vendredi, 29 février 2008
Les otages libérés mercredi par les FARC évoquent la situation de détresse d'Ingrid Bétancourt. La mobilisation doit continuer.
Alors que l'otage est "très malade", les exigences des FARC ont été refusés par le gouvernement colombien.
Après la libération de quatre otages, la guérilla colombienne des Farc a réitéré son exigence, refusée par la Colombie, d'une zone démilitarisée en vue de prochaines remises en liberté, ce qui ne prête guère à l'optimisme sur le sort d'Ingrid Betancourt.
Jeudi, Mme Yolanda Pulecio, la mère d'Ingrid Betancourt, s'est déclarée «brisée» par les témoignages inquiétants des otages libérés la veille par les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc).
«Je partage la joie des familles qui ont retrouvé les leurs, otages de la guérilla depuis plus de six ans, mais j'ai une grande douleur pour Ingrid.
J'essaie d'être forte car je dois l'être pour elle, mais j'ai mal. Je suis détruite», a-t-elle dit à l'AFP. La situation est d'autant plus critique qu'à la suite de ces dernières libérations, les Farc ont fait savoir, dans un communiqué, au gouvernement colombien que s'il désirait désormais que d'autres otages soient relâchés, il lui faudrait accepter «la démilitarisation» des deux localités de Pradera et Florida (sud-ouest).
Jeudi, le ministre colombien de la Défense Juan Manuel Santos, interrogé sur radio Caracol, a une nouvelle fois rejeté cette démilitarisation arguant que «les dernières libérations d'otages prouvent qu'elle n'est pas nécessaire». L'exigence de la guérilla a toujours été catégoriquement rejetée par le président colombien Alvaro Uribe. Le président vénézuélien Hugo Chavez a adressé un message au chef des Farc, Manuel Marulanda, lui demandant de transférer de toute urgence en lieu sûr Ingrid Betancourt «dans la perspective de sa libération définitive».
Selon un des otages relâchés mercredi, la Franco-Colombienne est «dans une situation extrêmement difficile». Le sénateur colombien Gustavo Petro du Pôle démocratique (gauche), interrogé par l'AFP, ne dissimule pas son pessimisme. Selon lui, «il faut lire le communiqué des Farc comme une sorte de merci et d'adieu à Chavez et à Piedad Cordoba (sénatrice de gauche, ex-médiatrice du dossier). Les libérations unilatérales sont terminées et "nous, (les rebelles, ndlr) reprenons les négociations au point de départ", c'est-à-dire sur la démilitarisation».
«Tout est bloqué», a également estimé l'ancien ministre colombien Camilo Gonzalez, directeur de la fondation «des idées pour la paix» (Indepaz) interrogé par l'AFP, «dans cette situation, il est très difficile d'envisager la libération prochaine d'Ingrid». Mercredi, les ex-parlementaires Gloria Polanco, Orlando Beltran, Luis Eladio Perez et Jorge Gechem, ont retrouvé leurs proches au Venezuela, après plus de six ans passés en captivité.
Ils ont été reçus par Hugo Chavez, auquel la guérilla s'était engagée à les livrer en gage de reconnaissance de ses efforts de médiation. Luis Eladio Perez, qui a entretenu en captivité de profonds liens d'amitié avec l'otage franco-colombienne, a tenu à souligner «l'urgence» de secourir Ingrid Betancourt, qui souffre d'une hépatite B.
«Elle est très mal, très malade, physiquement épuisée. Elle est maltraitée par la guérilla et il faut le dire au monde», a ajouté M. Perez, affirmant avoir rencontré Ingrid Betancourt, pour la dernière fois, le 4 février. «Il faut la sauver», a-t-il souligné,« C'est un cri que je lance à la communauté internationale, au gouvernement du Venezuela, au président Hugo Chavez, au peuple colombien. Nous ne pouvons pas continuer à attendre des solutions hypothétiques».
Depuis janvier, les rebelles ont libéré six otages sans contrepartie. Le 10 janvier, Clara Rojas, ex-collaboratrice de Mme Betancourt, et la parlementaire Consuelo Gonzalez ont recouvré la liberté à la faveur d'une opération semblable. Désormais il reste encore 39 otages dits «politiques», dont trois Américains et Ingrid Betancourt, aux mains des Farc, qui souhaitent les échanger contre 500 de leurs guérilleros emprisonnés.
08:00 Publié dans Monde | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 28 février 2008
Euro commémoratif, voici le dessin gagnant :
Les citoyens et les résidents de l'UE viennent de choisir le dessin de la nouvelle pièce commémorative en euro marquant le dixième anniversaire de l'Union économique et monétaire et de la monnaie unique.
Le choix s'est effectué par un vote sur internet, qui s'est déroulé du 31 janvier au 22 février 2008. Ce vote était ouvert à tous les citoyens et résidents de l'Union européenne. Les votants avaient le choix entre cinq dessins présélectionnés par les directeurs des Monnaies européennes. Ils ont été 141 675 à participer. Le dessin gagnant a recueilli 41,48 % des votes.
L'auteur du dessin gagnant est M. George Stamatopoulos, sculpteur à la Banque centrale de Grèce. Les pièces commémoratives comportant ce dessin seront émises par tous les États membres de la zone euro à compter de janvier 2009.
Le dessin montre que l'euro est l'aboutissement de la longue histoire des échanges commerciaux, qui va du troc préhistorique (évoqué par l'aspect volontairement primitif du dessin) à l'Union économique et monétaire.
19:02 Publié dans Votre Europe | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 27 février 2008
Pour faire sortir Ingrid de la Nuit
11:30 Publié dans Monde | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 25 février 2008
L'agenda de ma semaine
Lundi 25 février : Commission des transports et du tourisme à Bruxelles.
Réunion de travail avec Madame Valérie Pécresse, Secrétaire d'Etat en charge de l'Enseignement Supérieur et de la recherche.
Mardi 26 février : Commission des transports et du tourisme à Bruxelles.
Réunion de soutien à Pascal Fradcourt, candidat aux élections cantonales à Amiens.
Mercredi 27 février : Réunion publique de quartier de Gilles de Robien salle Vascosan.
Jeudi 28 février : porte-à-porte dans le cadre des élections municipales.
Vendredi 29 février : Réunion de travail sur la restauration scolaire.
Inauguration de la crèche Abladène.
Samedi 1er Mars : Inauguration du Cours Noyon à Amiens, nouvelle appellation de la Rue de Noyon, devenue piétonnière.
14:57 Publié dans Mon Agenda | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 24 février 2008
En cas d'urgence dans toute l'Europe, appelez le 112
A l’heure du premier anniversaire du numéro d'appel d’urgence européen, le Parlement européen s’est attardé sur son efficacité.
Créé il y a 17 ans, le numéro d’appel d’urgence de l’UE est véritablement actif depuis un an. D’un point de vue logistique, les Etats membres sont satisfaits de sa mise en place. Les services télécoms nationaux ont fait en sorte que lorsqu’un citoyen appelle le 112, depuis un téléphone mobile ou un fixe n’importe où en Europe, il soit redirigé vers les services d’urgences nationaux (police, pompiers, ambulances). Les Etats membres ont encore jusqu’en 2011 pour mettre en place complètement les services du 112. Mais les citoyens connaissent-ils le 112 ?
Connaissez-vous le 112 ?
Un récent sondage eurobaromètre montre que seulement 22% des citoyens européens connaissent le 112, même si 95% d’entre eux considèrent que disposer d’un tel service est une bonne idée. La connaissance du 112 est plutôt meilleure dans les nouveaux Etats membres que dans les anciens. Ainsi, seuls 6% des citoyens danois et grecs déclarent avoir reçu des informations sur le 112, contre 56% en République tchèque ou 57% en Bulgarie. La plus grande difficulté dans la mise en place du 112 reste la langue. Les Etats membres ont prévu des services de traduction afin qu’un Français ayant un accident en Grèce puisse se faire comprendre. Ceux-ci ont toutefois besoin d’être développés. D’ici cet été, la Commission européenne devrait rendre publique une information sur le statut du 112 dans chacun des Etats membres.
12:00 Publié dans Votre Europe | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 23 février 2008
Ingrid Bétancourt : 6 ans
08:00 Publié dans Monde | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 22 février 2008
Comparaison du Traité simplifié avec la Constitution rejetée en 2005
08:00 Publié dans Europe | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 20 février 2008
Le Premier Ministre expose les 4 priorités de la présidence française à Strasbourg
Strasbourg plus que jamais au coeur de l'Europe!
Cette semaine, pour la deuxième fois, je participe à la session mensuelle du Parlement Européen et déjà, les choses s'accélèrent à mesure qu'approche le 1er juillet, date de la présidence française de l'Union Européenne.
En marge des réunions de commission, de groupe et naturellement de la session proprement dite, les rencontres avec les ministres français se multiplient: Dominique Bussereau, secrétaire d'Etat aux transports d'abord, François Fillon, Premier Ministre ensuite.
Le chef du gouvernement français a pu ainsi rappeler les 4 priorités de la présidence française:
- Climat et énergie
- Immigration et asile
- Défense européenne
- Politique agricole
Mais surtout, à Strasbourg, au Parlement Européen, il a pu affirmer que, grâce à la ratification du Traité de Lisbonne, la France est de nouveau au coeur de l'Europe.
Il a demandé à tous les parlementaires européens français, quelle que soit leur étiquette, de faire oeuvre pédagogique pour expliquer aux Français les institutions européennes et pour leur dire combien l'Europe est importante pour notre avenir.
Au fond, et je le ressens tous les jours davantage, la construction de l'Europe est comparable à celle de nos communautés de communes ou d'agglomération: nous sommes tous différents mais nous avons tous un destin commun et nous sommes condamnés à réussir ensemble ou à ne plus exister.
Nos intérêts particuliers ou nos mentalités peuvent parfois s'opposer mais il nous faut élever le débat pour nous rassembler, unis dans la diversité, autour de l'intérêt général.
Alors, oui, après l'intervention du Premier Ministre, je me suis sentie ce mardi encore un peu plus fière d'etre Française et donc profondément Européenne!
08:00 Publié dans Europe | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 18 février 2008
L'agenda de ma semaine
Lundi 18 Février : Session plénière du Parlement européen de Strasbourg.
Dîner avec Dominique Bussereau, Secrétaire d'Etat aux Transports.
Mardi 19 Février : Session plénière du Parlement européen à Strasbourg.
Rencontre avec le Premier Ministre François Fillon.
Mercredi 20 Février : Session Plénière du Parlement européen à Strasbourg.
Retour à Amiens.
Réunion de campagne municipale à Amiens avec Gilles de Robien.
Jeudi 21 Février : Rencontre avec le Président du Comité de Quartier Saint-Pierre.
Vendredi 22 Février : Réunion sur la restauration scolaire dans les EPHAD (maisons de retraite)
Participation au lancement de la campagne municipale de Camon autour de la tête de liste Reynald Spicer.
Samedi 23 Février : Manifestation de soutien à Ingrid Bétancourt.
08:00 Publié dans Mon Agenda | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 15 février 2008
La Bulgarie est entrée dans l'Hymne à la Joie
Lorsque la Bulgarie a rejoint l'Union européenne le 1er Janvier 2007, nous avons avancé encore plus vers l'unification de la famille européenne et mis fin à cette immonde balafre imposée par le Rideau de fer sur notre beau continent pendant tant d'années.
Liberté!
08:00 Publié dans Europe | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 13 février 2008
Billet d'humeur
Une nouvelle fois, un fait divers, inadmissible, met en lumière les méfaits de l'idéologie d'extrême-droite.
Cinq personnes, dont trois policiers parmi lesquels un brigadier-chef de la Brigade Anti-Criminelle (BAC), époux d'une conseillère régionale du Front national, auraient proféré des propos anti-sémites et pro-nazis.
Qualifiés de simple "connerie" par le président du groupe Front national au Conseil Régional, ces propos constituent une intolérable atteinte à la dignité des personnes. Ils démontrent, une nouvelle fois, ce que l'idéologie lepéniste peut produire dans de petits esprits...
Je veux saluer publiquement ici la réaction de Madame le Ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, ainsi que celle des syndicats de policiers qui ont clairement condamné ces actes.
Qu'il me soit permis aussi de mettre en valeur le travail réalisé par le Directeur Départemental de la Sécurité Publique et tous ses collaborateurs: chaque jour, ils oeuvrent pour que la sécurité publique existe dans notre ville, dans le respect des personnes.
Scrupuleusement attentif au comportement de ses hommes, le DDSP veille à ce que les Amiénois vivent en sécurité, dans le respect de la dignité des personnes, quelque soit leur origine.
Alors, ce ne sont pas quelques brebis galeuses, légitimement sanctionnées, qui vont me faire changer d'avis: merci aux hommes et aux femmes de la Police Nationale d'assurer notre sécurité!
Merci, Monsieur Authier, pour votre engagement au service des Amiénois!
08:00 Publié dans France | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 11 février 2008
L'agenda de ma semaine
Lundi 11 février : Porte-à-porte dans le cadre des élections municipales dans le quartier Sud-Est.
Mardi 12 février : Porte-à-porte dans le cadre des élections municipales.
Réunion sur la sécurité publique.
Mercredi 13 février : Réunion du PPE à Bruxelles.
Jeudi 14 février : Audition du "livre vert de la mobilité urbaine" dans le cadre de la commission des transports à Bruxelles.
Vendredi 15 février : Convention Nationale du Nouveau Centre à Paris.
Rencontre avec un bailleur social d'Amiens à Bruxelles.
08:00 Publié dans Mon Agenda | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 08 février 2008
60%!
60 % : C'est le pourcentage des Français qui estiment que l'appartenance de leur pays à l'UE est une bonne chose, d'après l'Eurobaromètre de l'automne 2007.
En hausse de 8 points par rapport au printemps 2007, ce résultat est le plus élevé enregistré en France depuis 1991. Pour la première fois depuis une quinzaine d'années, les Français redeviennent plus europhiles que la moyenne européenne.
11:20 Publié dans Votre Europe | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 07 février 2008
La Constitution européenne ressuscitée par les poètes
"Il n'existe pas de peuples grands et petits
Nul d'eux n'est supérieur à aucun d'eux
Chaque langue est une infinie richesse
Un moyen d'entendre le monde entier".
La Constitution européenne ?
Oui c'est elle, revisitée par un "Collectif de poètes bruxellois", qui s'est lancé le défi de rédiger une Constitution en vers avant les élections européennes de 2009.
Le 31 janvier, journée de la Poésie aux Pays-Bas et en Flandre, le Collectif, accueilli par André De Munter et le Bureau d'information de Bruxelles, est venu présenter au Parlement européen le préambule de cette Constitution lyrique, en français et en néerlandais.
Le public était au rendez-vous, plus cosmopolite que celui qui remplit habituellement les salles de réunions de commissions.
Selon David Van Reybrouck, littérateur et chroniqueur flamand, initiateur de cette Constitution lyrique, il s'agit, par le truchement des poètes, de permettre aux citoyens de se réapproprier un projet européen dont ils se sentent aujourd'hui éloignés. Continuer à "rêver, penser, négocier cette vraie Europe" en "citoyens libres et engagés".
Par écran interposé, l'ancien vice-président de la Convention européenne Jean-Luc Dehaene, s'est félicité de cet élan constitutionnaliste lyriquement citoyen.
Car même s'il se réjouit, comme la majorité de ses pairs, que le Traité de Lisbonne ait sauvegardé l'essentiel de la Constitution défunte, il regrette qu'on ait désormais "un texte de même valeur que la Constitution... mais que personne ne comprend".
Regrets partagés par Anne Van Lancker, députée européenne et présidente du Mouvement européen en Belgique, qui a prodigué ses encouragements au Collectif et s'est montrée sévère vis-à-vis d'un Traité "illisible et inaccessible".
21:47 Publié dans Europe | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 05 février 2008
François Sauvadet : "Remettre en perspective l'action du Gouvernement"
Les députés du Nouveau Centre à l'Assemblée nationale française ont demandé à François Fillon, qu'ils ont reçu mardi lors de leur réunion de groupe, de "remettre en perspective l'action du gouvernement", a déclaré leur chef de file, François Sauvadet.
"Nous avons demandé à M. Fillon, tout en apportant notre soutien à sa politique de réformes, de remettre en perspective l'action du gouvernement, qu'on l'insère davantage dans un projet global", a déclaré M. Sauvadet lors de son point de presse hebdomadaire.
Précisant avoir "évoqué les sujets qui préoccupent les Français, notamment les petites retraites, les pensions de réversion" M. Sauvadet a souligné qu'"il y a des impatiences notamment sur le pouvoir d'achat".
"Il y a eu beaucoup de réformes d'engagées, comme la réforme des régimes spéciaux ou le service minimum, il faut maintenant qu'on mettre en perspective l'action gouvernementale pour les mois qui viennent", a-t-il argué.
"Il faut bien expliquer aux Français la direction où l'on va, réaffirmer que c'est par le travail qu'on assurera des solidarités", a-t-il poursuivi.
Le NC a notamment proposé à M. Fillon que "le plafonnement des niches fiscales puisse être utilisé pour des mesures de solidarité à l'égard des plus petites retraites et des pensions de réversion".
Lors du débat budgétaire à l'Assemblée en octobre, la gauche, le NC mais aussi plusieurs députés UMP comme Pierre Méhaignerie, président de la commission des Affaires sociales, et Gilles Carrez, rapporteur général du budget, s'étaient prononcés pour un plafonnement des niches fiscales. La commission des Finances de l'Assemblée a mis en place une mission sur ce sujet.
Photo : François Sauvadet et Nicolas Perruchot.
14:50 Publié dans France | Lien permanent | Commentaires (0)
Choisissez le dessin de la nouvelle pièce de 2 euros!
Ce dessin est choisi par les citoyens et résidents de l'UE qui votent sur le site web créé à cette occasion. Le vote est ouvert du 31 janvier au 22 février 2008.
L’Union économique et monétaire (UEM) et l’euro
Le 1er janvier 1999, l'euro est devenu la monnaie des onze premiers pays participants et une politique monétaire unique a été mise en place sous l'égide de la Banque centrale européenne (BCE). Les billets de banque et pièces libellés en monnaie nationale ont subsisté comme subdivisions de l'euro jusqu'à leur remplacement physique par des billets et pièces libellés en euros en 2002.
L'Union économique et monétaire (UEM) est le cadre politique et économique qui soutient l'euro et complète le marché unique de l'Union européenne. L'UEM a permis de brider l'inflation et les taux d'intérêt, au bénéfice des consommateurs et des entreprises, et a favorisé des finances publiques saines et viables. La monnaie unique a supprimé les frais de change et facilité les échanges et les comparaisons de prix entre les 15 pays qui constituent actuellement la zone euro.
Choix du dessin de la pièce commémorative de 2 euros
Pour fêter le 10e anniversaire du lancement de l'UEM et de l'euro, tous les pays de la zone euro vont émettre début 2009 une pièce commémorative de 2 euros comportant le même dessin.
Dans le cadre d'un concours organisé entre les instituts d'émission de la zone euro, les directeurs des Monnaies ont procédé à une présélection; le dessin final est sélectionné exclusivement par les citoyens et résidents de l'UE qui votent sur le site web spécialement créé à cette occasion.
Le dessin gagnant sera celui ayant reçu le plus grand nombre de votes. Une personne sera sélectionnée parmi celles ayant voté pour le dessin final. Elle gagnera un ensemble de pièces de collection en euros d'une grande valeur. Le vote est ouvert du 31 janvier au 22 février 2008. Le dessin gagnant sera annoncé le 25 février 2008.
09:55 Publié dans Europe | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 04 février 2008
L'agenda de ma semaine
Lundi 4 février : Réunion du Comité de Quartier Saint-Acheul.
Mardi 5 février : Inauguration de la Permanence de campagne de Gilles de Robien.
Mercredi 6 février : Inauguration du clocher de l'église de Saint-Fuscien.
Réunion avec les riverains du parking Jules Verne.
Jeudi 7 février : Jeudi chez vous dans le quartier Renancourt.
Conseil d'Amiens Métropole.
08:00 Publié dans Mon Agenda | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 01 février 2008
Prix Sakharov 2007 pour la Liberté de pensée
L'avocat Salih Mahmoud Osman travaille avec l'Organisation soudanaise contre la Torture pour défendre les nombreuses victimes de la guerre civile au Soudan et dénoncer les cas d'abus de droits de l'homme. A mesure que la violence dans la région du Darfour s'est accrue il a recensé les crimes de guerre et s'est battu pour la protection des quelques 2 millions de déplacés soudanais. 11 décembre 2007 : remise du Prix Sakharov par le Parlement européen pour la liberté de l'esprit à Salih Mahmoud Osman.
08:00 Publié dans Prix Sakharov 2007 | Lien permanent | Commentaires (0)