lundi, 21 juillet 2008
Bonnes vacances à tous! Reprise du blog le lundi 25 août...
A ceux qui restent comme à ceux qui partent, je souhaite des vacances reposantes, rassérénantes et inventives, propices au délassement, à l'étude mais aussi à la joie de faire la fête.
Je vous retrouve sur ce blog dès le lundi 25 août, semaine de la reprise de mes activités de députée européenne à Amiens, Strasbourg et Bruxelles. L'année sera importante et décisive, avec la poursuite de la Présidence française du Conseil de l'Union européenne et la campagne des élections européennes.
Ma permanence reste ouverte durant tout l'été : les lundi, mardi, jeudi et vendredi de 10 à 12 heures et de 14h30 à 17h30. Mes assistants ou des bénévoles seront là pour recueillir vos demandes de rendez-vous et feront le lien avec moi.
Un Livre d'Or est à votre disposition. Vous pouvez y inscrire un mot ou un poème à l'attention d'Ingrid Bétancourt, ex-otage des FARC en Colombie. Je le lui remettrai lors de sa venue au Parlement européen prévue à la rentrée.
Vous pourrez aussi y admirer l'exposition d'une toile de Pippa Darbyshire, comme celle qui illustre cette note, artiste britannique très connue en Baie de Somme.
Bonnes Vacances à Tous!
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vendredi, 18 juillet 2008
Hervé Morin au Grand-Jury RTL-Le Figaro-LCI
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Hervé Morin rencontre des blogueurs
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jeudi, 17 juillet 2008
Les amis de Brigitte Fouré : un site à consulter!
Durant tout l'été, vous pouvez continuer à consulter mon site Internet, Les amis de Brigitte Fouré, et adhérer à l'association!
Sur ce site, vous pourrez retrouver :
-L'édito de Jean-Christophe
-Mes publications "Nord-Ouest Europe Express" en format PDF
-Le courrier des lecteurs
-Plein de photos souvenirs!
-Toutes les vidéos de votre députée sur brigitte.TV
-Un bulletin d'adhésion à l'association
Bon surf!
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mercredi, 16 juillet 2008
Mon ami Jean-Christophe nommé Sous-Préfet
Le Président de la République, Nicolas Sarkozy, a nommé, sur proposition de Michèle Alliot-Marie, le premier sous-préfet tétraplégique. Mon ami Jean-Christophe Parisot, 41 ans, sera secrétaire général de la préfecture du Lot.
C'est un grand moment d'émotion pour moi. Bonne route Jean-Chris!
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mardi, 15 juillet 2008
Le coup de coeur de ces deux mois, c'est Pippa!
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lundi, 14 juillet 2008
La mort d'un immense Européen
L'ancienne figure de Solidarité est décédée, hier, à 76 ans, dans un accident de voiture. Il était l'un des symboles de la dissidence polonaise sous le régime communiste.
Bronislaw Geremek a gagné son dernier combat. Un combat contre la loi de lustration, cette chasse aux sorcières orchestrée, l'an dernier, par les frères Kaczynski. Au nom de la « décommunisation » polonaise, la droite conservatrice avait imposé à 700 000 Polonais de certifier n'avoir jamais collaboré avec la police politique sous le régime communiste. Pour les réfractaires, c'était l'éviction immédiate et l'interdiction d'exercer pendant dix ans.
Contre cette « injustice », Bronislaw Geremek avait fait entendre sa voix : « c'est une loi qui viole les droits de l'homme, qui divise la société, qui salit les élites et introduit l'incertitude dans la vie des citoyens » s'était-il exclamé, devant le Parlement européen, le 23 avril 2007. De ce bras de fer, il était sorti vainqueur, la Cour constitutionnelle ayant invalidé la loi. Le Parlement européen, auquel il a été élu en 2004, s'était d'ailleurs solidarisé avec lui. Il en était devenu l'un des membres prestigieux : héros de la lutte du syndicat anticommuniste Solidarité, principal conseiller de Lech Walesa (dont il s'éloignera plus tard), emprisonné treize mois sous « l'état de siège » en 1982, symbole de la transition politique en 1989, et ministre des Affaires étrangères de 1997 à 2000.
Il croyait en l'Europe
Bronislaw Geremek a péri, hier, dans un accident de voiture près de Lublin, dans l'ouest de la Pologne (sa voiture a percuté un minibus). Être singulier , opposant irréductible au communisme, il était aussi un défenseur acharné de son pays. Un homme de principes pour qui la morale comptait en politique : « Les Kaczynski sont arrivés par les urnes, et je suis fier de cette démocratie. J'espère qu'ils seront rejetés par les urnes » déclarait-il, s'opposant frontalement aux jumeaux ultraconservateurs qui occupaient alors les postes de Président et de Premier ministre de la Pologne.
Même dans cette tourmente, l'ancien cadre de Solidarité ne s'était pas départi de son extraordinaire optimisme. Il avait confié à notre confrère Patrice Moyon, croire beaucoup « à la génération Jean-Paul II pour sortir la Pologne de la tentation du réflexe nationaliste ».
Il ne s'était pas trompé, puisque quelques semaines plus tard le parti des Kaczynski avait été battu aux élections. Lors de cet entretien, l'historien qu'il était avait tenu à souligner tout ce que la France lui avait inspiré, à travers le mouvement personnaliste d'Emmanuel Mounier et la revue Esprit. Il avait aussi rappelé le soutien que lui avait apporté Ouest-France, dont il était un grand ami, lors de son emprisonnement.
En Pologne, Bronislaw Geremek était respectueusement appelé « le professeur ». Issu d'une famille juive, il fut parqué avec sa mère dans le ghetto de Varsovie. Son père mourra à Auschwitz, lui s'en sortira. En 1950, à 18 ans, Geremek rejoindra le Parti communiste : il croit au « socialisme à visage humain ». Ni juif, ni croyant, ni athée, Geremek était un croyant européen.
Lors de son combat contre la loi de lustration, il se cramponnait à son siège de parlementaire européen affirmant que « jamais » il ne démissionnerait. Une bataille de plus ne l'impressionnait pas. Il avait quitté le PC en 1968 après l'écrasement du Printemps de Prague par les chars soviétiques, et après la purge antisémite déclenchée en Pologne à la suite de la révolte étudiante. « Dissident d'un jour, dissident toujours » aimait-il répéter.
Aude ROUAUX (Ouest-France).
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Fête Nationale
L'hymne à la joie chanté devant Nicolas Sarkozy le 14 Juillet 2007, célébration de l'engagement européen.
08:00 Publié dans France | Lien permanent | Commentaires (0)
L'agenda de ma semaine
Lundi 14 et mardi 15 juillet : Commission Transports et Tourisme au Parlement européen de Bruxelles.
Audition de Dominique Bussereau, secrétaire d'Etat aux Transports.
Mercredi 16 juillet : Comité Exécutif du Nouveau Centre à Paris.
Réunion du Nouveau Centre à Amiens.
07:50 Publié dans Mon Agenda | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 11 juillet 2008
Communiqué de presse
Brigitte Fouré dialogue avec les salariés de l’entreprise Cosserat
La députée européenne Brigitte Fouré a reçu récemment une délégation de l’entreprise Cosserat. Depuis cet entretien, l’ancien maire d’Amiens a pris des contacts avec le cabinet de Luc Chatel, Secrétaire d’Etat à l’industrie et à la consommation en vue de trouver une issue acceptable à la situation vécue par cette vieille entreprise amiénoise, menacée de fermeture.
Brigitte Fouré va écrire dans quelques jours aux Présidents d’Amiens Métropole, du Conseil Général de la Somme et du Conseil Régional de Picardie afin de connaître les initiatives qu’ils souhaitent développer pour maintenir l’emploi des salariés de Cosserat.
En outre, la députée européenne va saisir le Préfet et lui demandera d’organiser une table ronde avec les collectivités locales sur le devenir de cette entreprise, fleuron du textile et joyau du patrimoine amiénois.
Contact presse :
Fabrice Hinschberger
Assistant parlementaire
06 75 16 46 87
15:18 Publié dans Social | Lien permanent | Commentaires (0)
Nicolas Sarkozy au Parlement européen
Après un débat de 3 h 20 (un record européen !), une réponse à quasiment tous les députés qui étaient intervenus, et la promesse de revenir « dès que nécessaire », Nicolas Sarkozy a réussi, hier, à Strasbourg, son premier examen de passage devant le Parlement européen.
Il a patiemment exposé les priorités du semestre de la présidence française (immigration, environnement, politique agricole, défense, Union pour la Méditerranée), traitant le Parlement en allié (« Votre engagement sur le paquet climat est déterminant ») et flattant les députés : « S'il y a un lieu en Europe pour définir ce qu'est l'identité européenne, c'est ici ! »
Sens de la répartie
Pour autant, le Président en exercice de l'Union européenne n'a abandonné ni sa verve ni son sens de la répartie. Après avoir tressé des louanges à tous les groupes, des conservateurs britanniques aux socialistes européens, Nicolas Sarkozy n'a pas résisté au plaisir de renvoyer Le Pen dans les cordes : « Nous avons eu, en France, le grand malheur d'avoir l'extrême-droite la plus puissante d'Europe. En vous écoutant, je suis bien content que ce soit terminé », a-t-il lancé, déclenchant un éclat de rire général.
Son propos sur la Chine, n'est pas passé inaperçu. Jeudi, Nicolas Sarkozy avait fait savoir lors d'une rencontre avec le n°1 chinois, Hu Jintao, qu'il assisterait, le 8 août, à l'inauguration des JO de Pékin. « C'est minable ! », l'a apostrophé Daniel Cohn-Bendit, auquel plusieurs parlementaires ont emboîté le pas.
Nicolas Sarkozy, se prévalant du soutien des dirigeants des Vingt-Sept, s'est défendu de passer les droits de l'homme par pertes et profits : « Ce n'est pas par l'humiliation de la Chine que l'on fera progresser la question des droits de l'homme, mais par un dialogue franc et direct. Je ne pense pas qu'on peut boycotter un quart de l'humanité. Je veux y aller et je veux parler ».
Il a demandé, après coup, à Daniel Cohn-Bendit et Bernard Kouchner de « travailler sur une liste de prisonniers politiques » qu'il soumettra au président chinois... Et pour bien signifier qu'il ne cède rien au régime communiste, comme on l'en accusait, Nicolas Sarkozy a mouché l'ambassadeur de Chine à Paris, Kong Quan, qui l'avait menacé de « graves conséquences » s'il recevait le dalaï-lama, mi-août, lors de sa tournée en France : « Ce n'est pas à la Chine de fixer mes rendez-vous ».
Traité de Lisbonne. Nicolas Sarkozy, qui sera à Dublin le 21 juillet, exige une solution « soit en octobre, soit en décembre » pour sortir de la crise provoquée par le « non » irlandais. Il met en demeure le président polonais Lech Kaczynski, qui avait signé le traité à Lisbonne et refuse maintenant de le ratifier : « Quand on apporte sa signature, en Europe, on doit la respecter ».
Commission de Bruxelles. Nicolas Sarkozy souhaite que le Portugais José Manuel Barroso effectue un nouveau mandat, de 2009 à 2015, à la tête de la Commission européenne.
(Source : Ouest-France).
09:40 Publié dans Europe | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 09 juillet 2008
Ingrid Bétancourt libre : Entretien exclusif à France 24
08:00 Publié dans Citoyenneté | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 07 juillet 2008
L'agenda de ma semaine
Lundi 7 juillet : Réunion sur les programmes européens organisés par la Préfecture.
Remise d'une gerbe à mon initiative au monument "Aux Picards Martyrs de la Résistance", Place René-Goblet à Amiens, pour célébrer la libération d'Ingrid Bétancourt.
Réunion du Nouveau Centre, salle des Carmes, à Abbeville, à 20 heures.
Du Mardi 8 au Jeudi 10 juillet : Session plénière du Parlement européen à Strasbourg.
Intervention du Président de la République le jeudi 10 juillet.
Vendredi 11 juillet : Vernissage de l'exposition de Pippa Darbyshire à ma permanence.
Réunion du Conseil de la Société Civile "Amiens Horizon Europe".
Samedi 12 juillet : Célébration d'un mariage à l'Hôtel de Ville d'Amiens.
Dimanche 13 juillet : Garden-party organisé par le Ministre de la Défense à l'Hôtel de Brienne.
08:00 Publié dans Mon Agenda | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 04 juillet 2008
Communiqué de presse "Ingrid Bétancourt"
Brigitte Fouré émue par la libération d’Ingrid Bétancourt
Brigitte Fouré salue avec beaucoup d’émotion la libération d’Ingrid Bétancourt. Présente pour trois jours aux journées d’études du PPE-DE, à Paris, la députée européenne a appris la nouvelle alors qu’elle revenait du Palais de l’Elysée où elle était reçue avec les députés de son groupe parlementaire.
« Je salue les 200 comités de soutiens français qui ont permis, par leurs actions originales et symboliques, de contribuer à cette libération.
Merci à tous les Amiénois qui se sont rassemblés le 23 février dernier devant la cathédrale d’Amiens pour brûler 2191 bougies, rappelant ainsi les journées de captivité de notre compatriote Ingrid, retenues par les FARC en Colombie depuis plus de six ans. »
La députée européenne salue également Marie-Claude Boué, responsable du comité de la Somme, pour le soutien apporté à ses actions depuis plusieurs mois.
Dès sa libération, mercredi soir vers 22 heures, les Jeunes Centristes de Picardie et les Jeunes Populaires de la Somme sont allés brûler les dernières bougies « Ingrid Bétancourt » disponibles à la permanence de Brigitte Fouré sur la Place Gambetta d’Amiens.
Enfin, la députée européenne déclare : « Ingrid Bétancourt a su redonner ses lettres de noblesse à l’action politique en incarnant la bravoure et l’intégrité dans nos sociétés. »
11:20 Publié dans Citoyenneté | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 02 juillet 2008
Présidence française de l'Union européenne
Jusqu'au 31 décembre 2008, la France exerce la présidence du Conseil de l'Union européenne. Explications.
La Présidence du Conseil de l'Union européenne : qu'est-ce que c'est ?
L'article 203 du traité sur la Communauté européenne prévoit une présidence tournante du Conseil de l'Union européenne, exercée à tour de rôle par chaque Etat membre durant six mois. L'Etat membre préside alors chacune des formations thématiques du Conseil de l'UE par l'intermédiaire du ministre compétent, ainsi que le Conseil européen qui réunit les chefs d'Etat et de gouvernement.
La présidence est chargée de fixer l'agenda politique du semestre à travers la définition de quelques priorités. Elle conduit ensuite les débats au sein du Conseil dans le souci de parvenir à des accords politiques sur les différents dossiers en cours.
Le traité de Lisbonne, dont l'entrée en application est prévue pour janvier 2009, modifie la structure institutionnelle de l'UE. S'il ne supprime pas la présidence tournante au niveau du Conseil des ministres, il instaure une présidence plus stable de deux ans et demi à la tête du Conseil européen.
Les priorités de la présidence française La gestion globale et concertée des migrations
Le gouvernement français propose à ses partenaires européens un pacte sur l'immigration. Ce pacte repose sur trois piliers: le refus des régularisations massives, l’harmonisation des régimes d’asile et des négociations sur les accords de réadmission.
La politique de l’énergie et du développement durable La politique européenne de l'énergie vise à la fois à lutter contre le réchauffement climatique et à construire une Europe efficace et indépendante en matière d'énergie. L'objectif de la présidence française est de promouvoir une Europe du développement durable et de l’innovation en mettant l'accent sur la réduction des gaz à effet de serre, la fiscalité écologique, le développement de produits propres et la constitution d’un espace européen de la recherche.
Un programme commun a été élaboré avec les futures présidences tchèque et suédoise pour la période de juillet 2008 à décembre 2009 afin de préparer notamment la conférence de Copenhague sur le changement climatique en décembre 2009.
L’Europe de la Défense Sujet sensible au sein des instances européennes, l'Europe de la défense figure également parmi les priorités définies par le Président de la République, qui considère que le renforcement de l'Europe de la défense n'est pas incompatible avec l'OTAN.
La France souhaite que les ressources de l'UE consacrées à la défense augmentent, afin de donner une réelle crédibilité à l'Europe en la matière.
Bilan de santé et avenir de la Politique Agricole Commune Le réexamen de la Politique Agricole Commune (PAC), et en particulier son financement, est prévu pour 2013. Néanmoins la présidence française souhaite engager "une véritable refondation en profondeur" de la PAC au cours du semestre à venir. La Commission européenne a présenté le 20 mai 2008 des propositions législatives pour le "bilan de santé" de la PAC. Ces propositions seront débattues lors du Conseil des ministres de l'Agriculture, à Annecy, en septembre 2008.
Union pour la Méditerranée L'Union pour la Méditerranée (UPM) sera également un projet phare de la Présidence française de l'Union européenne. Le principe d'une Union pour la Méditerranée a été approuvé par les 27 Chefs d'Etat ou de gouvernement lors du Conseil européen de mars 2008.
Le premier sommet de l'Union pour la Méditerranée aura lieu à Paris les 13 et 14 juillet 2008. Les 44 pays du nord et du sud de la Méditerranée y sont invités pour dessiner les futurs contours de l'UPM.
Rendre l'Europe plus visible Le gouvernement souhaite profiter de cette présidence pour rendre l'Europe plus accessible et plus visible pour les citoyens. Dans cette perspective, une "saison culturelle européenne" sera organisée, au cours de laquelle nos partenaires européens sont invités à présenter le meilleur de leur patrimoine et de leur création au travers de centaines d’événements.
Photo : Les journées d'études du PPE-DE Paris 2008, où je me trouve en ce moment-même (Admirez le logos de l'UMP et celui du Nouveau Centre, ajouté spécialement pour moi!)
15:27 Publié dans Europe | Lien permanent | Commentaires (0)