mardi, 17 juillet 2012
8 otages français demeurent actuellement retenus dans le Monde. Ne les oublions pas...
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(Source : Otages du Monde).
15:00 Publié dans Droits de l'Homme, Droits des Femmes, France, Monde, Solidarité | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 16 juillet 2012
Interview d'Hervé Morin dans "Le Parisien/Aujourd'hui en France" du 14 juillet
Craignez-vous de nouvelles coupes dans le budget de la Défense ?
HERVÉ MORIN. Les socialistes font traditionnellement du budget de la Défense une variable d’ajustement, même en période de croissance, comme entre 1997 et 2002, car ils ont d’autres priorités. Les armées doivent savoir que François Hollande leur a raconté des histoires pendant toute la campagne électorale en leur disant que rien ne changerait.Un pays sans le sou est un pays dont l’indépendance est rognée dans ses fondements mêmes. Et la Défense en est un parfait exemple. François Hollande doit avoir le courage de reconnaître deux choses : 1. Le format des armées conçu dans le livre blanc de 2008 ne sera pas atteint en 2020, car il manque 30 Mds€ compte tenu de la crise. La France sera obligée de réduire la voilure, à l’image des Britanniques, qui viennent de le faire. 2. Il faudra procéder à une nouvelle réduction de format, en dépit de la « révolution » que j’ai engagée —très dure pour les personnels — et dont les effets ne suffiront pas à absorber les baisses de crédits. Il faudra très certainement réduire les formats de l’armée de l’air et de l’armée de terre.
Notre force de frappe vous semble-t-elle également menacée ?
Compte tenu du contexte et du poids du nucléaire dans le budget, je ne vois pas comment François Hollande pourrait continuer à maintenir les deux composantes (NDLR : océanique et aéroportée) de notre force de frappe, à moins de rendre totalement exsangues nos moyens conventionnels, dont nous avons besoin tous les jours dans les crises qui secouent le monde.
Quelles solutions préconisez-vous ?
La seule voie possible pour faire des économies, c’est le regroupement industriel européen, pour éviter les duplications de programmes qui coûtent cher à des Etats exsangues, et l’acceptation de l’interdépendance au sein de l’Europe.
La réforme que vous avez lancée en 2009 donne « une impression de désorganisation généralisée » de la Défense, souligne un rapport du Sénat. Que répondez-vous ?
Fallait-il rester dans l’immobilisme avec des structures administratives redondantes et disproportionnées et réduire chaque année un peu plus des crédits d’équipement grevés par les frais de fonctionnement? Quand je suis arrivé au ministère de la Défense en 2007, il aurait fallu augmenter notre budget de 5 Mds€ dès 2009 pour tenir le rythme. J’ai eu le courage de proposer au président Sarkozy une grande réforme nécessaire, qu’on ne pouvait plus repousser. Le rapport du Sénat en souligne les nombreux effets positifs : économies d’échelle, professionnalisation des fonctions administratives, simplification et harmonisation des procédures.
(Source : Le Parisien/Aujourd'hui en France).
18:04 Publié dans France, Hervé Morin Actualités, UDI | Lien permanent | Commentaires (0)
Entretien du président de la République le 14 juillet : le journaliste Philippe Tesson passe l'exercice au crible
Pour lire l'analyse de Philippe Tesson, CLIQUEZ ICI.
Pour les réactions politiques, CLIQUEZ ICI.
(Source : Le Point et TF1 News).
17:30 Publié dans France, Traditions | Lien permanent | Commentaires (0)
Les principales annonces du Premier Ministre lors de la récente conférence sociale
Question du Sénateur NC Hervé Maurey à propos de la conférence sociale lors de la séance de questions au Gouvernement au Sénat : CLIQUEZ ICI.
17:00 Publié dans Economie, France, Social, Solidarité | Lien permanent | Commentaires (0)
PSA : une première sanction sans appel de la politique gouvernementale
Philippe Vigier, Secrétaire général du Nouveau Centre condamne fermement le plan de licenciement annoncé par les dirigeants de PSA mais considère que le gouvernement actuel n’a pas le droit de s’exonérer de sa responsabilité désormais totalement engagée.
Au plus fort de la crise financière et économique, l'Etat, à travers un plan de soutien de trois milliards d'euros à PSA, a démontré qu'il assumait une véritable politique industrielle en venant en aide au secteur automobile, alors frappé de plein fouet.
Le plan de licenciement annoncé par les dirigeants du constructeur automobile, qui s'était engagé en contrepartie à ne pas fermer aucun site en France en échange de l'aide, est par conséquent purement et simplement indécent.
Indécent car il est inacceptable qu'une entreprise française qui a été aidée par l'Etat pendant la crise joue au poker menteur avec l'argent des Français.
PSA a aujourd’hui une dette envers l'effort national qui ne peut se solder que par le patriotisme économique et le maintien d’un outil de production fort sur notre sol.
Pour autant, l’actuel gouvernement doit désormais cesser d’essayer de rejeter la faute sur son prédécesseur et assumer ses responsabilités sans détours.
La décision de revenir sur la baisse des charges de 13,2 milliards, qui aurait conféré un avantage compétitif aux secteurs les plus exposés à la concurrence, dont celui de l’automobile, est un signal éminemment négatif adressé à toutes les entreprises aujourd’hui installées en France.
Dans cette perspective, le Nouveau Centre se battra avec une détermination totale contre la suppression de la TVA sociale qui aurait pour conséquence d’alourdir a la fiscalité sur les entreprises, de réduire leur compétitivité et à terme, de détruire des emplois.
14:00 Publié dans Economie, France, Social, UDI | Lien permanent | Commentaires (0)
PSA supprime 8000 postes en France : un drame national
Le groupe fermera en 2014 le site d'Aulnay-sous-Bois qui emploie 3000 salariés. De nombreux sous-traitants sont également touchés.
Même s'ils s'attendaient à de mauvaises nouvelles, c'est un choc terrible pour les salariés de PSA. Philippe Varin, le patron du constructeur, a annoncé jeudi un plan de restructuration d'une ampleur considérable. Le groupe va supprimer 8000 postes en France, qui se traduiront par 6500 départs s'il parvient à reclasser 1500 personnes en interne. Ces réductions d'effectifs, qui s'inscrivent dans un plan de départs volontaires courant jusqu'à mi-2013, s'ajoutent aux 1900 suppressions de postes dans l'Hexagone annoncées en novembre. Au total, ce sont donc près de 10.000 postes qui disparaissent.
La mesure la plus symbolique, redoutée depuis un an, est la fermeture, en 2014, du site d'Aulnay, qui emploie 3000 salariés. Il s'agit du premier arrêt d'une usine en France depuis celle de Renault à Billancourt, il y a vingt ans. La production de ce site, qui fabriquait la C3, va être transférée vers celui de Poissy, dans les Yvelines. Le groupe souhaite proposer un emploi à la moitié des salariés à l'intérieur du groupe, surtout à Poissy. La majeure partie de ces personnes devraient, en toute logique, prendre la place des 1300 intérimaires de Poissy. PSA compte aussi trouver des solutions d'emplois en réindustrialisant le site d'Aulnay, avec des activités automobiles, portées notamment par le groupe. Cette annonce, qui était détaillée dans un document de travail interne révélé par la CGT à l'été 2011, n'est pas une surprise. Le groupe cherche à faire tourner à plein Poissy en sacrifiant Aulnay, où les relations sociales sont plus tendues.
Le site de Rennes est aussi très touché, avec 1400 suppressions d'emplois sur 5600. Il s'agit d'un «coup de massue», souligne Didier Picard, de la CFE-CGC, qui rappelle que les salariés de l'usine bretonne, qui comptait 12.000 personnes en 2005, ont déjà fait «d'énormes efforts» puisqu'il s'agit du quatrième plan de réduction en cinq ans. Le site échappe toutefois à la fermeture. Il produira un modèle en 2016, qui pourrait être une voiture compacte de son partenaire Opel, tandis que la remplaçante de la C5 pourrait être fabriquée en Allemagne. D'ici là, ce site, specialisé dans les berlines haut de gamme (508, C6), risque de continuer à souffrir de la baisse du segment et de la concurrence des marques allemandes.
La restructuration concerne aussi largement les salariés ne travaillant pas dans la production, avec 3600 départs prévus sur différents sites français. 1400 postes sont supprimés au pôle recherche et développement, et 1300 à la direction industrielle. Pour l'heure, aucune mesure ne concerne l'usine de Sevelnord, près de Valenciennes. Ce site est fragilisé par le départ de Fiat cette année de la coentreprise qu'il formait avec PSA pour produire des véhicules utilitaires. Le français dit avoir bon espoir de trouver un nouveau partenaire.
700 millions de déficit
Philippe Varin a dit «être pleinement conscient du caractère douloureux» des annonces ainsi que du «choc et de l'émotion» qu'elles provoquent «dans l'entreprise et au-delà». Pour lui, ces décisions sont la «seule voie» pour «assurer l'avenir du groupe». Il a assuré que «personne ne sera laissé au bord du chemin».
PSA subit de plein fouet la baisse du marché européen, qui représente 60 % de son activité. Sur ce marché, le groupe anticipe une chute de ses ventes de 10 % cette année, ce qui devrait se traduire par un recul de sa production européenne de 21 % entre 2007 et 2012. Résultat, ses usines, sous-utilisées, perdent de l'argent. Sa division automobile a enregistré un déficit d'environ 700 millions d'euros au premier semestre, après 500 millions au second semestre 2011.
Plus grave, le groupe a brûlé environ 1,6 milliard de trésorerie sur les six premiers mois de l'année, selon certains analystes, après 1,5 milliard au second semestre 2011. «Nous perdons 200 millions de cash par mois, une situation qui risque de mettre en péril l'entreprise», a déclaré Philippe Varin. Le groupe compte équilibrer sa trésorerie à partir de la fin de 2014. D'ici à la mi-2013, le plan de départ devrait toutefois coûter 500 millions à PSA, estime la Deutsche bank. Le patron du groupe a en revanche écarté l'idée d'un prêt public, assurant que le groupe dispose d'une sécurité financière encore suffisante. PSA va aussi réduire significativement ses investissements, qui ont beaucoup augmenté pour accompagner son internationalisation et sa montée en gamme, et que le groupe comptait financer par les revenus de ses activités européennes.
Ces mauvaises nouvelles ont provoqué de vives réactions des responsables syndicaux. Bernard Thibault, de la CGT, a évoqué un «séisme», et a estimé qu'il fallait «multiplier par trois, voire quatre» ces suppressions d'emplois, pour «mesurer l'impact» réel «en termes d'emplois». Pour Jean-laude Mailly, de FO, les salariés paient «la facture des erreurs stratégiques du groupe». À la CFTC de PSA, Franck Don, considère que «la baisse des effectifs en R & D est gravissime». De son côté, Anne Valleron, de la CFE-CGC, souligne qu'il faut «travailler pour trouver des solutions pour les salariés».
La position du président de la République
Par ailleurs, le président de la République, François Hollande, a affirmé lors de l'interview télévisée du 14 Juillet que le plan présenté cette semaine par PSA Peugeot Citroën est "inacceptable", et que "l'État ne laissera pas faire". "Il doit être renégocié", a-t-il assuré.
Le chef de l'État souhaite engager une concertation pour qu'il n'y ait aucun licenciement sec. François Hollande a répété que sa première mission était la sauvegarde de l'emploi rappelant que le taux de chômage, aujourd'hui à 10%, est un record depuis 12 ans.
Le gouvernement ne peut pas interdire la fermeture du site d'Aulnay, mais "nous pouvons faire en sorte de faire qu'Aulnay reste un site industriel, de la même manière qu'il doit y avoir des garanties sur la pérennisation du site de Rennes", a-t-il ajouté.
L'Etat pourra agir avec "le chômage partiel", "la formation professionnelle" et "les crédits que nous pouvons apporter", a-t-il précisé. "Expertise, concertation et plan stratégique pour l'automobile" (qui sera dévoilé le 25 juillet) constituent les différentes étapes de réaction, a-t-il égrené.
La direction du constructeur a officiellement présenté ce jeudi en comité central d'entreprise son projet de réorganisation et annoncé l'arrêt de la production à l'usine d'Aulnay en 2014. Une fermeture qui concerne 3000 salariés. Au total, le groupe va supprimer 8000 postes en France, dans le cadre de son plan de restructuration. Outre Aulnay, l'usine de Rennes, qui fabrique les Peugeot 508 et Citroën C5 et C6, sera également très touchée: 1400 emplois sur un total de 5600 emplois sont concernés par la réorganisation.
(Source : Le Figaro).
13:00 Publié dans Economie, France, Social | Lien permanent | Commentaires (0)
L'actu européenne en bref
-Entente cordiale. Le président de la République Française François Hollande a effectué sa première visite officielle au Royaume-Uni le 10 juillet. Il y a rencontré la Reine Elizabeth II et le Premier Ministre David Cameron.
-Génocide arménien. Franck Papazian, co-président du Conseil de coordination des organisations arméniennes de France (CCAF), a affirmé lundi 9 juillet à l'AFP qu'un projet de loi serait "présenté à l'automne" par le gouvernement français afin de pénaliser la négation du génocide arménien.
De son côté, le sénateur PS Philippe Kaltenbach a indiqué le même jour dans un communiqué, avoir demandé aux présidents socialistes du Sénat et de l'Assemblée nationale la création d'un groupe de travail parlementaire sur la pénalisation de la négation du génocide arménien.
-Espagne. Les ministres des Finances de la zone euro se sont mis d'accord dans la nuit du 9 au 10 juillet sur les modalités de leur aide à l'Espagne, avec un premier versement de 30 milliards d'euros à la fin du mois, a annoncé leur chef de file Jean-Claude Juncker.
-Zone Euro. L'indéboulonnable Jean-Claude Juncker sera sans doute reconduit pour quelques mois à la tête de l'Eurogroupe, mais ce n'est que le début de l'histoire: la France et l'Allemagne planchent sur l'installation, dès l'an prochain, d'un «super M. Euro» afin de doter la monnaie unique d'un responsable plus politique, plus visible et plus international que l'actuel premier ministre luxembourgeois.
-Angela Merkel. Quelques semaines après le sommet européen de fin juin où elle avait semblé céder du terrain à l'Italie et à l'Espagne, la chancelière allemande Angela Merkel a essayé de reprendre la main dimanche en se montrant ferme face aux pays de la zone euro qui demandent des aides financières. C'est sur la télévision allemande ZDF que la chancelière a tenté de contre-attaquer dans la bataille de la crise de la dette : "Toutes les tentatives (...) de dire ‘soyons solidaires mais sans rien contrôler, sans aucune contrepartie, toutes ces tentatives n'auront aucune chance face à moi, face à l'Allemagne", a-t-elle déclaré. Elle a également réaffirmé la responsabilité des Etats même lorsque l'aide financière est destinée au seul secteur bancaire, comme c'est le cas avec l'Espagne. "Le gouvernement espagnol est évidemment garant des aides dans le cadre du programme pour l'Espagne", a-t-elle martelé, ajoutant qu'il n'y avait eu "aucune discussion" sur une possible modification de ces règles de garantie au sommet européen. Les députés allemands doivent se prononcer le 19 juillet, lors d'une session extraordinaire, sur l'aide européenne à l'Espagne à hauteur de 100 milliards d'euros maximum pour recapitaliser ses banques en grande difficulté.
Angela Merkel a également appelé la Grèce à respecter les accords passés avec la troïka des créanciers (Union européenne, Fonds monétaire international et Banque centrale européenne). "Le respect des engagements est un bien très précieux", a-t-elle souligné, tout en appelant à attendre le rapport de la Troïka, qui doit reprendre prochainement à Athènes sa mission d'audit des comptes grecs, avant de se prononcer sur la suite à donner à l'aide aux Grecs. Mme Merkel a par ailleurs appelé à rendre l'Europe "plus contraignante" pour qu'on "ne puisse plus tout simplement s'affranchir de règlements décidés ensemble".
-Culture (1). Le projet de rapport sur la « distribution en ligne des œuvres audiovisuelles dans l'Union européenne » rédigé par Jean-Marie Cavada a été voté récemment en Commission Culture du Parlement européen à une très large majorité. Le projet de rapport met en évidence la progression de l'offre légale des œuvres audiovisuelles en ligne et se concentre sur la mise en place de stratégies communautaires pour aller vers un véritable marché unique des contenus numériques en ligne. Il encourage une numérisation ambitieuse et responsable des œuvres audiovisuelles de notre patrimoine, et la valorisation des expressions et des contenus audiovisuels. La création et la qualité y sont présentées comme des ressources essentielles pour les industries audiovisuelles.
Il incite la signature au niveau européen d'accords collectifs ou contractuels entre les représentants des auteurs, des artistes interprètes et les producteurs pour développer de bonnes pratiques équitables et assurer une rémunération des ayant droits pour l'exploitation future de leurs œuvres en ligne.
-Culture (2). A l'occasion de l'échange de vues de la Commission Culture au Parlement européen sur le projet de rapport "Europe créative", dont la rapporteure est la Députée italienne Sylvia Costa, Jean-Marie Cavada, Député européen a maintenu ses fortes réserves sur le projet de règlement proposé par la Commission européenne.
Il renouvelle les recommandations qu'il avait formulées le 26 avril dernier lors de l'audition publique et souligne quatre de ses principales revendications :
- L’étanchéité des deux volets « média » et « culture » n'est toujours pas assurée en l'état actuel du texte.
- La dotation budgétaire stagne en volume, contrairement à ce que la Commission affirme et il est impossible en l'état de garantir aux professionnels européens de la culture et des médias, non seulement une augmentation des moyens mais encore de donner de la clarté au programme.
- S'agissant des médias, il existe aujourd’hui une signature claire et lisible qui permet d'identifier les projets bénéficiant du label « MEDIA ». Réputé en Europe, ce label est synonyme de qualité, alors dans ces conditions, quelles sont les raisons qui ont amené la Commission à vouloir faire disparaître cette dénomination emblématique pour une autre marque qui sera dès lors très floue ? Jean-Marie Cavada regrette cette décision et mettra tout en œuvre pour en demander son maintien dans la base juridique du texte.
- Par ailleurs, les acteurs du secteur culturel, dont l'affectation de prêts pour leurs projets est souvent difficile, voient apparaître de nouveaux intermédiaires financiers qui auront autorité pour déterminer les critères d’éligibilité. Un réel risque de "marchandiser" les propositions se dessine alors, au détriment des projets moins rentables mais dont l'esprit humain ne saurait cependant se passer.
Jean-Marie Cavada réclame un changement de position de la part de la Commission européenne dans l'intérêt général et restera d'une extrême vigilance sur le texte qui sera proposé cet automne.
-Culture (3). Les aides à la culture prennent souvent une forme lourde et complexe. Face à ce constat et suite aux travaux menés par le groupe de travail sur le financement des services culturels, la sénatrice de Seine-Maritime Catherine Morin-Desailly (Union centriste et républicaine) vice-présidente de la commission des affaires européennes et de la commission de la culture, de l’éducation et de la communication, a pris l’initiative d’adresser à la Commission européenne un avis politique préconisant d’alléger la lourdeur administrative des règles européennes.
Cet avis politique, adopté à l’unanimité par la Commission des affaires européennes, demande à l’institution européenne d’adopter rapidement un règlement dispensant les aides à la culture des contrôles européens de droit commun.
Catherine Morin-Desailly, proche des élus locaux, connait bien leurs préoccupations : « A force de soumettre l’action culturelle des collectivités à une trop grande lourdeur administrative, nous prenons le risque de décourager ou d’écarter un grand nombre d’acteurs culturels. L’allègement des règles européennes est une nécessité. »
En tant que rapporteur de l’action culturelle et de la stratégie numérique pour la commission des affaires européennes, Catherine Morin-Desailly s’appuiera sur ces travaux pour poursuivre son action « Fervente européenne, je ne conçois pas l’Europe comme un frein mais comme une chance supplémentaire d’encourager tout ce qui participe du dynamisme et de la vitalité de l’action culturelle. »
-Palmarès des villes embouteillées. Varsovie et Marseille sont les deux villes les plus embouteillées d'Europe, selon une étude réalisée par le fabricant de navigateurs GPS TomTom publiée mardi. Varsovie est en tête de ce classement de 31 villes européennes, suivie de Marseille, Rome, Bruxelles et Paris. Dans la capitale polonaise, le temps de trajet est 42% plus long dans les bouchons que quand la circulation est fluide et 89% plus long pendant l'heure de pointe du matin.
-Coût de la vie en France. Le gouvernement français va proposer une limitation à 2% cet été de la hausse des tarifs du train (hors TGV), du gaz et de l'électricité. Une "mesure de protection du pouvoir d'achat", qui concerne la SNCF, GDF-Suez et EDF, selon le gouvernement.
-Eurovision. C'est la chanteuse suédoise Loreen et son titre Euphoria (Auteurs: Thomas G:son, Peter Boström. Compositeurs: Thomas G:son, Peter Boström) , qui ont remporté le 57ème Concours Eurovision de la Chanson le 26 mai dernier à Bakou (Azerbaïdjan). Il s'agit de la cinquième victoire de la Suède. Rendez-vous à Malmö en 2013 !
10:30 Publié dans Europe, France | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 15 juillet 2012
Retour sur les festivités de la fête nationale
François Hollande, nouveau chef des Armées, a présidé son premier défilé du 14 Juillet. A bord d'un véhicule de commandement, le chef de l'Etat a passé en revue les troupes rassemblées sur la Place de l'Etoile avant de descendre les Champs-Elysées. Le président a ensuite pris place dans la tribune présidentielle Place de la Concorde, aux côtés de la plupart des membres du gouvernement et de sa compagne Valérie Trierweiler.
Au total, 4.950 hommes et femmes des trois armées et de la Sécurité civile ont participé cette année au défilé sur le thème des armées "au service de la Nation et de la paix dans le monde", avec à l'honneur les casques bleus qui servent dans le cadre des forces de l'ONU et les troupes rentrant d'opération extérieures (Opex). 241 chevaux, 450 véhicules et 82 motos ont également été mobilisés pour le défilé au sol et 66 avions, 32 hélicoptères ont participé au défilé aérien.
Une dizaine de parachutistes de l'équipe de France militaire ont effectué un saut acrobatique en clôture du défilé aérien, avec atterrissage programmé devant la tribune officielle. L'un d'eux s'est légèrement blessé à l'atterrissage. Après quelques minutes et l'intervention des premiers secours, le président François Hollande est allé prendre des nouvelles du militaire touché à la jambe droite. "Désolé. Je suis passé derrière la dépression de mon camarade, il y avait beaucoup de turbulences", a expliqué le parachutiste, encore allongé au sol. "Soignez le bien", a lancé le chef de l'Etat aux médecins et secouristes.
A l'issue des cérémonies, le président s'est entretenu avec des soldats blessés en opération et des familles de militaires morts en mission, principalement en Afghanistan.
Enfin, vers 13H15, le chef de l'Etat a renoué avec la traditionnelle interview télévisée du 14 juillet. Un rituel qui avait été abandonné par son prédécesseur à l'Elysée, Nicolas Sarkozy.
(Source : msn.fr).
13:26 Publié dans Dimanche Images, France, Traditions | Lien permanent | Commentaires (0)
L'otage français libéré au Yemen, bonne nouvelle du 14 juillet
Sain et sauf. Le 21 avril dernier, Benjamin Malbrancke avait été capturé à une trentaine de kilomètres de la ville yéménite d'Hodeida, sur la mer Rouge, alors qu'il se rendait dans un véhicule du Comité international de la Croix-Rouge vers un aérodrome. Il était avec deux chauffeurs yéménites qui ont été libérés peu après par les ravisseurs. Vendredi, il a été libéré, a annoncé samedi l’organisme. «Il a été remis vendredi à des représentants du CICR par Ansar al Charia (ndlr, un groupe islamiste lié à Al Qaïda)», a précisé Hicham Hassan, porte-parole du CICR à Genève. «Nous ignorons qui étaient ses ravisseurs», a-t-il ajouté. (Source : Paris Match).
13:21 Publié dans Dimanche Images, Droits de l'Homme, Europe, France, Monde | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 14 juillet 2012
Bonne soirée à tous ceux qui se rendent à des bals populaires !
Lucienne Delyle : Mon amant de Saint-Jean.
20:00 Publié dans Chanson, Détente et Loisirs, France, Traditions | Lien permanent | Commentaires (0)
Fête Nationale
08:00 Publié dans Europe, France | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 12 juillet 2012
Les mines du Nord-Pas-de-Calais inscrites au Patrimoine mondial de l'UNESCO
PARIS (Reuters) - Le bassin minier du Nord-Pas-de-Calais a été inscrit le samedi 30 juin sur la liste du Patrimoine mondial de l'Unesco, ont annoncé l'association BMU qui a porté la candidature et l'Unesco.
Le bassin minier, ajouté à l'unanimité sur cette liste par le Comité du patrimoine mondial de l'Unesco qui se réunissait à Saint-Pétersbourg (Russie), figurera dans la catégorie "paysage culturel évolutif vivant", a précisé l'association Bassin minier uni (BMU).
"Le site témoigne de la recherche d'un modèle de ville pour les travailleurs du milieu du 19e siècle jusqu'aux années 1960, et illustre une période importante dans l'histoire de l'Europe industrielle", écrit l'Unesco sur son site internet.
Jean-François Caron, président de BMU, s'est dit "ému" de cette décision qui "élève au rang d'exceptionnelle et d'universelle la vie ordinaire de milliers de mineurs", estime-t-il.
La nouvelle ministre du Logement, l'écologiste Cécile Duflot, a également salué cette inscription. "Belle idée, magnifique succès!", a-t-elle ainsi écrit sur Twitter.
Avec le bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, la France compte désormais 38 sites inscrits au Patrimoine mondial de l'Unesco, une organisation dont le siège est à Paris.
La liste du Patrimoine mondial comporte 951 biens.
(Source : Le Nouvel Observateur).
08:00 Publié dans Culture, Europe, France, Monde, Patrimoine, Tourisme, Traditions | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 11 juillet 2012
Création de Force Européenne Démocrate : une clarification bienvenue qui permet au Nouveau Centre de retrouver son unité...
Le Nouveau Centre prend acte de l’annonce par Jean-Christophe Lagarde de la création son propre parti politique. Il s’agit d’une clarification bienvenue, attendue depuis longtemps par les adhérents et qui permet enfin au Nouveau Centre de retrouver son unité.
Dans le contexte politique nouveau issu de l’élection présidentielle et des élections législatives, le rassemblement de tous les centristes demeure plus que jamais d’actualité.
Le Nouveau Centre entend fédérer toutes les composantes qui constituent l’identité et la singularité de la famille centriste, dans la mesure où le Nouveau Centre rassemble autant de parlementaires et de militants issus de la démocratie sociale que de la famille libérale. La défense des libertés individuelles et collectives, la promotion d’une économie de marché régulée de ses excès, l’attachement aux territoires et la volonté de bâtir une Europe réellement politique forment le socle de notre projet de société.
La création à l’Assemblée nationale d’un groupe politique commun à tous les centristes a marqué une première étape significative dans le rassemblement que nous appelons depuis toujours de nos vœux.
Au cours des prochains mois, le Nouveau Centre mettra toute son énergie au service de la formation d’un regroupement le plus puissant possible, ce qui implique la création d'une formation politique intégrée qui pourrait aller jusqu'à la formation d'un seul et unique grand parti. La constitution d’un centre droit influent ne saurait se réaliser par une addition de chapelles, qui porte en elle le germe de la division. C’est un objectif qu’il faut poursuivre sans relâche, sans arrière-pensées et sans exclusive, avec tous ceux qui en ont la volonté.
Ce sujet sera au cœur des débats de l’Université d’été que le Nouveau Centre tiendra à Nîmes le 1er septembre prochain, après avoir réuni ses cadres, le 25 juillet prochain.
Hervé MORIN,
Président du Nouveau Centre et député de l'Eure
Philippe VIGIER,
Secrétaire Général du Nouveau Centre et député de l'Eure-et-Loir
21:13 Publié dans France, Hervé Morin Actualités, UDI | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 10 juillet 2012
Communiqué de Philippe Vigier - Dette : l’emprunt à des taux négatifs est tout sauf un blanc-seing pour le gouvernement...
Philippe Vigier, Secrétaire général du Nouveau Centre, estime que la levée de 7,7 milliards d'euros d'emprunts à court terme à des taux négatifs par la France est une fausse bonne nouvelle et qu’il est impératif de ne pas perdre de vue l’exigence absolue d’un retour à l’équilibre des comptes durable.
Pour la première fois de son histoire, la France a levé de la dette à des taux d'intérêt négatifs. Cette « première » confirme ainsi la tendance de ces dernières semaines qui ont vu la France emprunter sur les marchés à des taux historiquement bas.
Pour autant, le Nouveau Centre insiste sur le fait qu’il s’agit d’une victoire en trompe-l’œil puisque cet attrait des investisseurs pour la dette française est uniquement lié aux turbulences traversées par les pays membres de la zone euro et aux craintes de son éclatement.
Elle ne doit pas détourner la France de ses objectifs de réduction des déficits et d’une réalité qui s’impose à tous les responsables politiques et en particulier au gouvernement socialiste : notre dette continue aujourd’hui de progresser et devrait ainsi dépasser 90 % du PIB à la fin de l’année 2012.
Dans cette perspective, le Nouveau Centre appelle le gouvernement à ne pas dilapider les résultats de la politique volontariste et vertueuse menée lors du précédent quinquennat sous l’impulsion décisive des centristes.
Lors de la prochaine loi de finances rectificatives, le Nouveau Centre sera au rendez-vous pour s’opposer à toute mesure qui contreviendrait à son ambition de construire une France socialement plus juste, fiscalement plus équitable et économiquement plus forte.
11:15 Publié dans Economie, France, UDI | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 08 juillet 2012
Hervé Morin était l'invité le 5 juillet de France 24, RFI et 20minutes.fr
18:00 Publié dans Dimanche Images, France, Hervé Morin Actualités, UDI | Lien permanent | Commentaires (0)
Paris félicite le peuple libyen pour sa "forte mobilisation" aux élections
La France a salué dimanche "le bon déroulement général" des élections en Libye, félicitant le peuple libyen "pour sa forte mobilisation" au scrutin, huit mois après la fin du conflit armé qui a provoqué la chute et la mort de Mouammar Kadhafi. "Huit mois après la chute du régime de Kadhafi, la France salue le bon déroulement général des élections en Libye, en dépit de quelques incidents", a indiqué le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Bertrand Valero. "Nous félicitons le peuple libyen pour sa forte mobilisation. Elle témoigne de sa volonté à contribuer à la réussite de la transition et à tourner la page des années de dictature pour construire, aujourd'hui, un Etat de droit", a-t-il ajouté dans un communiqué.
(Source : TF1 News).
16:38 Publié dans France, Monde | Lien permanent | Commentaires (0)
Paule Bronzini, doyenne des Français, a fêté hier ses 112 ans !
13:00 Publié dans Dimanche Images, France, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 04 juillet 2012
Discours de politique générale de Jean-Marc Ayrault : Où est le changement ?..
13:32 Publié dans France, Hervé Morin Actualités, UDI | Lien permanent | Commentaires (0)
Les réactions au discours de politique générale du Premier Ministre Jean-Marc Ayrault
Emission Ca vous regarde, LCP, 3 juillet 2012.
08:00 Publié dans France | Lien permanent | Commentaires (0)
La nouvelle organisation politique de l'Assemblée Nationale
Consultez les postes-clés de cette 14ème législature grâce au quotidien national Le Parisien/Aujourd'hui en France : CLIQUEZ ICI.
07:45 Publié dans France | Lien permanent | Commentaires (0)
Les Présidents de groupes à l'Assemblée Nationale
Groupe Gauche Démocrate et Républicaine (GDR) : André Chassaigne.
Groupe PS : Bruno Le Roux.
Groupe PRG : Roger-Gérard Schwartzenberg.
Groupe EELV : Barbara Pompili et François de Rugy.
Groupe Union des Démocrates Indépendants (UDI) : Jean-Louis Borloo.
Groupe UMP : Christian Jacob.
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mardi, 03 juillet 2012
Tout ce qui a changé depuis le 1er juillet !
Revalorisation du smic, hausse du prix du gaz, obligation d'avoir un éthylotest dans les véhicules... FTVi a recensé ce qui change pour vous au 1er juillet 2012.
• Le smic revu à la hausse
Premier changement majeur, qui concerne plus de 2,7 millions de salariés : la revalorisation de 2% du smic, décrétée par le gouvernement en début de semaine. Le salaire minimum horaire brut sera désormais de 9,40 euros, et la hausse de 2% correspondra à près de 21,50 euros net supplémentaires sur la fiche de paie pour un temps plein.
• Les allocations chômage revalorisées
Après une hausse de 1,2% en 2010 et de 1,5% en 2011, les allocations chômage sont revalorisées de 2% cette année, soit un peu plus que l'inflation sur la période de référence (1,9%). L'allocation quotidienne minimale passe à 28,21 euros.
• Flambée attendue des prix du gaz
La revalorisation des prix du gaz, qui intervient habituellement au 1er juillet, devrait cette fois intervenir le 15 juillet. Selon plusieurs sources, la hausse devrait être de l'ordre de 5 à 6% pour les particuliers. Mais le gouvernement pourrait s'y opposer.
• Révision de certains prélèvements sociaux
Les prélèvements sociaux sur les dividendes sont revus à la hausse : les livrets de placement donneront désormais lieu à un paiement à la source de 15,5% sur les intérêts (CSG, CRDS…), au lieu de 13,5% actuellement. Les livrets A, d'épargne populaire et de développement durable ne sont pas concernés.
• Ethylotest obligatoire dans les véhicules
Calé entre le gilet jaune et le triangle, l'éthylotest doit trouver sa place dans la boîte à gants à partir du 1er juillet. Les automobilistes et motards réfractaires s'exposeront à une amende de 11 euros, qui n'entrera cependant en vigueur qu'au 1er novembre. Selon un sondage Ifop publié samedi 30 juin, seuls 37% des automobilistes interrogés déclarent avoir déjà un éthylotest dans leur véhicule.
• Les Belges flashés en France paieront leur amende
Fini l'impunité pour les automobilistes belges auteurs d'excès de vitesse en France. Après les Suisses et les Luxembourgeois, les conducteurs belges flashés par un radar sur le sol français devront à leur tour payer leur amende, en vertu d'un accord entre les deux pays. Réciproquement, un automobiliste français pourra être poursuivi par les autorités belges en cas d'excès de vitesse.
• Couvre-feu pour les enseignes commerciales lumineuses
Enfin, entre 1 heure et 6 heures du matin, les publicités et enseignes commerciales devront désormais être éteintes. Un dispositif qui permettra d'économiser l'équivalent de la consommation annuelle de 260 000 ménages, mais qui ne s'appliquera pas dans les villes de plus de 800 000 habitants.
(Source : France Télévisions).
08:00 Publié dans Citoyenneté, Economie, Europe, France, Santé, Sécurité routière, Social, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 30 juin 2012
Le minitel va s'éteindre ce soir
Ce soir à minuit, le Minitel va s'éteindre définitivement. Bernard Marty, l'un de ses créateurs dans un laboratoire rennais sera présent.
A comme annuaire. Le 36 11, l'annuaire téléphonique est l'un des services les plus populaires du Minitel. Le premier également mis en service et testé auprès du grand public.
B comme Bernard Marti. Bernard Marti qui vit toujours dans l'agglomération rennaise est l'un des inventeurs du Minitel à Rennes en 1979. Polytechnicien, il a coordonné les travaux d'une équipe à l'origine du Minitel mis en service par France Télécom en 1982.
C comme couac. Fin juin 1982, les enfants se sont retrouvés en vacances. Ils se sont rué sur le Minitel qui proposait également des jeux. Le réseau fut saturé pendant trois jours.
D comme démantèlement. C'est une entreprise d'insertion de Toulouse qui assure le démantèlement de tous les Minitels. (Lire en dernière page).
I comme internet. Outil révolutionnaire à sa création, après trente ans de service le Minitel s'arrête. Il a succombé au succès d'internet qui lui a volé sa place dans le champ de la communication.
J comme Jeux Olympiques. La première expérimentation a lieu pendant les JO de Moscou. Un système d'information permet aux journalistes d'avoir accès à la biographie des athlètes, aux règles...
M comme météo. Le 3615 météo était déjà le plus consulté des services.
N comme nostalgie. Pas de nostalgie chez le créateur du Minitel. « Le risque quand on travaille dans un laboratoire, c'est de ne rien trouver ou de trouver quelque chose qui reste dans le tiroir. » Ce n'est pas le cas de Bernard Marti qui après l'aventure du Minitel a participé à l'aventure de la TNT.
Q comme qui n'en veut. Les Deschiens, la troupe de comédiens de Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff lancent à la télévision une série de sketches courts de petites annonces complètement loufoques intitulées « 36-15 code qui n'en veut ».
R comme rose. La messagerie rose est arrivée par accident, se souvient Bernard Marti. « On avait prévu la boîte aux lettres » mais le Minitel n'était pas conçu pour se parler. « Quand ça chauffait lors des réunions internationales, il y en avait toujours un pour se moquer de notre messagerie rose ! »
P comme précurseur. Le Minitel a permis aussi l'émergence de la prise péritel, du format jpeg utilisé pour transmettre des photos. La clef mémoire du Minitel est aussi l'ancêtre de la clef USB et on dit que Steve Jobs s'est inspiré du design du Minitel pour ses ordinateurs.
S comme Saint-Malo. L'expérimentation publique démarre en 1980 dans la cité corsaire où sont équipés les premiers utilisateurs de l'annuaire électronique. Un an plus tard, 4 000 Minitels sont distribués en Ille-et-Vilaine.
T comme télématique. Faire entrer l'informatique dans les maisons était impensable. Avec le Minitel, c'est la révolution télématique. Le public accède à des informations pratiques, la bourse, les horaires de la SNCF, les comptes bancaires, les services de vente en lignes et les services de l'administration de l'État, l'astrologie, la messagerie rose.
V comme Vingt-trois heures cinquante-neuf minutes. C'est l'heure à laquelle les techniciens qui en ont assuré le bon fonctionnement depuis trente ans mettront fin au Minitel.
(Source : Agnès LE MORVAN - Ouest France).
13:21 Publié dans France, Société, Technologies | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 28 juin 2012
Historique : Aung San Suu Kyi était hier au micro de France Inter
Aung San Suu Kyi a enfin reçu le Prix Nobel de la Paix qui lui avait été décerné en 1991 alors qu’elle était en résidence surveillée. En tournée historique en Europe, l’opposante birmane accorde en exclusivité radio un entretien exceptionnel à France Inter dans le 7/9 (8h20 - 27 juin 2012).
08:00 Publié dans Droits de l'Homme, Droits des Femmes, Europe, Femmes au Centre, Femmes au Centre 80, France, Monde | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 26 juin 2012
Pour Sophie Auconie, Présidente de "Femmes au Centre" : « 155 députées à l’Assemblée Nationale : un chiffre encourageant mais encore loin d’être exemplaire »
Au lendemain des élections législatives, Sophie Auconie Présidente de Femmes au Centre salue la présence de 27 % de femmes dans l’hémicycle soit 155 femmes sur 577 députés alors qu’elles ne représentaient que 18,5 % des députés en 2007. Elle souligne que « c’est un record historique pour l’Assemblée nationale française même si de nombreux efforts restent à faire ». La France passe ainsi du 19ème au 9èmerang au classement européen du nombre de femmes présentes dans les parlements des 27 Etats membres.
Cette avancée en matière de parité en politique reste cependant à nuancer : « tous les partis politiques n’ont pas joué le jeu et certains ont préféré payer des amendes que proposer le renouvellement de la classe politique par l'émergence de femmes, nécessaires à la respiration de la vie démocratique» a déclaré la Députée européenne.
L’association Femmes au Centre propose d’ailleurs de « limiter le cumul des mandats afin de faciliter le renouvellement de la classe politique et ainsi favoriser l’émergence d’une nouvelle génération de femmes en politique». La présidente de Femmes au Centre conclut en interpellant les responsables des différents partis politiques : « il faut dès maintenant travailler à l’émergence de nouveaux talents féminins pour les prochaines échéances électorales. »
(Bruxelles, le 20 juin 2012).
15:26 Publié dans Femmes au Centre, Femmes au Centre 80, France, UDI | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 23 juin 2012
Composition du Gouvernement Ayrault II
Le président de la République, François Hollande, a nommé, jeudi 21 juin 2012, les membres du nouveau Gouvernement sur la proposition du Premier ministre, Jean-Marc Ayrault.
La composition du Gouvernement a été annoncée par Pierre-René Lemas, Secrétaire général de la présidence de la République.
Sont nommés :
• M. Laurent Fabius, ministre des affaires étrangères
• M. Vincent Peillon, ministre de l’éducation nationale
• Mme Christiane Taubira, garde des sceaux, ministre de la justice
• M. Pierre Moscovici, ministre de l’économie et des finances
• Mme Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé
• Mme Cécile Duflot, ministre de l’égalité des territoires et du logement
• M. Manuel Valls, ministre de l’intérieur
• Mme Nicole Bricq, ministre du commerce extérieur
• M. Arnaud Montebourg, ministre du redressement productif
• Mme Delphine Batho, ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie
• M. Michel Sapin, ministre du travail, de l’emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social
• M. Jean-Yves Le Drian, ministre de la défense
• Mme Aurélie Filippetti, ministre de la culture et de la communication
• Mme Geneviève Fioraso, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche
• Mme Najat Vallaud-Belkacem, ministre des droits des femmes, porte-parole du Gouvernement
• M. Stéphane Le Foll, ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt
• Mme Marylise Lebranchu, ministre de la réforme de l’Etat, de la décentralisation et de la fonction publique
• M. Victorin Lurel, ministre des outre-mer
• Mme Sylvia Pinel, ministre de l’artisanat, du commerce et du tourisme
• Mme Valérie Fourneyron, ministre des sports, de la jeunesse, de l’éducation populaire et de la vie associative
• M. Jérôme Cahuzac, ministre délégué auprès du ministre de l’économie et des finances, chargé du budget
• Mme George Pau-Langevin, ministre déléguée auprès du ministre de l’éducation nationale, chargée de la réussite éducative
• M. Alain Vidalies, ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé des relations avec le Parlement
• M. François Lamy, ministre délégué auprès de la ministre de l’égalité des territoires et du logement, chargé de la ville
• M. Bernard Cazeneuve, ministre délégué auprès du ministre des affaires étrangères, chargé des affaires européennes
• Mme Michèle Delaunay, ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée des personnes âgées et de l’autonomie
• M. Benoît Hamon, ministre délégué auprès du ministre de l’économie et des finances, chargé de l’économie sociale et solidaire et de la consommation
• Mme Dominique Bertinotti, ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée de la famille
• Mme Marie-Arlette Carlotti, ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée des personnes handicapées et de la lutte contre l’exclusion
• M. Pascal Canfin, ministre délégué auprès du ministre des affaires étrangères, chargé du développement
• M. Thierry Repentin, ministre délégué auprès du ministre du travail, de l’emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social, chargé de la formation professionnelle et de l’apprentissage
• Mme Yamina Benguigui, ministre déléguée auprès du ministre des affaires étrangères, chargée de la francophonie
• M. Frédéric Cuvillier, ministre délégué auprès de la ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie, chargé des transports, de la mer et de la pêche
• Mme Fleur Pellerin, ministre déléguée auprès du ministre du redressement productif, chargée des petites et moyennes entreprises, de l’innovation et de l’économie numérique
• M. Kader Arif, ministre délégué auprès du ministre de la défense, chargé des anciens combattants
• Mme Anne-Marie Escoffier, ministre déléguée auprès de la ministre de la réforme de l’Etat, de la décentralisation et de la fonction publique, chargée de la décentralisation
• M. Guillaume Garot, ministre délégué auprès du ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt, chargé de l’agroalimentaire
• Mme Hélène Conway, ministre déléguée auprès du ministre des affaires étrangères, chargée des français de l’étranger
08:00 Publié dans France | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 18 juin 2012
Pour Brigitte Fouré, « la Somme a bien résisté à la vague rose »
Brigitte Fouré, Conseillère Générale, prend acte des résultats des élections législatives dans la Somme et note que « notre département a plutôt bien résisté à la vague rose grâce à l’élection de Stéphane Demilly et d’Alain Gest, qui est la preuve de leur ancrage très fort sur leur territoires respectifs. Je suis déçue pour Jérôme Bignon, dont je connais l’intégrité et la passion du terrain».
Concernant Amiens, Brigitte Fouré déclare : « en tant que femme, je me réjouis que deux femmes soient élues mais les réjouissances s’arrêtent là. En perdant Olivier Jardé, la 2ème circonscription se prive de l’un de ses plus ardents défenseurs. Je lui souhaite bonne chance pour la nouvelle vie qui s’ouvre à lui désormais. Dans la 1ère circonscription, l’arrivée d’une « parachutée » ne connaissant pas la réalité du terrain est préoccupante. Nous jugerons sur ses actes et je salue Stéphane Decayeux, qui n’a vraiment pas démérité durant cette campagne ».
Plus généralement, l’ancien maire d’Amiens se « félicite des 12 députés Nouveau Centre élus à l’Assemblée Nationale, dont Hervé Morin, et se félicite de constater que le centriste Damien Abad, élu dans l’Ain, va laisser sa place de député au Parlement européen à l’élue Nouveau Centre de Corse Karine Fenocchi, à Strasbourg. »
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dimanche, 17 juin 2012
Second tour des élections législatives
"Voter est un droit, c'est aussi un devoir civique !"
08:00 Publié dans Dimanche Images, France | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 13 juin 2012
2 ème circonscription de la Somme : Soutien de Brigitte Fouré à Olivier Jardé pour le second tour des élections législatives
Plus d'informations sur le site jarde2012.com
14:15 Publié dans France, UDI | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 11 juin 2012
Brigitte Fouré soutient les candidats du Centre et de la droite parlementaire pour le second tour des élections législatives dans la Somme
Brigitte Fouré, Conseillère Générale de la Somme, a déclaré suite au premier tour des élections législatives : « Ces élections législatives sont d’un genre inédit car l’appartenance politique y aura été plus décisive que l’ancrage territorial. Dans la 1ère circonscription de la Somme, la candidate socialiste, parachutée il y a trois semaines et n’ayant fait aucune campagne de proximité, a rassemblé les électeurs sur son nom, preuve en est que dans notre nouveau régime présidentiel, le logo est plus important que le terrain. C'est regrettable. »
Au second tour, l’ancien Maire d’Amiens annonce qu’elle soutient sans réserves Stéphane Decayeux, Olivier Jardé, Jérôme Bignon, Alain Gest et Stéphane Demilly, qualifiés au second tour dans les cinq circonscriptions de la Somme afin de « ne pas envoyer à l’Assemblée Nationale une majorité hégémonique qui détient déjà la présidence de la République, le Sénat, les Régions et un grand nombre d’autres collectivités territoriales ».
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