et Dieu sait si tout ce travail était difficile. C’est facile de s’indigner, c’est plus dur de proposer.
Je sais toutes les idées que vous avez éliminées ! Je sais tous les projets que vous avez écartés ! Je sais toutes les promesses que vous n’avez pas voulu faire. Vous avez eu raison.
Le Nouveau Centre, ce n’est pas le Parti Socialiste, nous ne sommes pas dans le rêve, nous sommes dans la vérité. La campagne électorale de 2012, vous pouvez en être sûr ce ne sera pas Hollande au pays des merveilles.
Certains m’ont même dit, un projet, est-ce-que cela vaut la peine d’en faire un avec la situation financière qui est la nôtre ?
Pardon, mais c’est tout sauf une question stupide. Dans une famille, quand les découverts s’accumulent, quand les fins de mois deviennent impossibles, le seul projet c’est de regarder tout ce qu’on peut couper comme dépenses ou récupérer comme recettes. Ce n’est pas de tirer des plans sur la comète.
D’autres m’ont dit. Un projet pour cinq ans est-ce que c’est bien sérieux alors que l’Europe, la France, les entreprises, les ménages vivent dans l’incertitude totale du lendemain. On voit très bien que la contagion de la crise grecque à l’Italie, la perte du triple A français, ou la faillite du système bancaire provoquerait l’effondrement de toutes nos certitudes et très probablement de pans entiers de l’organisation de notre pays.
Et pourtant je vais vous dire, oui il fallait faire un projet, oui il faut regarder vers l’avenir.
Soyez rassurés, on ne fera pas l’impasse sur notre situation financière, sous prétexte que c’est une campagne présidentielle. Celui qui  essaiera, je lui souhaite bien du plaisir.
Les Français ne sont pas idiots, ils voient bien ce qui se passe autour d’eux. En Italie, en Grèce. Au Portugal.  Ils voient bien ce qui se passe près de chez eux, chez Sea France, chez Findus, chez Paru Vendu, chez Peugeot. Ils voient bien les salaires diminués, les emplois supprimés, les impôts augmentés. Et je crois qu’ils sont aujourd’hui majoritairement convaincus que trente ans de facilité budgétaire de gauche et de droite nous ont conduits au bord du gouffre.
François Hollande, sa proposition sur les 60 000 enseignants, je peux vous dire  il va la traîner comme un boulet toute sa campagne. C’est tout dire, même les enseignants, ils n’ont pas compris comment il avait pu dire ça.
Pardon pour cette digression mais arrêtons-nous un seul instant sur l’une de nos priorités politiques, c'est-à-dire l’éducation. Qui peut croire qu’il suffit d’injecter 60 000 enseignants dans le système pour qu’ils permettent comme par magie de mettre fin à ce suicide collectif que représentent ces vingt pour cent d’enfants ne sachant ni lire, ni écrire, ni compter à l’arrivée en sixième. On a doublé les crédits par élève en trente ans et pourtant chaque année l’écart  se creuse un peu plus entre enfants de milieux culturels favorisés  et enfants issus des familles les plus défavorisées. Deux cent mille jeunes sans diplôme, deux cent mille jeunes sur le chemin de l’exclusion et de la précarité, deux cent mille jeunes au tapis, voila le triste bilan d’un système qui rend malheureux les élèves, malheureux les enseignants et malheureux les parents.
Et vous croyez qu’avec cette situation là, il suffit de créer  soixante mille postes !
Et il y a d’ailleurs un coté méprisant parce que c’est tellement facile de dire « je vous file soixante mille postes et vous me foutez la paix, et surtout vous n’oubliez pas de voter pour moi ».
Et bien oui, sur l’éducation il faut des idées neuves pour que les jeunes de la zone urbaine sensible de Metz, les enfants de mon village d’Epaignes et les élèves du septième arrondissement de Paris puissent avoir autant que possible la même chance de réussir et de donner le meilleur d’eux-mêmes.
Et cela passe pour moi par une révolution copernicienne qui accorde l’autonomie aux établissements comme on l’a fait pour les universités afin d’adapter le programme, la pédagogie, l’accompagnement tant des enfants que des familles à la situation de chaque public scolaire.
Un contrat entre chaque école et le rectorat, une évaluation annuelle avec un objectif : cent pout cent des jeunes sachant lire, écrire et compter à l’entrée en sixième. Oui, Monsieur Hollande il y a besoin d’argent pour l’éducation. Mais pas n’importe comment.
La deuxième révolution éducative inscrite dans notre projet c’est la modification en profondeur de nos rythmes scolaires. C’est une année scolaire plus longue, des journées moins chargées et des programmes allégés. On en est arrivé à un système où l’obsession de l’enseignant c’est de finir  le programme alors que sa seule mission devrait être de faire réussir l’élève. C’est pourquoi nous proposons d’allonger le calendrier scolaire et de réserver intégralement l’après midi aux pratiques culturelles, artistiques et sportives ainsi qu’au soutien individualisé. Oui, je revendique une large  place à la culture et à l’art dans nos écoles comme moteur de confiance, comme facteur d’énergie individuelle et collective, comme moteur d’innovation, comme outil de cohésion sociale, comme moyen de donner du sens.
 Je ferme la parenthèse et je reviens sur la situation financière de notre pays.
Charles de Courson proposait de résumer la lutte pour la restauration de notre équilibre budgétaire par la formule de société du désendettement.
C’est la belle idée d’une société durable, une société qui invente un modèle de croissance  plus efficace, plus juste et en même temps plus économe en argent public et en biens publics.
Oui, il faudra réduire la dépense publique. J’ai montré au ministère de la Défense qu’en regroupant, en mutualisant, en professionnalisant certaines fonctions on pouvait effectuer des centaines de millions d’euros d’économie sans renoncer à l’ ambition.
Oui on peut réduire la dépense publique, oui il reste de vraies marges d’économie notamment dans les collectivités locales et sur les dépenses de sécurité sociale.
 Par exemple est-il normal que quel que soit votre niveau de revenu vous vous fassiez rembourser au premier euro vos dépenses de santé. Je défendrai l’idée d’une franchise proportionnelle au revenu pour le remboursement des dépenses de santé.
Compte tenu des hypothèses de croissance, le retour à l’équilibre budgétaire passera nécessairement aussi par des hausses d’impôts, et je dis à la majorité, pas des hausses d’impôts qui relèvent du colmatage ou du bricolage, mais des hausses d’impôts correspondant à un double principe : faire évoluer notre fiscalité pour la rendre plus efficace économiquement, c’est à dire frappant moins la production et les salariés et plus la consommation,
et une politique fiscale juste, qui demande plus d’efforts à ceux qui gagnent le plus.

Mais la réduction de la dépense et la hausse des impôts ont une limite.
La réduction de la dépense par ce que c’est un long chemin qui produit des effets sur le long terme, et surtout parce que la demande de service public est immense et qu’elle est déjà mal satisfaite.
Dans les zones rurales, les services publics ont déserté, et dans les quartiers nord de Marseille, c’est tout simplement la République qui a disparu : plus de commissariats, une école qui a démissionné, des terrains vagues et trente minutes pour accéder à un bureau de poste.
La hausse des impôts a aussi ses limites lorsqu’on est dans le pays d’Europe ou les prélèvements obligatoires sont les plus élevés.
Moi je vous propose une troisième voie alternative à la baisse de la dépense publique et à la hausse des impôts.
Cette troisième voie c’est celle de l’effort, de l’effort partagé, de la lucidité. Cet effort, il a un nom : la semaine de 37 heures.
Je suis persuadé qu’aujourd’hui, compte tenu de la gravité de la situation budgétaire, de la dégradation de notre économie, du chômage de plus en plus élevé,  les Français sont prêts à accepter un discours qui, reprenant celui de Kennedy,  leur dirait : « ne demandez pas ce que la France peut faire pour vous mais ce que vous pouvez faire pour la France ».
Mer chers amis, plutôt que l’effilochage continu de notre trame publique, plutôt que l’atteinte permanente au pouvoir d’achat par les hausses d’impôts, je propose aux français de nous retrousser les manches et comme les Allemands l’ont fait au début des années 2000 de travailler deux heures de plus par semaine, tous ensemble, fonctionnaires comme salariés du secteur privé. 2 heures par semaine : est-ce si insurmontable ? Est-ce si insupportable ? Je ne le crois pas.
Vous voyez, j’en suis arrivé là parce que je me suis dit qu’un peuple, qui dans toute son histoire a su relever des situations tellement plus difficiles que celle-là, est capable de relever ce défi.
Quand on a été effondré physiquement, moralement, matériellement en 1945, et que l’on a été capable de devenir la troisième puissance économique du monde trente ans plus tard, on doit être capable de bosser deux heures de plus par semaine pour tirer son pays de l’ornière dans lequel il est tombé.
Mes chers amis, cela impose une chose : que l’exemple soit donné aussi par le sommet.
Les Français n’accepteront pas l’effort si le fonctionnement de l’Etat ne devient pas sobre et irréprochable. J’ai déjà longuement développé l’idée d’un Etat sobre.
Sobre dans le comportement, sobre dans le discours, sobre dans l’exercice du pouvoir. Et je suis heureux que notre projet en fasse une de ces priorités avec plusieurs propositions applicables sans délais.
Et cette République irréprochable qui fait partie des échecs de ce quinquennat, ou tout du moins pendant les 4 premières années, doit reposer sur des règles extrêmement strictes pour protéger la sphère publique du  conflit d’intérêt avec le privé, mettre la presse à l’abri de sociétés qui ont des intérêt directs avec l’Etat, et prévoir un régime de sanctions extrêmement simple : tout homme public ayant été condamné à un délit politico-financier doit être inéligible à vie.
Tout ça pour dire que notre projet, il n’est pas un exercice purement technique, mais il est d’abord le miroir de notre conception de l’homme, de notre idéal démocratique et de notre vision  de la société. Une économie au service des hommes. Les intérêts particuliers au service de l’intérêt général. Et l’Europe bien sûr, comme destin.
 Pendant des siècles nous nous sommes rassemblés autour de ces valeurs. 
Certains m’objecteront que nous avons changé de siècle, que le monde change comme jamais.
Oui, c’est vrai, le monde change, et il nous faut des idées neuves, mais les valeurs auxquelles nous croyons sont éternelles.
Moi je pense que justement c’est lorsque tout chavire, quand tout semble fragile, quand tout semble instable, qu’il faut réaffirmer, avec plus de forces que d’habitude, notre projet de société, nos convictions premières, nos racines les plus profondes.
Et permettez moi de dire que dans ce monde qui est en train de basculer des rives de l’Atlantique vers les rives du Pacifique, dans ce monde inexorablement ouvert, la réponse ne sera ni la démondialisation, ni le protectionnisme, mais une nouvelle politique économique et fiscale fondée sur un principe simple : ne plus construire notre croissance sur la consommation financée à crédit dont on voit bien les limites, mais sur une croissance portée par l’appareil productif.
Et donc en concentrant notre politique sur les PME, l’artisanat, le commerce, on ne s’adresse pas aux patrons comme certains le caricaturent pour nous dénigrer, mais aux ouvriers, aux ingénieurs, aux techniciens qui chaque jour font tourner l’entreprise France

L’entreprise, et en particulier la PME, c’est un sujet qui me touche particulièrement. Comme vous le savez, la PME, c’est mon enfance, c’est mon père, c’est presque j’ai envie de vous dire une part de moi-même.
Avec mon père qui a commencé maçon à 15 ans avec son seul certificat d’études pour ensuite monter sa boîte de bâtiment, j’ai tout connu, les périodes fastes pendant les 30 glorieuses  comme les heures les plus sombres au moment des années Mitterrand.
Et je le vois bien quand je sillonne la France on me pose les mêmes questions : les charges trop élevées, les complications administratives, la formation des jeunes, les contentieux, les banques qui traînent les pieds, etc…
En tous cas, moi je voudrais vraiment que le Nouveau Centre dans la prochaine campagne soit le parti des PME, de leurs patrons comme de leurs salariés.
Je n’ai rien contre les grands groupes au contraire. Mais ils ont moins besoin de nous. Xavier Darcos disait souvent «  les bons élèves, ils n’ont pas besoin du ministre » ; et bien les grandes entreprises, c’est pareil. En revanche, les PME, les TPE, elles ont besoin des politiques, et les politiques, ils ont aussi besoin d’elles.
Et si nos déficits commerciaux sont là où ils en sont, et si notre croissance est là où elle en est, c’est très largement parce que nos PME on ne les a pas considérées comme on aurait dû.
Et pourtant on ne parle pas d’un sujet mineur. 70 % des emplois, 60 % de la TVA, ce n’est pas rien. Et les ¾ des TPE et PME situées dans des communes de moins de 100 habitants !
Mais nous en France on continue à avoir l’obsession des très grandes entreprises.
C’est frappant quand on est ministre d’un ministère très exportateur comme la Défense. On voit nos grands groupes remporter des beaux marchés, on les soutient, on défend leur cause. On a l’impression du coup que, dans le pays où on va, on doit faire un malheur au niveau exportation.
Alors on pose la question et on vous dit « ah non vous n’êtes pas les premiers, il y a les Allemands », « alors on vient juste après ?», on vous répond, « ah non il y a les Italiens devant vous », et là on commence à avoir un sourire crispé parce qu’on se dit, mais elles sont où les boîtes italiennes, on devrait les connaître ? Et alors l’ambassadeur ou le chef de la mission économique vous dit : « les Allemands, les Italiens, ce sont des dizaines de PME, souvent de taille intermédiaire parfois toutes petites qui ramassent des dizaines de marchés ».
Mes Chers amis,
Le décrochage de l’économie française ne s’explique pas seulement par la montée en puissance des émergents, Chine ou Inde : les parts de marché de la France régressent aussi au sein de la zone euro.
Notre déficit commercial atteint des sommets, avec l’Allemagne bien sûr – 13 milliards, mais aussi avec l’Italie ou les Pays-Bas, 7 milliards avec la Belgique, 500 millions, avec la Suède – C’est bien simple, à part le Royaume-Uni et la Grèce, nous sommes en déficit avec quasiment tous les pays importants de la zone euro.
C’est pourquoi Mr Montebourg, Mr Mélenchon, Mme Le Pen, la question ça n’est pas les herses et les barricades du protectionnisme ou la sortie de la zone Euro, la question c’est comment être compétitif au sein de l’Union Européenne face à des pays ayant les mêmes niveaux de salaires et de protection sociale que nous.
Premier levier à mon avis essentiel, nous devons donner aux PME les moyens de leur développement, avec par exemple un mécanisme fiscal d’investissement très puissant comme peuvent en avoir deux très grands pays d’innovation comme l’Allemagne ou Israël.
Deuxième levier de cette reconquête, le défi de la protection réciproque du patron et du salarié. C’est l’idée du contrat de travail unique à droits progressifs, un contrat qui efface la barrière si pénalisante entre CDD et CDI. Oui, nous avons tellement rigidifié le droit du travail que nous sommes arrivés au résultat inverse de celui que nous recherchions, la précarisation de plus en plus forte du salarié français au lieu de sa protection et sans pour autant lever les freins à l’embauche. 
Vous vous rendez compte, 80% des déclarations uniques d’embauche sont des CDD de moins d’un mois. Et encore, au mieux des CDD, car combien d’artisans n’embauchent tout simplement pas, ne voyant pas comment ils pourraient gérer un éventuel licenciement dans l’hypothèse d’un carnet de commandes un peu moins bon. 
C’est pourquoi moi en matière de contrat de travail, notre idée est de remplacer un système où tout le monde est perdant par un système où tout le monde est gagnant.
Troisième levier de croissance pour nos entreprises, la stabilité juridique. 
Dans mon Tour de France, j’ai dû entendre des dizaines de fois de la part des chefs d’entreprise comme d’ailleurs des acteurs du champ social ou de la réinsertion, cette critique sur ces lois et ces textes qui changent tous les jours.
La stabilité législative et règlementaire  doit reposer sur un engagement simple: quand la loi a été changée une fois, elle ne le sera plus jusqu’à la fin de la législature.
4e levier , le poids des charges sociales est anormalement élevé en France – 20% d’écart avec l’Allemagne. Il  bride la compétitivité de nos entreprises, empêche l’amélioration du pouvoir d’achat des salariés et nuit à la création d’emplois.
Alors, basculons la totalité des cotisations familiales sur la TVA et procédons dans un Grenelle de la fiscalité à un partage entre augmentation  les salaires et amélioration de la compétitivité des entreprises.
Pour finir sur le projet, un petit mot sur l’Europe si vous le permettez mais un mot important, « fédéralisme ».
C’est drôle ce mot. On le dénigrait. On le méprisait. On le trouvait ridicule. Nous centristes, nous en étions réduits à le murmurer, à le chuchoter.
Un mot oublié et soudain un mot qui renaît.
Oui, il s’est passé quelque chose d’important à Leipzig cette semaine lors du Congrès de la CDU. "L'heure est venue pour une percée vers une nouvelle Europe", a dit Madame Merkel. «L’Europe n’est pas achevée, il faut développer les structures de l’Union, et ça veut dire plus d’Europe», a-t-elle dit ensuite.
Ces paroles, je vais vous dire, j’aurais voulu les entendre aussi à Paris. M. le Président de la République, que répondez-vous à Mme Merkel ?  Monsieur le Président de l’UMP, répondrez- vous à cet appel de Leipzig, si seulement vous l’avez entendu, tout occupé que vous étiez à promettre des représailles aux députés du Nouveau Centre.
En tous cas, nous au Nouveau Centre, nous répondrons à l’appel de Leipzig, nous dirons à nos amis de la CDU que leur vision est aussi la nôtre et que leur chemin est aussi le nôtre.
Nous leur dirons que nous sommes prêts pour un nouveau traité qui fera de l’Europe non seulement une puissance mais aussi un exemple.
Nous leur dirons que nous sommes prêts à coopérer et à partager non seulement sur notre budget, notre fiscalité mais aussi sur notre énergie, sur notre défense, sur notre politique étrangère, et sur de grandes questions communes, comme la recherche ou la biodiversité.
Voici l’Europe fédérale que nous voulons. Le temps est venu de passer des discours aux actes car rien ne serait pire que de ne pas profiter de la fenêtre historique qui s’ouvre devant nous.
Mes Chers amis,
Le Président de la République élu en Mai prochain devra dès le lendemain de son élection se rendre à Berlin pour dire aux Allemands qu’il est prêt à s’engager dans une intégration politique et économique poussée car si au sein de la zone Euro nous n’allons pas vers le fédéralisme, l’Euro et l’essentiel de la construction européenne sombrera.

Voilà, maintenant pour conclure, je vais vous poser une question toute simple. Votre travail, votre projet, vos propositions, que voulez-vous en faire ?
Voulez-vous comme certains le suggèrent que j’aille le porter, dès la première heure, au petit matin, rue de la Boétie, au siège de l’UMP ?
Voulez-vous que je frappe à la porte du bureau de son secrétaire général, que j’entre et que je lui dise, « tiens Jean-François, voici le projet du Nouveau Centre, nos militants et nos élus y ont mis tout leur cœur, toute leur intelligence, est-ce que tu peux-maintenant  le remettre à votre candidat ?
Vous souriez mais ce que je décris, c’est exactement ce que réclament certains d’entre nous.
Ce scenario il a nom, le renoncement. Et d’ailleurs je vous le demande : qu’est-ce que vous faites là un dimanche matin, venus de toute la France ?
Ouvrez la porte. Rentrez chez vous. Passez par le siège de la fédération Nouveau Centre, fermez la lumière, coupez le chauffage et mettez la clé sous le paillasson.
Certains me disent, « il faut peser a priori ». Peser a priori, en politique ça n’existe pas. La politique c’est d’abord un rapport de forces au service de ses convictions. Et ce rapport de forces il n’existe pas quand dés le mois de novembre on annonce qu’on soutiendra Nicolas Sarkozy au premier tour.
Qu’on le fasse à titre individuel pourquoi pas, chacun est libre ? Mais qu’on en fasse une stratégie collective, c’est accepter d’être immédiatement dissous.
Et d’ailleurs, croyez- vous un seul instant qu’il y aurait aujourd’hui des medias dans la salle si nous avions d’ores et déjà indiqué que Nicolas Sarkozy était notre candidat de premier tour. Personne ne s’intéresserait à ce que nous pourrions dire puisque nous ne le portons pas.
On ferait trois lignes dans les journaux, et d’ailleurs, je le dis à mes amis qui me veulent du bien, quel autre message politique de leur part a été retenu par la presse à l’exception de ceux concernant ma candidature. Quand je disparaitrai, je les invite à en trouver très vite un autre pour exister médiatiquement. 
D’autres me disent il faut négocier sans tarder ton retrait contre notre investiture et des circonscriptions supplémentaires pour sauver le groupe à l’Assemblée Nationale.
Mais, mes chers amis, qui peut croire que nous aurons, la légitimité politique de revendiquer 20 ou 30 circonscriptions nouvelles, bénéficiant bien entendu de l’investiture commune du Nouveau centre et de l’UMP, si nous ne démontrons pas, avant, que nous représentons une voix, une force et une espérance, soutenus par des français.
Vous croyez que cela se passe comme ça ?
Le secrétaire général de l’UMP  a d’ailleurs tellement de respect pour nous, il nous considère tellement, que d’ores et déjà il est dans le registre de l’intimidation. Et d’ailleurs, si on cède à cette intimidation au mois de novembre, c’est que l'on a décidé de se faire piétiner quand quelques mois.
Je dis à ceux-là : imaginons que ce soir, j’aille sur le plateau du 20 h de TF1 sans avoir prévenu personne,  et que j’annonce  que je n’irai pas plus loin. 
Je vous laisse deviner le sort que réserveraient nos amis de l’UMP à notre demande des 20 ou 30 circonscriptions supplémentaires en février ou mars au moment des négociations. Quelle capacité de négociation incroyable, nous aurons entre les mains !
Bien entendu aucune !...
… A moins de considérer que notre parti a vocation à être seulement un club d’élus locaux et nationaux, comme peut l’être le Parti radical de gauche.
Mais ne demandez plus alors aux militants de s’engager, d’être présents aux universités d’été, aux conseils nationaux, aux conventions et aux congres !
On me dit aussi, Hervé, ta candidature menace l’existence de notre parti ! Tu te rends compte, tu es à un pour cent dans les sondages. Si ta candidature ne décolle pas c’est une catastrophe pour toi et surtout pour le parti. Je sais qu’une campagne présidentielle, c’est difficile. J’en ai mené 2 aux côtés de François Bayrou dans des contextes assez similaires. Pour autant, ce n’est pas parce que c’est difficile qu’il faut renoncer. J’ai appris une chose de ma mère : elle n’était pas allée au-delà de l’école primaire, était d’une constitution fragile, mais elle m’a appris une chose : c’est que la volonté, la détermination et la ténacité finissaient toujours par être reconnu.
Je vous le dis, si nous abandonnons tout de suite, c’est que nous avons décidé de ne pas être des acteurs mais des spectateurs des débats politiques de 2012.
Qui peut penser un seul instant que l’armada UMP a besoin de nous pour mener la campagne électorale ? Dans le meilleur cas nous serons un alibi, une simple petite teinture centriste. En clair, renoncer maintenant, c’est décider de disparaitre, sans fleurs ni couronnes.
Et je vous le dis encore plus directement. Nous n’avons pas fait tout cela depuis 2007 pour en arriver là. Partis de rien, construisant brique après brique un parti.
Pardon d’être immodeste, mais je pense que je ne me suis pas beaucoup trompé. Et encore dernièrement, lorsque dans l’enthousiasme que certains mettaient à rejoindre Jean Louis Borloo, sans arrière-pensées bien entendu… et avant même la décision de notre parti, et que je demandais simplement un peu de prudence, de retenu et de recul pour tester la solidité de cette candidature, on me racontait que je n’avais rien compris. On a vu !
Non, mes chers amis, nous n’avons pas construit tout cela pour devenir des supplétifs de la majorité sous le regard amusé d’un François Bayrou, apparaissant comme le seul détenteur du message centriste.
Je n’ose d’ailleurs même pas imaginé le sort qui pourrait nous être fait dans cette hypothèse.
 Et bien moi, je ne ferai pas partie de ceux qui écriront cette histoire là. A ce compte, il vaut mieux rejoindre nos amis centristes de l’UMP, puisque c’est à peu près la même chose qu’on vous propose, et on voit bien à quel point ils ont pesé dans la majorité ces cinq dernières années. 

Notre projet, il est ce que nous sommes, il est ce que nous voulons. Oui tout donner au présent, ne pas calculer, c’est le pacte que je vous propose.
Pour cela, j’ai besoin de vous. J’ai besoin de vos mains, j’ai besoin de votre énergie, j’ai besoin de vos cœurs, j’ai besoin de votre engagement.
Merci à tous et vivement dimanche prochain.

dimanche, 13 novembre 2011

Entrevue télévisée des Présidents Obama et Sarkozy le 4 novembre (2/2)

Pour les personnes qui lisent mon blog via Facebook, les vidéos sont consultables uniquement sur www.brigittefoure.eu

samedi, 12 novembre 2011

Dans la presse...

logo_france-soir.gifLe film Intouchables, d'Olivier Nakache et Eric Toledano, avec François Cluzet et Omar Sy, est un carton. Un article de France Soir lui est consacré et l'on y évoque le combat de notre ami Jean-Christophe Parisot.

Pour lire cet article, CLIQUEZ ICI.

dimanche, 06 novembre 2011

Entrevue télévisée des Présidents Obama et Sarkozy le 4 novembre (1/2)

Pour les personnes qui lisent mon blog via Facebook, les vidéos sont consultables uniquement sur www.brigittefoure.eu

dimanche, 23 octobre 2011

France - Nouvelle-Zélande : 7-8 ! Bravo les Bleus et les All Blacks ! Rendez-vous en 2015 en Angleterre...

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Je tiens à féliciter les Bleus de Marc Liévremont. J'aime l'image d'une France qui se bat à la hauteur des enjeux se trouvant devant elle.


Xv de France : les joueurs de la Coupe du Monde de Rugby 2011

Bravo à :

Marc Liévremont et


1ère ligne : Fabien Barcella, Jean-Baptiste Poux, William Servat, Thomas Domingo, Dimitri Szarzewski, Luc Ducalcon, Nicolas Mas, Sylvain Marconnet 2ème ligne : Pascal Papé, Julien Pierre, Romain Millo-Chluski, Lionel Nallet 3ème ligne : Julien Bonnaire, Fulgence Ouedraogo, Imanol Harinordoquy, Thierry Dusautoir, Raphaël Lakafia,  Louis Picamoles 

 

1/2 de mêlée : Morgan Parra, Dimitri Yachvili 1/2 d’ouverture : David Skrela, François Trinh-Duc 3/4 centres Fabrice Estebanez, Maxime Mermoz, David Marty, Aurélien Rougerie Ailiers – Arrières : Maxime Médard,  , Vincent Clerc, Yoann Huget , Cédric Heymans, Alexis Palisson, Damien Traille


Le Palmarès du XV de France en Coupe du Monde : 3 fois finaliste…mais jamais de titre !

Finale de la Coupe du Monde de Rugby France - Nouvelle-Zélande : Allez les Bleus !

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Je suis très heureuse de voir que les Bleus sont en finale de la Coupe du Monde de Rugby ! Contrairement à leurs homologues du football en 2010, ces Bleus-là avancent pas à pas avec humilité et valident leurs objectifs, tout comme l'équipe de France de Basket Ball l'a fait il y a peu lors de sa Coupe du Monde ! Une victoire en finale ferait du bien au moral de tout le pays. Allez la France !

samedi, 15 octobre 2011

Coupe du monde de Rugby - France-Galles : Allez les Bleus !

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08:00 Publié dans France, Sports | Lien permanent | Commentaires (0)

vendredi, 07 octobre 2011

Un Strasbourgeois Prix Nobel de médecine

Il partage le prix avec l'Américain Bruce Beutler et le Canadien Ralph Steinman, décédé vendredi dernier.

2489391.jpgLe prix Nobel de médecine 2011 a été décerné à l'Américain Bruce Beutler, au Français Jules Hoffmann et au Canadien Ralph Steinman, pour leurs travaux sur le système immunitaire, a annoncé lundi 3 octobre le comité Nobel. 

On a appris après l'annonce que Ralph Steinman était décédé vendredi d'un cancer du pancréas.

"Les lauréats du Nobel de cette année ont révolutionné notre compréhension du système immunitaire en découvrant les principes clef de son activation", selon un communiqué du comité.

"MM. Beutler et Hoffmann se partagent une moitié du prix pour leurs travaux sur le système immunitaire inné. M. Steinman est récompensé pour ses travaux sur le système immunitaire adaptatif", précise le comité.

 

Des avancées pour l'asthme entre autres

 

Le système immunitaire permet à l'organisme de se défendre en libérant des anticorps et des cellules tueuses en réponse à des virus ou des germes.

Ces recherches ouvrent la voie à de nouveaux médicaments et permet de combattre des déficiences immunitaires comme l'asthme, la polyarthrite rhumatoïde et la maladie de Crohn.

"Leurs travaux ont ouvert de nouvelles voies pour le développement de la prévention et pour des thérapies contre les infections, les cancers et les maladies inflammatoires", explique le jury.

 

Cérémonie le 10 décembre

 

Bruce Beutler, 55 ans, et Jules Hoffmann, 70 ans, "ont découvert les protéines réceptrices qui reconnaissent les micro-organismes (nocifs) et activent le système immunitaire, première étape de la réponse immunitaire de l'organisme", explique le comité Nobel.

Ralph Steinman, 68 ans, "a découvert les cellules dendritiques du système immunitaire et leur capacité unique à activer et réguler l'immunité adaptative, dernière étape de la réponse immunitaire de l'organisme au cours de laquelle les micro-organismes sont évacués du corps", ajoute le comité.

Les trois lauréats recevront leur prix lors d'une cérémonie officielle à Stockholm le 10 décembre, date anniversaire de la mort du fondateur du prix, l'industriel suédois Alfred Nobel.

Le prix est doté de 10 millions de couronnes (1,08 million d'euros): une moitié sera partagée entre Bruce Beutler et Jules Hoffmann et l'autre moitié sera pour Ralph Steinman.

 

(Source : Le Nouvel Observateur - AFP).