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mercredi, 30 mai 2012

Café Europe à Amiens ce soir sur le thème de la solidarité internationale

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mardi, 29 mai 2012

L'agenda de ma semaine

Agenda blog.jpgLundi 28 mai : férié

Balade sur la Côte picarde avec des amis

 

Mardi 29 mai :

Après-midi : rendez-vous à ma permanence

 

Mercredi 30 mai :

13h : délibérations à la faculté de droit

18h : café-Europe au Bowling Mont-Blanc

 

Jeudi 31 mai :

9h-12h : permanence sans rendez-vous à ma permanence

 

Vendredi 1 juin :

9h30-11h : rendez-vous personnel

15h : opération « fête des mères » dans mon canton

20h30 : concert d’Arbolesco au temple protestant

 

Samedi 2 juin :

Exposition sur le quartier Boutillerie organisée par le Comité de Quartier Val d’Avre

16h : inauguration de la Foire-Exposition

20h30 : concert de « Mélodie en sous-sol » au Safran.

19:22 Publié dans Mon Agenda | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 27 mai 2012

Bon week-end prolongé de la Pentecôte. Profitons-en pour visiter Amiens !

vendredi, 25 mai 2012

Vendredi Europe Express - Interview de Bernard Cazeneuve, nouveau ministre délégué aux Affaires européennes, hier sur France Inter


Bernard Cazeneuve a confirmé la bataille pour la croissance qu'a entamé François Hollande au niveau européen.

«Le président de la République a, avec la Chancelière, ouvert la discussion et a clairement dit que nous souhaitions que la croissance se traduise par des orientations précises et concrètes qui soient conformes aux engagements pris pendant la campagne présidentielle.»

Le ministre délégué aux Affaires européennes a expliqué ce que le président de la République compte mettre en place au niveau européen.

«Nous proposons la mutualisation de la dette de demain pour créer des conditions de financement qui soient acceptables par les pays les plus faibles»

Bernard Cazeneuve a conclu sur l'enjeu fondamental de la croissance

«Sans croissance, nous condamnons les peuples d’Europe à l’austérité, à l'aggravation de l’endettement des pays de l’Union européenne et à la dégradation de leurs comptes publics.»

 

(Sources : France Inter via dailymotion et Blog de Bernard Cazeneuve).

mercredi, 23 mai 2012

Stationnement à Amiens : constats accablants pour la Mairie !

Pour consulter le dossier de presse : CLIQUEZ ICI

logo-nouvelle-energie-amien.jpgEn mars 2008, les candidats de la liste "Unis et Solidaires" criaient sur tous les toits qu'ils avaient trouvé la solution pour améliorer les déplacements et le stationnement des Amiénois !
4 ans plus tard, le maire honni et solitaire a, dans ce domaine, réussi le tour de force de déplaire à tout le monde !

Jugez plutôt : arrivée des radars aux feux rouges, perturbation sur le trafic des Piéto +, suppression des parkings-relais, stationnement résidentiel payant dès la première voiture à Ste-Anne, projet de réaménagement contesté sur l'axe Barni-Ferry, arrêt de l'implantation des Velam, interdiction des véhicules dans le centre-ville sans proposition de transport alternatif...

Vous le voyez : Amiens est conduite à gauche et la ville tourne en rond !

C'est pourquoi, l'association des Amis de Brigitte Fouré - Nouvelle Energie pour Amiens a enquêté sur le terrain et les constats sont accablants.

Ce court document, distribué lors de la conférence de presse organisée le 22 mai 2012, n'a d'autre ambition que de mettre en exergue la vacuité de la politique actuelle de la municipalité en matière de stationnement.

Brigitte Fouré
Conseillère Générale de la Somme
Conseillère municipale d’Amiens


Olivier Mira
Conseiller Général-suppléant

mardi, 22 mai 2012

Il y a un an, Léon Lamotte nous quittait...

Conseil de la Société Civile.jpg

Le grand artiste Léon Lamotte (au centre, en veste marron-beige) nous a quittés il y a un an, le dimanche 22 mai 2011, à l'âge de 99 ans. Léon repose depuis au cimetière de Montières, son quartier d'Amiens, qu'il a tant aimé.

On le voit ici lors du lancement du Conseil de la Société Civile Amiens Horizon Europe, mis en place au début de mon mandat de députée européenne, fin 2007, et qui est à l'initiative des désormais traditionnels Cafés Europe !

Pour en savoir plus sur Léon Lamotte, CLIQUEZ ICI.

09:45 Publié dans Hommages | Lien permanent | Commentaires (0)

lundi, 21 mai 2012

L'agenda de ma semaine

Image Conseil Général 80.jpgLundi 21 mai :

9h-12h : permanence spécial logement à ma permanence

12h30 : déjeuner de travail avec une conseillère municipale

18h : permanence sans rendez-vous en Mairie de Cagny

20h : Bureau du Club « Imagine Amiens »

 

Mardi 22 mai :

11h : conférence de presse sur le stationnement

19h : réunion de préparation du Conseil Municipal et du Conseil d’Amiens Métropole

 

Mercredi 23 mai :

9h : Conseil d’Administration des Assurances Mutuelles de Picardie

 

Jeudi 24 mai :

9h-12h : permanence sans rendez-vous à ma permanence

17h : réception en Préfecture pour le départ du Secrétaire Général

18h : Conseil Municipal d’Amiens

 

Vendredi 25 mai :

11h : manifestation au Collège Arthur Rimbaud

 

Samedi 26 mai :

15h45 : célébration d’un mariage

 

Dimanche 27 mai :

11h : réderie de Cagny.

 

17:56 Publié dans Mon Agenda | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 20 mai 2012

Jean-Christophe Parisot dans "Rue Saint-Guillaume", le magazine de Sciences-Po Paris

Jean-Christophe Parisot.jpg

Article : 4868_001.pdf

Couverture du magazine : 4869_001.pdf


Bonne lecture dominicale !

samedi, 19 mai 2012

Composition du nouveau Gouvernement

Drapeau-FrancaisBg.jpg

• M. Jean-Marc AYRAULT, Premier ministre

• M. Laurent FABIUS, ministre des affaires étrangères

• M. Vincent PEILLON, ministre de l'éducation nationale

• Mme Christiane TAUBIRA, garde des sceaux, ministre de la justice

• M. Pierre MOSCOVICI, ministre de l'économie, des finances et du commerce extérieur

• Mme Marisol TOURAINE, ministre des affaires sociales et de la santé

• Mme Cécile DUFLOT, ministre de l'égalité des territoires et du logement

• M. Manuel VALLS, ministre de l'intérieur

• Mme Nicole BRICQ, ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie

• M. Arnaud MONTEBOURG, ministre du redressement productif

• M. Michel SAPIN, ministre du travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social

• M. Jean-Yves LE DRIAN, ministre de la défense

• Mme Aurélie FILIPPETTI, ministre de la culture et de la communication

• Mme Geneviève FIORASO, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche

• Mme Najat VALLAUD-BELKACEM, ministre des droits des femmes, porte-parole du Gouvernement

• M. Stéphane LE FOLL, ministre de l'agriculture et de l'agroalimentaire

• Mme Marylise LEBRANCHU, ministre de la réforme de l'Etat, de la décentralisation et de la fonction publique

• M. Victorin LUREL, ministre des outre-mer

• Mme Valérie FOURNEYRON, ministre des sports, de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative

• M. Jérôme CAHUZAC, ministre délégué auprès du ministre de l'économie, des finances et du commerce extérieur, chargé du budget

• Mme George PAU-LANGEVIN, ministre déléguée auprès du ministre de l'éducation nationale, chargée de la réussite éducative

• M. Alain VIDALIES, ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé des relations avec le Parlement

• Mme Delphine BATHO, ministre déléguée auprès de la garde des sceaux, ministre de la justice

• M. François LAMY, ministre délégué auprès de la ministre de l'égalité des territoires et du logement, chargé de la ville

• M. Bernard CAZENEUVE, ministre délégué auprès du ministre des affaires étrangères, chargé des affaires européennes

• Mme Michèle DELAUNAY, ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée des personnes âgées et de la dépendance

• Mme Sylvia PINEL, ministre déléguée auprès du ministre du redressement productif, chargée de l'artisanat, du commerce et du tourisme

• M. Benoît HAMON, ministre délégué auprès du ministre de l'économie, des finances et du commerce extérieur, chargé de l'économie sociale et solidaire

• Mme Dominique BERTINOTTI, ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée de la famille

• Mme Marie-Arlette CARLOTTI, ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée des personnes handicapées

• M. Pascal CANFIN, ministre délégué auprès du ministre des affaires étrangères, chargé du développement

• Mme Yamina BENGUIGUI, ministre déléguée auprès du ministre des affaires étrangères, chargée des Français de l'étranger et de la francophonie

• M. Frédéric CUVILLIER, ministre délégué auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, et de l'énergie, chargé des transports et de l'économie maritime

• Mme Fleur PELLERIN, ministre déléguée auprès du ministre du redressement productif, chargée des petites et moyennes entreprises, de l'innovation et de l'économie numérique

• M. Kader ARIF, ministre délégué auprès du ministre de la défense, chargé des anciens combattants.

08:00 Publié dans France | Lien permanent | Commentaires (0)

vendredi, 18 mai 2012

Vendredi Europe Express - Premier face à face Merkel / Hollande

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Reportage. Si le style des deux dirigeants est proche, ils divergent fortement sur les options politiques et économiques à suivre en Europe, où l’idée de la croissance fait son chemin.

Cela a commencé par un coup de foudre, un éclair qui a touché l’appareil du nouveau président peu après son décollage le forçant à revenir à Villacoublay. «Un heureux présage» a dit Angela Merkel dont le premier rendez vous avec François Hollande a ainsi démarré avec un sérieux retard sur l’horaire prévu.

Mais la rencontre a finalement eu lieu avec l’image reprise par les télévisions d’un rayonnant nouveau couple franco-allemand. Homer a remplacé Merkozy. Un autre style, un autre genre. Ni bise claquée ostensiblement ou bras pétri longuement comme le faisait son prédécesseur. François Hollande n’est pas un tactile. Angela Merkel non plus. Même réserve et même calme apparent. Même refus de l’esbrouffe et de la pause. Même tenacité. Ils sont faits l’un pour l’autre. «Avec le même sens du dialogue, le même pragmatisme et le même soucis du consensus» note un diplomate.

Pragmatisme

Et c’est sous le signe du pragmatisme qu’a commencé cette première visite en oubliant les différends de la campagne et la claire prise de partie de la chancelière en faveur de Nicolas Sarkozy. Dés le 6 mai au soir, elle fut la première chef d’Etat ou de gouvernement à appeler le vainqueur l’invitant à Berlin dés son investiture. Pour François Hollande aussi la relation franco- allemande est la première de ses priorités. Mais il rappelé vouloir «une relation plus équilibrée et respectueuse des sensibilités des partenaires et des institutions européennes».

L’un et l’autre pendant la conférence de presse finale étaient aussi souriant avant le diner au huitième étage de la chancellerie dans les appartements privés d’Angela Merkel. «Nous avons fait connaissance et établi des methodes de travail» dit le président français. «En 60 minutes il y a eu des convergences et des positions un peu différentes mais sur la place publique on relève plus de différences qu’il n’y en a en réalité» assure de son côté la chancelière.

Pour la croissance

Il s’agit de lancer un message d’unité même si dans les faits les positions restent encore assez distantes. «Je suis pour le sérieux budgétaire et cela veut dire être pour la croissance car sans croissance quelque soient les efforts fournis nous n’atteindrons pas nos objectifs» insiste le président français. Son homologue ne tique pas sur le mot et elle rappelle qu’il figure aussi dans le traité budgétaire accepté par 25 pays de l’Union.

Le gouvernement allemand parle lui aussi maintenant de croissance, même s’il entend par là non pas par la dépense publique, mais des réformes de structure. Le président français lui veut aussi «des politiques tangibles». Des marges existent pour un compromis – notamment avec la création de project-bonds européen pour des investissements productifs, plus d’engagements de la Banque Européenne d’Investissement ou l’instauration d’une taxe sur les transactions financières.

Les lignes ont en effet bougé en Europe où nombre de chefs gouvernements même conservateurs comme l’espagnol Mariano Rajoy ou le britannique David Cameron insistent pour une relance. L’italien Mario Monti se propose même en médiateur entre Paris et Berlin. Et en Allemagne même la chancelière est sur la défensive alors que l’opposition social-démocrate remporte les unes après les autres les élections locales. Les deux capitales ont d’ailleurs annoncé qu’elles allaient «mettre sur la table lors du sommet européen du 23 mai sur la croissance les idées évoquées en commun».

Ayrault, agrégé d'allemand

Le choix de Berlin comme première capitale étrangère visitée par François Hollande président illustre le retour à une certaine normalité dans les relations du couple franco-allemand. A peine élu Nicolas Sarkozy avait en 2007 choisi Londres et il ne cachait pas sa méfiance vis à vis de l’Allemagne avant de faire une totale volte-face notamment avec la crise de l’euro en collant dés lors totalement à Berlin.

Le nouveau président connait un peu l’Allemagne et son premier ministre Jean-Marc Ayrault, agrégé d’allemand est un atout dans les relations avec Berlin. Mais il y a désormais un fossé croissant entre les deux pays. L’Allemagne avec la force de son économie s’affirme toujours plus comme une puissance mondiale et ne regarde plus exclusivement vers l’Europe ni vers une France perçue comme en déclin. A peine 18% des Allemands considèrent désormais ce pays comme le principal ami et partenaire. Ils étaient encore 40% en 2003. Le réequilibrage du couple franco-allemand ne sera pas simple.

 

(Source : Marc Semo - Le Point).

Vendredi Europe Express - Nouvelles élections législatives le 17 juin en Grèce

De nouvelles élections législatives en Grèce auront lieu le 17 juin et seront préparées par un gouvernement intérimaire, dirigé par le président du Conseil d'État, Panayiotis Pikramenos.

grece_pt-019.gif« Les élections législatives auront lieu le 17 juin » , ont déclaré Panos Kammenos, chef du parti populo-nationaliste Grecs Indépendants et celui du parti de la Gauche démocratique, Fotis Kouvelis. Panayiotis Pikramenos, président du Conseil d'État nommé premier ministre par intérim, a indiqué qu'il entendait former « une équipe de 12 à 13 membres en conservant certains des ministres sortants et en leur adjoignant des magistrats » . Il sera chargé de gérer les affaires courantes et de préparer le scrutin.

Ces élections, qui seront les secondes en un peu moins de deux mois, sont cruciales pour le pays après la montée lors du dernier scutin de la gauche et des partis anti-rigueur qui contestent les mesures d'austérité du plan d'aide international à la Grèce. La loi prévaut qu'à défaut d'accord pour un premier ministre de consensus, le président doit choisir entre les présidents de la Cour suprême, de la Cour des comptes ou du Conseil de l'État pour prendre la direction d'un gouvernement de service.

Immédiatement après, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a averti le pays que les engagements pris par la Grèce en échange d'un second plan d'aide ne pouvaient être modifiés. « Il n'y a pas moyen de changer les engagements pris par la Grèce et également par les 16 autres pays faisant partie de l'Union monétaire » , a-t-il déclaré, tout en assurant qu'il souhaite le maintien d'Athènes dans la zone euro.

 «Nous voulons qu'elle reste (dans) la zone euro»

 Seul aménagement envisageable : « il est possible de travailler sur des mesures pour relancer la croissance en Grèce » . « La Grèce fait partie de la famille. Nous voulons qu'elle reste au sein de la famille de la zone euro et de l'Union européenne (...). Nous voulons rester aux côtés de la Grèce mais c'est désormais aux citoyens grecs de décider » , a affirmé José Manuel Barroso.

Pour le président de l'exécutif européen, il n'y aura pas de meilleure solution que le plan d'austérité négocié entre la Grèce et ses créanciers, l'Union européenne et le Fonds monétaire international. « Il n'y a pas de chemin plus facile. Toute autre voie sera plus dure » , a-t-il affirmé, rappelant que le programme négocié ne comprend pas seulement des mesures de réduction des dépenses mais également des réformes structurelles en Grèce.

Le ministre allemand des finances Wolfgang Schäuble, sur la même ligne, a jugé mercredi 16 mai qu'on « ne peut pas renégocier » le programme de l'Union européenne, de la BCE et du FMI pour la Grèce.

Mardi 15 mai au soir, la chancelière Angela Merkel et le nouveau président français François Hollande ont souligné leur volonté commune que « la Grèce reste dans la zone euro » lors d'une première prise de contact à Berlin. Tous deux se sont dits prêts à réfléchir à de nouvelles « mesures de croissance » pour aider le pays, en plein chaos politique.

 

(Source : La Croix - AFP).

mercredi, 16 mai 2012

Agression raciste à Amiens-Nord

201010114cb2847c54b86-0.jpgIl y a quelques jours, deux personnes âgées se sont fait agresser de bon matin alors qu'elles allaient prier à la mosquée située à côté de l'école maternelle du Pigeonnier. Cette agression ouvertement raciste est inadmissible. Aussi j'espère que les auteurs seront identifiés et jugés par les juridictions répressives avec la sévérité que ces faits supposent.

De tels actes méritent la réprobation la plus solennelle. Ils témoignent d'un climat délétère dans notre société, qui trop souvent préfère stigmatiser une catégorie de personnes, considérées comme le bouc émissaire plutôt que d'oeuvrer à un véritable "vivre ensemble" dans lequel tous trouvent à s'épanouir.

Il est vrai qu'il est tellement plus facile de faire la guerre que d'apaiser les conflits!

En ces jours où l'on vient de célébrer et l'Armistice de la seconde guerre mondiale et l'Europe qui a été créée quelques années plus tard, je rêve que, dans notre pays, nous sachions retrouver l'esprit qui animait Robert Schuman et les autres pères fondateurs de l'Europe, cet esprit qui a permis de construire une paix durable sur nos terres meurtries par les guerres et que nous apprenions, enfin, à vivre ensemble, quelle que soit notre religion, notre origine ou notre couleur de peau...

lundi, 14 mai 2012

L'agenda de ma semaine

Agenda Mairie.jpgLundi 14 mai :

9h-12h : permanence spécial logement à ma permanence

19h : lancement de la campagne législative d’Olivier Jardé

20h30 : Assemblée générale du Comité de Quartier Sud-Est

 

Mardi 15 mai :

12h : Conseil d’Administration de l’Association Yves Le Febvre

14h30-16h : permanence sans rendez-vous en Mairie de Quartier Pierre Rollin

16h-18h : porte-à-porte avec Olivier Jardé

18h : commission démocratie locale et vie des quartiers en Mairie

19h : réunion de préparation du conseil Municipal

20h30 : Maison du Théâtre

 

Mercredi 16 mai :

12h : déjeuner de travail

18h : commission des finances en Mairie

20h30 : réunion mensuelle du nouveau Centre d’Amiens

 

Jeudi 17 mai :

11h : messe à l’occasion de la fête du Quartier Saint-Acheul

12h : inauguration de la fête

 

Samedi 19 mai :

11h : réderie organisée par le Comité de Quartier Saint-Ladre

20h30 : concert des Chœurs de France au Zénith.

14:25 Publié dans Mon Agenda | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 13 mai 2012

C'est la Transbaie !

La Transbaie a lieu aujourd'hui au Crotoy et à Saint-Valery-sur-Somme (80). Il s'agit d'une course mythique qui consiste à relier les deux rives de la Baie de Somme à marée basse.

Bonne chance à tous les participants !

vendredi, 11 mai 2012

Vendredi Europe Express - Strasbourg inflige un camouflet à trois agences de l'Union européenne

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Le Parlement européen a voté, jeudi 10 mai en séance plénière, le report des "décharges budgétaires" de trois agences de l'Union : l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), l'Agence européenne du médicament (EMA) et l'Agence européenne de l'environnement (EEA).

Cette décision revient à ne pas leur donner quitus de leur gestion, pour l'exercice 2010. Elle constitue un cuisant camouflet, en particulier pour l'EFSA et l'EMA, épinglées pour une gestion contestable des conflits d'intérêts.

Ce vote intervient au lendemain de la publication d'un communiqué de l'EFSA annonçant le départ de sa présidente, Diana Banati, pour "prendre un poste à l'International Life Science Institute [ILSI]", poste "non compatible avec son rôle de membre et de présidente du conseil d'administration de l'EFSA". Mme Banati devient en effet directrice exécutive pour l'Europe de l'ILSI.

Cette organisation regroupe les principaux industriels de la pharmacie, de la chimie, de l'agroalimentaire et de la cosmétique. Elle se présente comme uniquement soucieuse de "fournir la science qui améliore la santé publique et le bien-être", mais les ONG la considèrent comme un lobby avant tout soucieux des intérêts de ses membres (PepsiCo, Monsanto, Unilever, BASF, Bayer, Nestlé, etc.).

CONFLITS D'INTÉRÊTS

Cette nouvelle affaire remet sur le devant de la scène les accusations récurrentes de conflits d'intérêts portées par les ONG et certains parlementaires européens contre l'agence basée à Parme (Italie), chargée d'évaluer la sécurité des éléments entrant dans la chaîne alimentaire (pesticides, additifs, résidus d'emballage, etc.).

L'histoire est en réalité ancienne. En septembre 2010, les liens de Mme Banati avec l'ILSI avaient été dévoilés par le député européen José Bové (Europe Ecologie), au cours d'une retentissante conférence de presse tenue à Bruxelles. Mme Banati, qui venait d'être reconduite à la tête du Conseil d'administration de l'EFSA, avait omis de déclarer qu'elle siégeait au conseil de direction de la branche européenne de l'ILSI. Après les révélations de M. Bové, elle avait quitté ce poste et était demeurée au sein de l'agence européenne.

Cela n'avait pas suffi à éteindre la méfiance. "Aujourd'hui, ce nouvel épisode montre que, au cours des deux années qui se sont écoulées, les liens de Mme Banati avec l'industrie sont demeurés intacts, dit M. Bové. C'est la preuve que nos protestations étaient fondées."

Les ONG ne sont pas en reste. "Il est totalement inacceptable que Mme Banati puisse aller directement d'un poste aussi important au sein d'une autorité de régulation à un poste de lobbyiste", a pour sa part commenté Nina Holland, responsable de Corporate Europe Observatory (CEO).

De son côté, la députée européenne Corinne Lepage (Alliance des démocrates et des libéraux pour l'Europe) dit, dans un communiqué, se "féliciter" du départ de Mme Banati, "dont l'implication au sein de l'ILSI est dénoncée depuis deux ans comme un cas flagrant de conflit d'intérêts". "J'encourage l'agence à prendre d'autres mesures pour mettre fin aux situations similaires de conflits d'intérêts impliquant l'ILSI au sein des panels scientifiques et des groupes d'experts", ajoute Mme Lepage.

La directrice générale de l'EFSA, Catherine Geslain-Lanéelle, conteste vivement cette lecture et met en avant les renforcements apportés depuis deux ans à la politique d'indépendance de l'agence. "L'an passé, à 356 reprises, des scientifiques ont été écartés d'une expertise en raison de leurs liens d'intérêts", fait-elle valoir.

Le départ de Diana Banati pour l'ILSI est intervenu au pire moment pour l'agence européenne. Fin mars, la commission du contrôle budgétaire du Parlement européen avait déjà demandé le "report de la décharge budgétaire" de l'EFSA pour l'exercice 2010.

REPORT DE LA DÉCHARGE BUDGÉTAIRE DE L'EFSA

Les griefs formulés par la rapporteure, la députée européenne Monica-Luisa Macovei (Parti populaire européen), tiennent précisément à la question des conflits d'intérêts. Son rapport rappelle ainsi que Mme Banati avait omis de déclarer ses liens d'intérêts avec l'industrie en 2010.

Très sévère, il "rappelle à [l'EFSA] que les règles régissant les déclarations d'intérêts devraient également être accompagnées d'une série de conséquences à appliquer lorsque ces règles ne sont pas respectées", et souligne que l'agence "devrait se concentrer sur l'intérêt public dans sa prise de décision indépendante, en tenant compte de toutes les données et informations pertinentes". Ce "report de la décharge budgétaire" de l'EFSA, a finalement été rendu effectif par le vote du Parlement en séance plénière.

"Je me réjouis du vote du Parlement, dit au Monde Mme Lepage. Il y a deux ans, nous n'étions pas plus d'une vingtaine à avoir coté le report des décharges de l'EFSA, nous étions quelque 150 l'an dernier, aujourd'hui, le report a été adopté à la majorité : cela montre que nous pouvons penser sur les règles du jeu et contribuer à les changer."

"Les conflits d'intérêts au sein d'agences européennes en charge de la santé des citoyens sont devenus une évidence que le Parlement n'accepte plus", a pour sa part commenté M. Bové qui a appelé l'agence à "se réformer en profondeur".

Toutefois, Mme Lepage indique qu'à ses yeux, le report de la décharge budgétaire de l'EEA n'a pas la même valeur que ceux de l'EFSA et de l'EMA, ces deux dernières étant en situation d'émettre des opinions sur des produits (médicaments, additifs alimentaires, OGM, etc.), ce qui n'est pas le cas de l'EEA.

 

(Source : Le Monde).

jeudi, 10 mai 2012

L'agenda de ma semaine

CG.jpgMardi 8 mai :

11h : fête patriotique à Cagny

 

Mercredi 9 mai :

9h : conseil politique de l’association de mes amis

 

Jeudi 10 mai :

9h-12h : permanence sans rendez-vous à ma permanence

17h30 : réunion au collège Guy Mareschal

 

Vendredi 11 mai :

11h : Conseil d’Administration de l’ADIL

15h : manifestation patriotique au collège Auguste Janvier

18h : Conseil d’Administration du collège Jean-Marc Laurent

18h30 : Assemblée Générale de l’association des Amis de Léon Lamotte

 

Samedi 12 mai :

16h : célébration du mariage d’une fille d’amis

20h : soirée d’anniversaire d’un de mes amis.

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Présidentielle : Lettre d'Hervé Morin aux adhérents et sympathisants du Nouveau Centre

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Paris, le 7 mai 2012

Chers amis,

Les Français se sont exprimés et ont décidé d’accorder leur confiance à François Hollande en l’élisant Président de la République. Il nous faut prendre acte de ce choix démocratique qui marque le début d’une nouvelle période de notre vie politique.

Nicolas Sarkozy, que nous avions à une très large majorité choisi de soutenir lors de notre Congrès extraordinaire du 25 février dernier, se représentait dans le contexte d’une crise économique et financière qui, partout en Europe, a conduit les peuples à faire le choix de l’alternance. Le quinquennat qui s’achève fut un quinquennat utile au cours duquel des réformes indispensables ont été menées avec succès. Nous pouvons être fiers de ce que nous avons accompli pour la France pendant ces cinq années.

Le candidat socialiste a été élu sans pour autant que la campagne électorale ait à aucun moment suscité l’adhésion des Français  à un programme en réalité insoutenable pour nos finances publiques et dangereux pour l’avenir de notre pays. Nos compatriotes doivent se préparer à de graves désillusions tant le principe de réalité va rapidement reprendre le dessus. L’état de grâce ne sera que de courte durée.

    Nous avons perdu l’élection présidentielle mais une autre bataille commence dès aujourd’hui : celle des élections législatives. C’est notre unique priorité pour les semaines à venir et j’y mettrai pour ma part toute mon énergie, en allant sur le terrain soutenir les candidats qui porteront les couleurs et les valeurs du Nouveau Centre. Plus que toute autre formation politique, il nous appartient à nous centristes d’incarner la modernité et de porter des idées nouvelles pour entrer de plain-pied dans le monde nouveau qui se dessine sous nos yeux.

Je vous demande de vous mobiliser dans vos fédérations et je vous demande de faire campagne pour que la majorité sortante soit la plus forte possible et que nous puissions constituer un groupe centriste autonome au sein de l’Assemblée nationale qui sera élue les 10 et 17 juin prochains. C’est ainsi que nous maintiendrons un contre-pouvoir à l’hégémonie socialiste, qui tient déjà dans sa main une grande majorité des collectivités locales, la quasi-totalité des régions, le Sénat, et maintenant la Présidence de la République.

Ce n’est qu’au lendemain des élections législatives que viendra le temps des recompositions politiques et de la reconstruction de la famille centriste. Nous devrons l’envisager dans un esprit d’ouverture mais dans la clarté des alliances, avec des femmes et des hommes de conviction animés par l’intérêt collectif et non par des intérêts personnels, ayant la même ambition sincère et franche de travailler ensemble pour reconstruire un mouvement uni qui nous permette de porter nos idées et nos valeurs. C’est ainsi que nous réussirons le rassemblement de tous les centristes pour redevenir une force politique incontournable.

Une famille à nouveau soudée, une famille à nouveau  imaginative, une famille à nouveau conquérante, c’est l’objectif qui est le mien et qui doit être le nôtre. C’est la feuille de route que je vous propose. Je compte sur vous.

Amicalement,

Hervé Morin

Présidentielle : Réaction de François Bayrou

bayroua.jpgFrançois Bayrou a estimé que "la responsabilité la plus importante" de François Hollande est désormais d'agir dans un "esprit d'unité nationale", dimanche 6 mai.

"François Hollande est élu président de la République. Nicolas Sarkozy en a pris acte avec dignité. Cette élection traduit, dans un moment de crise profonde, le grand besoin de changement du pays. C’est un besoin de refondation du lien de confiance entre les citoyens et le pouvoir qui les gouverne.

Un pays en crise ne peut pas résoudre les problèmes qui se posent à lui dans le climat d’affrontement que nous connaissons depuis des années. Il faut donc une démarche de réconciliation. François Hollande en a la responsabilité.

Il faut une démarche de vérité. Beaucoup de problèmes ont été éludés, et beaucoup de solutions avancées ne correspondent pas à l’exigence de la situation grave qui s’imposera à nous.

Il faudra construire dans l’action un esprit d’unité nationale. Si la France s’unit, elle peut faire face. Si elle persiste dans ses divisions, elle échouera. C’est la responsabilité la plus importante du nouveau président de la République, et le plus important des souhaits qu’on doit formuler à l’heure où son mandat va commencer."

(Source : bayrou.fr).

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mercredi, 09 mai 2012

Journée de l'Europe

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mardi, 08 mai 2012

Commémoration de la Victoire du 8 mai 1945

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Il ya tout juste 70 ans débutait l'horreur de la Shoah.

Souviens-toi...

lundi, 07 mai 2012

Brigitte Fouré félicite François Hollande et appelle à une recomposition de la droite et du Centre

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Communiqué de presse

 

François Hollande vient d’être élu et devient de fait le 7ème Président de la Vème République Française.

Dans un geste républicain, je tiens à le féliciter et je lui souhaite bonne chance.

Pour autant, le changement, ce n’est pas maintenant. Je dirai plutôt « Les difficultés, c’est maintenant !»

L’Histoire reconnaîtra les bienfaits de la présidence de Nicolas Sarkozy, qui restera l’une des plus courtes de la Vème République. Je pense notamment à la réforme des retraites ou à la très bonne présidence française du Conseil de l’Union européenne qu’il a menée en 2008. J’étais aux premières loges en tant que députée européenne à l’époque.

Mais la course aux idées du Front National lui aura été fatale et je la condamne fermement. Sur ce point, je suis d’accord avec l’analyse de fond de François Bayrou même si je regrette qu’il ait appelé à voter pour le candidat socialiste.

J’appelle dès à présent à la recomposition de la famille centriste. Celle-ci ne pourra se faire sans Le Nouveau Centre et son Président, Hervé Morin, en qui je renouvelle toute ma confiance et que je souhaite voir briguer la Présidence de la République en 2017.

La majorité présidentielle a souffert pendant cinq ans de l’effet du « parti unique ». La nouvelle opposition se doit d’être plurielle, avec un Centre fort.

 

 

 

CONTACT PRESSE

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Présidentielle : Résultats du second tour

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François Hollande est élu Président de la République à 51, 67%.

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dimanche, 06 mai 2012

Second tour de l'élection présidentielle

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"Voter est un droit, c'est aussi un devoir civique".

samedi, 05 mai 2012

Zazie : "Tout le monde il est beau"

vendredi, 04 mai 2012

Dans les médias...

micro-interview.jpgJ'ai été interviewée ce matin par les journalistes des rédactions de France Bleu Picardie et France 3 Picardie à propos du second tour de l'élection présidentielle.

Hervé Morin regrette vivement la décision de François Bayrou de voter Hollande

photo.pngFrançois Bayrou a annoncé ce soir qu'il votera pour François Hollande pour le second tour de l'élection présidentielle qui aura lieu le 6 mai prochain. Je ne peux que regretter vivement cette décision ; une décision d'autant plus incompréhensible que ces derniers jours de campagne ont largement montré les points de convergence qui existent entre le projet défendu par Nicolas Sarkozy et les priorités affichées par François Bayrou.
 
En choisissant une voie à l'opposé de ses valeurs et son programme, François Bayrou appuie un projet qu'il a largement critiqué tout au long de cette campagne. Le projet socialiste va encore creuser les déficits publics, alors que François Bayrou a toujours fait de la résorption de la dette une priorité nationale.
 
Malgré cette décision, j'appelle tous les électeurs centristes, qu'ils soient du MODEM, du Parti Radical, de l'Alliance centriste ou du Nouveau Centre à soutenir plus que jamais la candidature de Nicolas Sarkozy dans cette dernière ligne droite. Je l'ai dit à de nombreuses reprises et je le redis : pas une voix centriste ne doit manquer au candidat de notre majorité dimanche prochain.

Hervé Morin,
Président du Nouveau Centre
 
 
(Source : Site Internet du Nouveau Centre).

Position de François Bayrou pour le second tour de l'élection présidentielle

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Seul le prononcé fait foi.

"J’ai examiné depuis deux semaines l’évolution du deuxième tour de l’élection présidentielle, au travers de la lettre que j’ai adressée aux deux candidats, de leurs réponses, des interventions publiques et du débat d’hier soir.

Je l’ai fait au nom d’un courant politique qui a été soutenu au premier tour par plus de trois millions de Français. Au sein de ce courant politique, il est des sensibilités diverses, plus à droite, plus à gauche, très au centre. Et c’est naturel : le courant central du pays quand il est soumis au choix impitoyable de la bipolarisation est forcément divers.

Cette diversité, j’y tiens. Elle est notre nature propre. C’est pourquoi je ne donnerai pas de consigne de vote. Chacun de mes amis, chacun de mes électeurs s’exprimera en conscience. Je sais qu’il y aura des expressions différentes. Et je les respecterai.

Je veux donc vous dire mon jugement personnel.

Nicolas Sarkozy, après un bon score de premier tour, s’est livré à une course-poursuite à l’extrême droite dans laquelle nous ne retrouvons pas nos valeurs, dans laquelle ce que nous croyons de plus profond et de plus précieux est bousculé et nié dans son principe. L’obsession de l’immigration dans un pays comme la France, au point de présenter dans son clip de campagne un panneau « Douane » écrit en Français et en Arabe, qui ne voit à quels affrontements, à quels affrontements entre Français, cela mènera ? L’obsession des « frontières » à rétablir, comme si elles avaient totalement disparu et que nous y avions perdu notre âme, qui ne voit que cela conduit à la négation du projet européen auquel le centre et la droite, autant que la gauche modérée, ont donné des décennies d’action et de conviction ? Et quant à l’idée que l’école, ce devait être l’apprentissage des frontières, qui ne voit que c’est une déviation même de l’idée d’école, qui est faite au contraire pour que s’effacent les frontières entre les esprits, entre les consciences, entre les époques ?

La ligne qu’a ainsi choisie Nicolas Sarkozy entre les deux tours est violente, elle entre en contradiction avec les valeurs qui sont les nôtres, pas seulement les miennes, pas seulement celles du courant politique que je représente, mais aussi les valeurs du gaullisme, autant que celles de la droite républicaine et sociale.

Comment en est-on arrivé là ? Ce sera l’histoire de cette élection, de cette rupture au sein du peuple français, rupture qui vient de loin, rupture économique, sociale et morale. Je ne veux pas voter blanc. Cela serait de l’indécision. Dans ces circonstances, l’indécision est impossible.

Reste le vote pour François Hollande. C’est le choix que je fais. Il s’est prononcé, de manière claire, sur la moralisation de la vie publique dans notre pays. Il aura fort à faire.

J’ai dit ce que je pensais de son programme économique. Je ne partage pas ce programme : je pense que ce programme est inadapté à la situation du pays et encore plus à la crise qui vient, que j’ai annoncée, je crois certaine.

Mais je pense que devant cette crise inéluctable il n’y aura qu’une attitude possible : une unité nationale qui réunira des femmes et des hommes venus d’horizons différents, pour permettre au pays de se ressaisir.

Cette unité nationale, elle ne se réalisera jamais si chacun reste dans la logique des camps anciens, une opposition en embuscade contre une majorité dont le seul but est qu’elle se casse la figure. La situation de notre pays, et encore davantage la situation que notre pays va connaître est trop grave pour cela.

Je ne suis pas et ne deviendrai pas un homme de gauche. Je suis un homme du centre et j’entends le rester. Et je suis certain que le jour venu, il faudra aussi qu’une partie de la droite républicaine soit associée à ce qu’il va falloir faire pour que la France s’en sorte.

Par mon choix, je rends possible pour la première fois depuis longtemps cette union nationale, la vraie mobilisation des Français au service de la France.

Il appartiendra à François Hollande, s’il est élu, de réfléchir à la situation et de prendre en compte cette nécessité pour le pays.

S’il en reste à la gauche classique et à son programme, je serai un opposant, dans une opposition vigilante et constructive. Il faudra une opposition constructive, mais déterminée, quand il s’agira d’empêcher les erreurs annoncées.

Il est des moments dans l’histoire où l’engagement devient vital. Je crois que le moment est venu de franchir des pas décisifs : nous devons tous, où que nous soyons, nous dépasser et nous rassembler pour que la France se reconstruise."

(Source : bayrou.fr).

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Retour sur le débat Hollande/Sarkozy de l'entre-deux tours de l'élection présidentielle

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Revivez le débat de l'entre-deux tours minute par minute : CLIQUEZ ICI.

(Source : Le Point).

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