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vendredi, 31 décembre 2010

Bon réveillon de Saint-Sylvestre !

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jeudi, 30 décembre 2010

Quel bilan faites-vous de l'année politique 2010 ?

(Source : France Soir).

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mercredi, 29 décembre 2010

Quel sportif Français a marqué l'année 2010 ?

(Source : France Soir).

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dimanche, 26 décembre 2010

Vacances de Noël


Profitez bien de cette parenthèse annuelle offerte par les vacances de Noël pour prendre un peu de temps pour vous même et ceux que vous aimez...

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samedi, 25 décembre 2010

Joyeux Noël !

 Joyeux Noël à toutes et à tous !

Profitons de cette journée merveilleuse qui nous permet, chaque année, de relire le livre de notre vie afin de mieux avancer...

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vendredi, 24 décembre 2010

Un réveillon sous le signe de l'ouverture

C'est Noël dans le monde entier !

Que ce réveillon nous permette de nous ouvrir aux cultures du monde entier qui, comme nous, contemplent le message universel de Noël...

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jeudi, 23 décembre 2010

Brigitte Fouré demande au maire d’Amiens de déneiger la ville

deneigement1.jpgBrigitte Fouré, Conseillère générale de la Somme et Conseillère municipale d'Amiens déplore le manque de prise en charge de la municipalité concernant le déneigement de la ville.

"Nous vivons dans une capitale régionale. Or, on se sent plus en sécurité dans certaines communes rurales, dont le déneigement est assuré par le Conseil Général de la Somme, qu'à Amiens. Le maire devrait être sur le pont pour remettre la situation à la normale. Les services de la ville d'Amiens sont composés de personnes extrêmement compétentes mais qui se retrouvent actuellement désorientées par un maire qui ne sait même pas gérer les affaires courantes de sa ville".

Et l'ancienne Maire d'Amiens d'ajouter : "De nombreuses personnes âgées n'osent plus sortir de chez elle, de peur de glisser. Avec mon suppléant Olivier Mira, nous le constatons notamment dans notre canton du Sud-Est. Gilles Demailly, par son attitude, assigne nos anciens à résidence et les isolent encore plus. Où est la proximité ? Est-ce cela être unis et solidaires ?"

En conséquence, Brigitte Fouré et Olivier Mira demandent au maire de « se ressaisir » car les fêtes de fin d’année vont voir un grand nombre de personnes arriver pour passer ce temps fort dans leurs familles. « Il en va de l’image de notre ville ».

 

CONTACT PRESSE

06 47 54 95 47

vendredi, 17 décembre 2010

Bonnes fêtes de fin d'année à tous !

pere-noel.gifJe vous souhaite à tous de passer de très bonnes fêtes de fin d'année et vous donne rendez-vous sur ce blog, dans la version que vous connaissez, dès le lundi 3 janvier.

Durant les deux semaines qui viennent, la programmation habituelle de ce blog est modifiée en raison des fêtes.

mercredi, 15 décembre 2010

Les Centristes implosent de bonheur

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En colère contre le remaniement qui, avec deux ministres, ne leur accorde qu’une petite place, les centristes espèrent en profiter pour se rassembler.

 

Je cherche à mettre de la colle et pas de la poudre », martèle le député maire de Drancy Jean-Christophe Lagarde, président exécutif du Nouveau Centre. Depuis l’annonce du remaniement, les centristes veulent y croire : « C’est un électrochoc qui sonne l’heure de notre refondation », assure le sénateur Jean Arthuis. « Un moment historique », ajoute le député Nouveau Centre Philippe Vigier, proche d’Hervé Morin. Et un de ses collègues d’annoncer : « En démontrant que les centristes n’avaient plus de poids dans le parti majoritaire, le remaniement a recréé le clivage UMP/UDF. Cet épisode va beaucoup contribuer à refonder le centre ! »

Le constat est dressé par tous : en 2002, lors de la constitution de l’UMP, si le président de la République (Chirac) comme celui du parti (Juppé) étaient RPR, le Premier ministre (Raffarin) et le patron des députés (Barrot) venaient de l’UDF. Aujourd’hui, aucun centriste n’occupe ces postes : ils sont trop divisés pour peser. Tous lorgnent donc vers Borloo et ses élus dans l’espoir qu’ils quittent l’UMP, comme l’ancien ministre de l’Ecologie le laisse entendre. « Les trois quarts de ses parlementaires sont prêts à le faire. Si on les ajoute à nos forces, cela en ferait environ 70 », compte un responsable du Nouveau Centre. Au lendemain du remaniement, ils étaient une soixantaine d’ex-UDF à s’être retrouvés autour de Borloo : radicaux valoisiens, centristes de l’UMP, membres du Nouveau Centre, ou électrons libres comme Jean-Louis Bourlanges. Même Jean-Marie Bockel pour la Gauche moderne en était et Dominique Paillé, porte-parole de l’UMP, est passé. La feuille de route est claire : « Nous avons mandaté Jean-Louis Borloo pour organiser la coordination entre les centristes afin de recréer la deuxième jambe de la majorité », détaille la Nouveau Centre Valérie Létard, ex-secrétaire d’Etat à l’Ecologie. Une nouvelle réunion est programmée sous quinze jours.

Tous lorgnent vers Borloo et ses élusdans l’espoir qu’ils quittent l’UMP

Reste encore à en définir les modalités. Déjà, des divergences apparaissent. Surtout sur le départ des radicaux de l’UMP. François Sauvadet, président des députés Nouveau Centre, en fait un préalable : « La première étape, c’est une clarification politique de Borloo. » ­Laurent Hénart, secrétaire général des radicaux, n’en voit pas l’urgence : « Il faut prendre les choses dans le bon ordre : d’abord se coordonner, défendre des positions communes, notamment au Parlement. » Les radicaux discuteront de leur place dans l’UMP lors de la réunion de leurs instances dirigeantes le 24 novembre. La question est loin d’être réglée. Car, comme le souligne le sénateur Jean Arthuis, « derrière la présidentielle, il y a les législatives ». Pas sûr que les députés prennent le risque de quitter l’UMP. « N’oubliez pas que l’on ne peut pas faire confiance à la girouette Borloo », rappelle un centriste. Même si espère un autre : « En sortant du gouvernement, il a enfin montré qu’il pouvait prendre des décisions courageuses. »

Reste aussi le problème du leader : Hervé Morin rêve d’être le rassembleur, mais face à la popularité de Borloo, il est de plus en plus seul, y compris dans son camp : « Ils sont dans une situation ­similaire vis-à-vis du gouvernement, mais différente vis-à-vis de la structure partisane », affirme l’un de ses lieutenants. Les deux ont déjeuné ensemble mardi 16 novembre pour tenter d’aplanir leurs différences. L’heure est au rassemblement. Mais déjà le feu couve… Quant à François Bayrou, fort d’un sondage de l’Ifop pour « France Soir » le donnant « personnalité qui incarne le plus les idées et les valeurs du centre » à 41 % devant Borloo à 24 % et Morin à 9 %, il assure ne pas s’intéresser à ce « panier de crabes » : « Deux éléments créent la confiance en politique : une analyse juste et le courage d’en tirer les conséquences jusqu’au bout. » Quelque chose dont il ne semble pas croire Borloo capable...

 

(Source : Caroline Fontaine - Paris Match).

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lundi, 13 décembre 2010

L'agenda de ma semaine

2234422020.jpgLundi 13 décembre : Permanence rue Vascosan.

Session du Conseil Général de la Somme.

 

Mardi 14 décembre : Permanence en mairie de quartier Sud-Est, rue Pierre Rollin.

Fête de Noël au club de boxe française d'Amiens-Nord.

Repas de Noël à l'EPHAD de Cagny.

 

Mercredi 15 décembre : Remise du prix Sakharov au Parlement européen à Strasbourg au Cubain Guilhermo Farinas.

 

Jeudi 16 décembre : Permanence sans rendez-vous à mon bureau d'élue.

Réunion du Centre Libre Ecologique Européen (CLEE).

 

Vendredi 17 décembre : Fête de Noël de l'Espérance Sportive du Pigeonnier.

Bureau départemental du Nouveau Centre.

 

Dimanche 19 décembre : Goûter des aînés à Cagny.

 

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dimanche, 12 décembre 2010

Hervé Morin, invité de Ruth Elkrief le 6 décembre sur BFM TV

vendredi, 10 décembre 2010

La construction européenne : actualité de la déclaration de Robert Schuman

robert-schuman.jpgPourquoi les chrétiens devraient-ils s’engager dans les affaires de la vie publique ? Comment contribuer, en tant que chrétien, à la vie politique aujourd'hui, et notamment à la construction européenne ?

Du partenariat à la communion : actualité de la déclaration de Robert Schuman, par frère Paul-Dominique Masiclat, o.p.

Résumé d'une conférence donnée à Strasbourg le 8 novembre 2010

Pourquoi les chrétiens devraient-ils s’engager dans les affaires de la vie publique ? Comment contribuer, en tant que chrétien, à la vie politique aujourd'hui, et notamment à la construction européenne?

L'ambition de Robert Schuman. La déclaration du 9 mai 1950 était plus qu'un plan de développement industriel et économique. Il fallait changer le vivre-ensemble européen, reconstruire l'économie de marché mais surtout éliminer une fois pour toute la possibilité même d'une nouvelle guerre européenne. Robert Schuman, Jean Monnet et une poignée d'autres hommes politiques, forts de leur foi chrétienne ou leurs convictions humanistes, ont élaboré un nouveau type de relations internationales pour l'Europe. Il n’y aura plus les vainqueurs arrogants face aux humiliés. Schuman parle d'une « réhabilitation morale » de l'Allemagne et d'une « politique nouvelle » pour l'Europe en général.  Pari réussi avec l'adhésion de six pays, pour commencer, à la Communauté européenne de charbon et d'acier (CECA) en 1951 : France, Allemagne Fédérale, Italie et les trois pays du Benelux. Ce fut le début d'un processus de pacification, de réconciliation, de développement économique et de construction d'une communauté unie à l'échelle d'un continent. Une structure nouvelle fut créée pour garantir la pérennité de cette nouvelle façon de traiter avec les pays voisins : la Haute Autorité, une instance supranationale. Ce fut là une innovation mondiale dans la sphère politique, bien que la nature de cette supranationalité restât mal définie.

Evolution, élargissement, heurts.
En soixante ans, la CECA a laissé la place à d’autres structures. Il y eut la Communauté économique (CEE) en 1957 puis, avec le Traité de Maastricht de 1992, l'Union européenne avec un Parlement européen. Composée de 6 membres au départ, l’Europe est arrivée par étapes successives jusqu’à 27 pays membres actuellement. L'évolution ne s'arrête pas là puisque le processus d'intégration dans l'Union européenne suit son cours pour un certain nombre de pays candidats. Elle a réalisé au moins deux grands projets : la création d'une monnaie européenne et la libre circulation des biens et des personnes dans un espace règlementé (l'espace Schengen). Ces projets-là demeurent : l'espace euro comme l'espace Schengen sont susceptibles de s'élargir à l'avenir. Cependant, l'Europe semble stagner. Elle se heurte encore au problème de la supranationalité. Il semble que le bien commun européen fasse figure d'un seuil plutôt que d'un défi. L'Europe peine à doter les intérêts européens d'une véritable parité face aux intérêts nationaux. L'Europe se résumerait-elle alors en une simple aire de commerce ?

La construction européenne : un projet sans pareil
Une excursion hors des frontières de l'Union européenne permet de prendre du recul face à un sentiment de déception générale et de mieux apprécier les atouts uniques du projet européen. Car d'autres régions du globe ont imaginé des projets d'union et de développement économique. Une région dont le plan de développement partage plusieurs traits avec l'UE est l'Asie du sud-est. En 1967, en pleine guerre du Vietnam, 5 pays fondent l'ASEAN, une organisation politique, économique et culturelle. Son but avéré est de contenir la guerre et la menace d'invasion communiste, de développer la croissance économique et d’assurer la stabilité politique. L'ASEAN a adopté la présidence par pays à tour de rôle. Elle a connu des étapes d'élargissements successifs : de 5 pays fondateurs (l'Indonésie, les Philippines, la Malaisie, Singapour et la Thaïlande) elle est passée progressivement à 10 avec le Brunei, le Cambodge, le Laos, Myanmar et le Vietnam, puis à 10+3, la Chine, le Japon et la Corée du Sud siégeant comme membres avec un statut particulier. Or, nulle instance supranationale, nul accord monétaire pour l'ensemble. Rien n'est tenu en commun, même pas la démocratie, malgré d’importants efforts de collaboration et de rapprochement. L'on alors voit que l'Europe a su innover dans le domaine des relations internationales. Elle a fait preuve de créativité sociopolitique pour inventer des structures qui n'ont d’équivalent nulle part ailleurs.

De la communauté à la communion
L'on a dit qu'il faut une âme à l'Europe. Les hommes ne peuvent créer une âme, mais ils peuvent faire œuvre de communion pour que l'Europe soit vivifiée à nouveau. Qu'est-ce que la communion ? Pour les chrétiens, c'est sans doute une réalité spirituelle d'abord, le lien sans faille d'amour entre Créateur et créatures, entre l'unique Père et sa multitude d'enfants baptisés partout dans le monde, rassemblés en un seul corps, le corps du Christ. Dans le registre de la foi, les chrétiens connaissent et vivent la supranationalité tous les jours. La communion de foi unit des peuples dans une communion ecclésiale sans se soucier d'identités nationales, de passeports ou de visas. Cette communion spirituelle entre baptisés, c'est la catholicité au sens propre du terme.
En régime de laïcité des Etats, il appartient aux croyants aussi, comme à chaque homme et à chaque femme de bonne volonté, de faire exister la communion au plan sociopolitique. Là où ils vivent - dans leur paroisse, leur quartier, leur ville - là se trouve un champ à labourer pour la communion. Tel un grain de blé, la communion est semée en terre. De la base de la société - les entités locales - jailliraient alors des plants de solidarité et d'entraide, d'égale dignité, de justice, de proximité, de liberté, de sécurité et de paix. Ces plants pourraient monter alors jusqu’au registre de la politique internationale pour concrétiser une Europe plus unie, une communion des citoyens. Répandue de paroisse en paroisse, de quartier en quartier, de ville en ville et de nation en nation, cette communion serait comme une nappe phréatique d'eau vive irrigant l'Europe à la base. Ainsi les citoyens croyants sauront-ils participer pleinement à la construction européenne. Le Plan Schuman reste d'actualité. Il s’agit de la réhabilitation morale de tout le projet européen. Ce projet est un chantier en cours. La moisson d’unité et de communion est abondante. Les chrétiens sont éminemment qualifiés pour moissonner un bien si précieux.

(Source : La Vie).

mercredi, 08 décembre 2010

Hervé Morin ce matin dans le quotidien La Provence

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logo_laProvence.jpgFaites-vous ce tour de France pour vous compter ?
Depuis des mois, je vais à la rencontre des Français. Il y a en France des forces d’innovation, d’anticipation qu’il faut écouter. Je souhaite m’imprégner de tout cela.

Cela ressemble à une démarche de présidentiable !
Je souhaite que les valeurs que défend la famille centriste soient portées au moment de l’élection présidentielle. Cela doit s’appuyer sur un projet politique que je construis progressivement. Il faut un candidat centriste à la présidentielle, celui-ci sera désigné à l’automne 2011. Ma détermination est absolument totale pour que l’expression centriste se fasse entendre.

Qui est le leader du centre, Jean-Louis Borloo ou vous-même ?
Nous verrons bien qui sera sur la ligne de départ à l’automne prochain. Je ne suis pas en concurrence, ni dans une compétition. Pour moi, il n’y a pas de rivalité mais d’abord la volonté de porter un message politique qui a une pertinence absolue. Compte tenu de nos valeurs, les centristes doivent être associés à un parti de la droite républicaine.

Ce qui revient à dire que François Bayrou n’est pas un centriste ?
Une des conditions de cette expression centriste, c’est qu’il faut clairement savoir où on habite. Quand on est au centre, on n’est pas au milieu de nulle part! Etre indépendant ne signifie pas être seul. François Bayrou confond indépendance et démarche solitaire.

Pas de stratégie de rupture avec l’UMP pour exister ?
Lorsque l’on est centriste, on porte le principe de responsabilité individuelle, de liberté d’entreprise, de tempérance fiscale. Des valeurs qui nous amènent à être associés à la majorité actuelle. Mais il faut qu’on soit assez fort pour peser sur le cours des choses. Mon objectif est donc de créer une coalition des partis de droite et du centre où ces sensibilités de la vie politique française puissent être entendues. Toutes les démocraties européennes sont sous le régime de la coalition, de gauche comme de droite, ce n’est pas un hasard. On a besoin d’équilibre.

Les centristes ont été les grands perdants du remaniement. La rumeur d’un réajustement au profit du centre vous réjouit-elle ou vous vexe-t-elle ?
Nous avons très clairement assisté à l’occasion du remaniement à la constitution d’une équipe de campagne à base RPR. C’est un message de plus pour que les centristes prennent conscience qu’il doit exister une expression politique indépendante. Quant à l’entrée de centristes lors d’un réajustement, ce n’est pas significatif.

N’est-ce pas acrobatique de jouer l’alliance avec l’UMP pour les cantonales alors que vous êtes exclus des ministères ?
Lorsqu’il s’agit d’élections locales, les gens votent pour un homme davantage que pour un parti. Il faut donc choisir le meilleur.
 
Vous prônez une réforme fiscale qui s’engage à peine aujourd’hui. Etes-vous amer ?
Nous demandons la suppression du bouclier fiscal depuis trois ans. C’est un sparadrap, une mauvaise réponse à un vrai problème. Par ailleurs nous sommes favorables à la suppression de l’ISF qui serait compensé par la création d’une tranche marginale d’impôt sur les hauts revenus. Une solution économiquement efficace et socialement juste.

Les divisions qui se dessinent au PS vous seront-elles profitables ?
Il vaut mieux miser sur sa propre force que sur la faiblesse des autres.

Recueilli par Marjory CHOURAQUI

lundi, 06 décembre 2010

L'agenda de ma semaine

915002596.jpgLundi 6 décembre : Commission des affaires sociales au Conseil Général de la Somme.

Permanence sans rendez-vous en mairie de quartier Saint-Acheul.

 

Mardi 7 décembre : Commission des affaires sociales du Conseil Général de la Somme.

Conseil d'Administration du collège Guy Mareschal.

Conseil d'Administration du collège de La salle.

 

Mercredi 8 décembre : Commission des affaires sociales du Conseil Général de la Somme.

 

Jeudi 9 décembre : Permanence sans rendez-vous à ma permanence.

Conseil Municipal d'Amiens.

 

Samedi 11 décembre : Vente d'artisanat au profit du Tibet à ma permanence.

 

Dimanche 12 décembre : Plantation de l'arbre du Tibet.

Arbre de Noël organisé par le comité de quartier Saint Honoré-Jeanne d'Arc.

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dimanche, 05 décembre 2010

"Quand la femme est grillagée", par Pierre Perret


Pierre Perret dans l'émission Champs-Elysées, présentée par Michel Drucker sur France 2.

vendredi, 03 décembre 2010

Téléthon 2010 : C'est parti !

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TÉLÉTHON 2010, un seul geste suffit le 36. 37, pour que la mobilisation humaine prenne de l’issue sur la maladie, et que la recherche progresse et avance à grands pas.

Sécurité Routière : Accord en vue au Conseil de l'UE sur les sanctions transfrontalières

Sécurité routière.jpgLe Conseil Transports qui doit se tenir le 2 décembre à Bruxelles devrait voir se débloquer un important dossier en matière de sécurité routière : celui de la poursuite des conducteurs commettant des infractions routières dans les autres Etats membres de l'UE. La proposition de directive, présentée par la Commission européenne en mars 2008, a pour but de faciliter l'identification des contrevenants afin de pouvoir faire suivre les amendes dans leur Etat de résidence. L'objectif est de mettre fin à l'impunité dont jouissent aujourd'hui les conducteurs en infraction dans un autre Etat que leur Etat de résidence.

Au Conseil Transports, les ministres devraient conclure un accord de principe sur la proposition de directive. Le texte permettra aux Etats membres d'échanger les informations qui conduiront à l'identification des chauffeurs en infraction. Huit infractions sont couvertes : l'excès de vitesse, le non-port de la ceinture de sécurité, le non-respect d'un feu de signalisation rouge, l'alcool au volant, la conduite sous influence de drogue, le non-port d'un casque, l'utilisation d'une bande de conduite interdite et l'utilisation d'un téléphone portable au volant. Concrètement, l'Etat membre dans lequel l'infraction s'est produite pourra demander à l'Etat membre de résidence des informations concernant le véhicule concerné et son propriétaire. Une fois en possession de ces informations, il pourra donc faire suivre l'amende qui correspond à l'infraction.
Le texte ne règle pas autre chose que l'échange d'informations entre Etats membres et reste donc muet sur les suites à y donner. Décider de poursuivre ou pas l'infraction relèvera de la compétence des Etats, de même que rien n'est dit sur l'application effective des sanctions. Quid, dès lors, si le contrevenant décide de ne pas payer ? Si les deux Etats concernés (Etat d'infraction et Etat de résidence) ont des accords bilatéraux qui permettent la poursuite des sanctions, le chauffeur n'est pas à l'abri. Par contre, sans de tels accords, rien ne pourra être fait contre lui. Ce qui ne signifie pas forcément l'impunité puisqu'il sera toujours susceptible d'être « rattrapé » par le droit s'il se rend à nouveau dans l'Etat d'infraction et qu'il s'y fait contrôler.
 
 
BASE JURIDIQUE RÉVISÉE
 
 
C'est la base juridique du texte qui a longtemps bloqué un accord au Conseil. La Commission avait opté pour la base juridique « transport » (article 91(1) du Traité) mais les Etats, confortés par le service juridique du Conseil, l'ont toujours contestée. Le compromis élaboré par la présidence belge change donc cette base juridique. Ce sera une base « coopération policière » (article 87.2 du Traité). Avant l'entrée en vigueur du Traité de Lisbonne, cela aurait signifié que la proposition aurait dû être adoptée à l'unanimité, sous le troisième pilier. Ce n'est plus le cas aujourd'hui : la majorité qualifiée pourra suffire, avec la procédure de codécision.
Les conséquences sont ailleurs. D'abord, le Royaume-Uni et l'Irlande pourront choisir de ne pas participer à l'adoption du texte et de ne pas l'appliquer (opt-out). Ils ont trois mois pour se décider et c'est seulement après cette période qu'un accord politique pourra être formellement conclu au Conseil, avec ou sans eux. Ces deux pays ont d'ores et déjà indiqué qu'ils appliqueraient le texte. A moins d'un revirement, ils devraient donc être en mesure de donner formellement leur accord. Pour le Danemark, c'est plus compliqué : son statut particulier concernant la mise en oeuvre des décisions « Justice, Affaires intérieures » font qu'un accord international sera nécessaire pour le voir appliquer la directive sur son territoire.
Autre conséquence : toute référence à des mesures de coopération opérationnelle concrète entre les Etats pour la mise en oeuvre du texte a été éliminée, parce que, selon le Traité, cela impliquerait une adoption selon une procédure spéciale, à l'unanimité des Etats (article 87.3 du Traité). C'est pour cette raison que la proposition se concentre sur le simple échange d'informations entre les Etats et que tout ce qui relève de la poursuite des infractions reste de la responsabilité des Etats.
(Source : Isabelle Smets).

jeudi, 02 décembre 2010

Conférence de presse de Brigitte Fouré et Olivier Mira à 12h

bus.jpgBrigitte Fouré et Olivier Mira donneront une conférence de presse aujourd'hui jeudi à 12 heures au sein de leur permanence cantonale sur le thème : "Bus et voies de circulations dans Amiens : Pourquoi la Mairie se trompe !"

mercredi, 01 décembre 2010

Café Europe à Amiens ce soir : "Comment vit-on les fêtes de Noël en Europe et dans le monde?"

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