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vendredi, 21 septembre 2012

Vendredi Europe Express : Journée mondiale de lutte contre la maladie d'Alzheimer

arton12119-dac0e.pngDe nombreuses manifestations sont organisées à l’occasion de la journée mondiale Alzheimer aujourd'hui 21 septembre 2012 en France et dans le monde.

Le comité de suivi de la lutte contre la maladie d’Alzheimer se tiendra aujourd'hui 21 septembre 2012 à l’hôtel de Marigny, en présence de Mme Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé, Mme Geneviève Fioraso, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche et de Mme Michèle Delaunay, ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, en charge des personnes âgées et de l’autonomie.
Il sera clôturé par le président de la République.

 

(Source : sante.gouv.fr).

lundi, 16 juillet 2012

Les principales annonces du Premier Ministre lors de la récente conférence sociale

Question du Sénateur NC Hervé Maurey à propos de la conférence sociale lors de la séance de questions au Gouvernement au Sénat : CLIQUEZ ICI.

PSA : une première sanction sans appel de la politique gouvernementale

NC.jpgPhilippe Vigier, Secrétaire général du Nouveau Centre condamne fermement le plan de licenciement annoncé par les dirigeants de PSA mais considère que le gouvernement actuel n’a pas le droit de s’exonérer de sa responsabilité désormais totalement engagée.

Au plus fort de la crise financière et économique, l'Etat, à travers un plan de soutien de trois milliards d'euros à PSA, a démontré qu'il assumait une véritable politique industrielle en venant en aide au secteur automobile, alors frappé de plein fouet.

Le plan de licenciement annoncé par les dirigeants du constructeur automobile, qui s'était engagé en contrepartie à ne pas fermer aucun site en France en échange de l'aide, est par conséquent purement et simplement indécent.

Indécent car il est inacceptable qu'une entreprise française qui a été aidée par l'Etat pendant la crise joue au poker menteur avec l'argent des Français.

PSA a aujourd’hui une dette envers l'effort national qui ne peut se solder que par le patriotisme économique et le maintien d’un outil de production fort sur notre sol.

Pour autant, l’actuel gouvernement doit désormais cesser d’essayer de rejeter la faute sur son prédécesseur et assumer ses responsabilités sans détours.

La décision de revenir sur la baisse des charges de 13,2 milliards, qui aurait conféré un avantage compétitif aux secteurs  les plus exposés à la concurrence, dont celui de l’automobile, est un signal éminemment négatif adressé à toutes les entreprises aujourd’hui installées en France.

Dans cette perspective, le Nouveau Centre se battra avec une détermination totale contre la suppression de la TVA sociale qui aurait pour conséquence d’alourdir a la fiscalité sur les entreprises, de réduire leur compétitivité et à terme, de détruire des emplois.

PSA supprime 8000 postes en France : un drame national

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Le groupe fermera en 2014 le site d'Aulnay-sous-Bois qui emploie 3000 salariés. De nombreux sous-traitants sont également touchés.

Même s'ils s'attendaient à de mauvaises nouvelles, c'est un choc terrible pour les salariés de PSA. Philippe Varin, le patron du constructeur, a annoncé jeudi un plan de restructuration d'une ampleur considérable. Le groupe va supprimer 8000 postes en France, qui se traduiront par 6500 départs s'il parvient à reclasser 1500 personnes en interne. Ces réductions d'effectifs, qui s'inscrivent dans un plan de départs volontaires courant jusqu'à mi-2013, s'ajoutent aux 1900 suppressions de postes dans l'Hexagone annoncées en novembre. Au total, ce sont donc près de 10.000 postes qui disparaissent.

La mesure la plus symbolique, redoutée depuis un an, est la fermeture, en 2014, du site d'Aulnay, qui emploie 3000 salariés. Il s'agit du premier arrêt d'une usine en France depuis celle de Renault à Billancourt, il y a vingt ans. La production de ce site, qui fabriquait la C3, va être transférée vers celui de Poissy, dans les Yvelines. Le groupe souhaite proposer un emploi à la moitié des salariés à l'intérieur du groupe, surtout à Poissy. La majeure partie de ces personnes devraient, en toute logique, prendre la place des 1300 intérimaires de Poissy. PSA compte aussi trouver des solutions d'emplois en réindustrialisant le site d'Aulnay, avec des activités automobiles, portées notamment par le groupe. Cette annonce, qui était détaillée dans un document de travail interne révélé par la CGT à l'été 2011, n'est pas une surprise. Le groupe cherche à faire tourner à plein Poissy en sacrifiant Aulnay, où les relations sociales sont plus tendues.

Le site de Rennes est aussi très touché, avec 1400 suppressions d'emplois sur 5600. Il s'agit d'un «coup de massue», souligne Didier Picard, de la CFE-CGC, qui rappelle que les salariés de l'usine bretonne, qui comptait 12.000 personnes en 2005, ont déjà fait «d'énormes efforts» puisqu'il s'agit du quatrième plan de réduction en cinq ans. Le site échappe toutefois à la fermeture. Il produira un modèle en 2016, qui pourrait être une voiture compacte de son partenaire Opel, tandis que la remplaçante de la C5 pourrait être fabriquée en Allemagne. D'ici là, ce site, specialisé dans les berlines haut de gamme (508, C6), risque de continuer à souffrir de la baisse du segment et de la concurrence des marques allemandes.

La restructuration concerne aussi largement les salariés ne travaillant pas dans la production, avec 3600 départs prévus sur différents sites français. 1400 postes sont supprimés au pôle recherche et développement, et 1300 à la direction industrielle. Pour l'heure, aucune mesure ne concerne l'usine de Sevelnord, près de Valenciennes. Ce site est fragilisé par le départ de Fiat cette année de la coentreprise qu'il formait avec PSA pour produire des véhicules utilitaires. Le français dit avoir bon espoir de trouver un nouveau partenaire.

 

700 millions de déficit

 

Philippe Varin a dit «être pleinement conscient du caractère douloureux» des annonces ainsi que du «choc et de l'émotion» qu'elles provoquent «dans l'entreprise et au-delà». Pour lui, ces décisions sont la «seule voie» pour «assurer l'avenir du groupe». Il a assuré que «personne ne sera laissé au bord du chemin».

PSA subit de plein fouet la baisse du marché européen, qui représente 60 % de son activité. Sur ce marché, le groupe anticipe une chute de ses ventes de 10 % cette année, ce qui devrait se traduire par un recul de sa production européenne de 21 % entre 2007 et 2012. Résultat, ses usines, sous-utilisées, perdent de l'argent. Sa division automobile a enregistré un déficit d'environ 700 millions d'euros au premier semestre, après 500 millions au second semestre 2011.

Plus grave, le groupe a brûlé environ 1,6 milliard de trésorerie sur les six premiers mois de l'année, selon certains analystes, après 1,5 milliard au second semestre 2011. «Nous perdons 200 millions de cash par mois, une situation qui risque de mettre en péril l'entreprise», a déclaré Philippe Varin. Le groupe compte équilibrer sa trésorerie à partir de la fin de 2014. D'ici à la mi-2013, le plan de départ devrait toutefois coûter 500 millions à PSA, estime la Deutsche bank. Le patron du groupe a en revanche écarté l'idée d'un prêt public, assurant que le groupe dispose d'une sécurité financière encore suffisante. PSA va aussi réduire significativement ses investissements, qui ont beaucoup augmenté pour accompagner son internationalisation et sa montée en gamme, et que le groupe comptait financer par les revenus de ses activités européennes.

Ces mauvaises nouvelles ont provoqué de vives réactions des responsables syndicaux. Bernard Thibault, de la CGT, a évoqué un «séisme», et a estimé qu'il fallait «multiplier par trois, voire quatre» ces suppressions d'emplois, pour «mesurer l'impact» réel «en termes d'emplois». Pour Jean-laude Mailly, de FO, les salariés paient «la facture des erreurs stratégiques du groupe». À la CFTC de PSA, Franck Don, considère que «la baisse des effectifs en R & D est gravissime». De son côté, Anne Valleron, de la CFE-CGC, souligne qu'il faut «travailler pour trouver des solutions pour les salariés».

 

La position du président de la République

 

Par ailleurs, le président de la République, François Hollande, a affirmé lors de l'interview télévisée du 14 Juillet que le plan présenté cette semaine par PSA Peugeot Citroën est  "inacceptable", et que "l'État ne laissera pas faire". "Il doit être renégocié", a-t-il assuré.

Le chef de l'État souhaite engager une concertation pour qu'il n'y ait aucun licenciement sec. François Hollande a répété que sa première mission était la sauvegarde de l'emploi rappelant que le taux de chômage, aujourd'hui à 10%, est un record depuis 12 ans.

Le gouvernement ne peut pas interdire la fermeture du site d'Aulnay, mais "nous pouvons faire en sorte de faire qu'Aulnay reste un site industriel, de la même manière qu'il doit y avoir des garanties sur la pérennisation du site de Rennes", a-t-il ajouté.

L'Etat pourra agir avec "le chômage partiel", "la formation professionnelle" et "les crédits que nous pouvons apporter", a-t-il précisé. "Expertise, concertation et plan stratégique pour l'automobile" (qui sera dévoilé le 25 juillet) constituent les différentes étapes de réaction, a-t-il égrené.

La direction du constructeur a officiellement présenté ce jeudi en comité central d'entreprise son projet de réorganisation et annoncé l'arrêt de la production à l'usine d'Aulnay en 2014. Une fermeture qui concerne 3000 salariés. Au total, le groupe va supprimer 8000 postes en France, dans le cadre de son plan de restructuration. Outre Aulnay, l'usine de Rennes, qui fabrique les Peugeot 508 et Citroën C5 et C6, sera également très touchée: 1400 emplois sur un total de 5600 emplois sont concernés par la réorganisation.

 

(Source : Le Figaro).

mardi, 03 juillet 2012

Tout ce qui a changé depuis le 1er juillet !

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Revalorisation du smic, hausse du prix du gaz, obligation d'avoir un éthylotest dans les véhicules... FTVi a recensé ce qui change pour vous au 1er juillet 2012. 

• Le smic revu à la hausse

Premier changement majeur, qui concerne plus de 2,7 millions de salariés : la revalorisation de 2% du smic, décrétée par le gouvernement en début de semaine. Le salaire minimum horaire brut sera désormais de 9,40 euros, et la hausse de 2% correspondra à près de 21,50 euros net supplémentaires sur la fiche de paie pour un temps plein.

• Les allocations chômage revalorisées

Après une hausse de 1,2% en 2010 et de 1,5% en 2011, les allocations chômage sont revalorisées de 2% cette année, soit un peu plus que l'inflation sur la période de référence (1,9%). L'allocation quotidienne minimale passe à 28,21 euros.

• Flambée attendue des prix du gaz

La revalorisation des prix du gaz, qui intervient habituellement au 1er juillet, devrait cette fois intervenir le 15 juillet. Selon plusieurs sources, la hausse devrait être de l'ordre de 5 à 6% pour les particuliers. Mais le gouvernement pourrait s'y opposer.

• Révision de certains prélèvements sociaux

Les prélèvements sociaux sur les dividendes sont revus à la hausse : les livrets de placement donneront désormais lieu à un paiement à la source de 15,5% sur les intérêts (CSG, CRDS…), au lieu de 13,5% actuellement. Les livrets A, d'épargne populaire et de développement durable ne sont pas concernés.

• Ethylotest obligatoire dans les véhicules

Calé entre le gilet jaune et le triangle, l'éthylotest doit trouver sa place dans la boîte à gants à partir du 1er juillet. Les automobilistes et motards réfractaires s'exposeront à une amende de 11 euros, qui n'entrera cependant en vigueur qu'au 1er novembre. Selon un sondage Ifop publié samedi 30 juin, seuls 37% des automobilistes interrogés déclarent avoir déjà un éthylotest dans leur véhicule.

• Les Belges flashés en France paieront leur amende

Fini l'impunité pour les automobilistes belges auteurs d'excès de vitesse en France. Après les Suisses et les Luxembourgeois, les conducteurs belges flashés par un radar sur le sol français devront à leur tour payer leur amende, en vertu d'un accord entre les deux pays. Réciproquement, un automobiliste français pourra être poursuivi par les autorités belges en cas d'excès de vitesse.

• Couvre-feu pour les enseignes commerciales lumineuses

Enfin, entre 1 heure et 6 heures du matin, les publicités et enseignes commerciales devront désormais être éteintes. Un dispositif qui permettra d'économiser l'équivalent de la consommation annuelle de 260 000 ménages, mais qui ne s'appliquera pas dans les villes de plus de 800 000 habitants.

(Source : France Télévisions).

jeudi, 23 juin 2011

Margie Sudre dans un colloque sur les addictions demain à Amiens

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COMMUNIQUE
 
sudre%20margie.jpgLe Groupement d'Alcoologie et d'Addictologie de la Région Picardie (GAARP) organise un colloque sur le thème Cultures et Addictions le vendredi 24 juin dès 13h30 à l'amphithéâtre du Centre Hospitalier Philippe-Pinel.

Avec la présence exceptionnelle de Madame le Docteur Margie Sudre, qui fut ministre, présidente du conseil régional de La Réunion et députée européenne.

Colloque ouvert au grand public. Entrée libre.

Renseignements et inscriptions au 03 22 53 46 32 (de 9 à 12h) ou sur secsesame@ch-pinel.fr

vendredi, 11 juillet 2008

Communiqué de presse

Brigitte Fouré dialogue avec les salariés de l’entreprise Cosserat

 

image.gifLa députée européenne Brigitte Fouré a reçu récemment une délégation de l’entreprise Cosserat. Depuis cet entretien, l’ancien maire d’Amiens a pris des contacts avec le cabinet de Luc Chatel, Secrétaire d’Etat à l’industrie et à la consommation en vue de trouver une issue acceptable à la situation vécue par cette vieille entreprise amiénoise, menacée de fermeture.

Brigitte Fouré va écrire dans quelques jours aux Présidents d’Amiens Métropole, du Conseil Général de la Somme et du Conseil Régional de Picardie afin de connaître les initiatives qu’ils souhaitent développer pour maintenir l’emploi des salariés de Cosserat.

En outre, la députée européenne va saisir le Préfet et lui  demandera  d’organiser une table ronde avec les collectivités locales sur le devenir de cette entreprise, fleuron du textile et joyau du patrimoine amiénois.

 

Contact presse :

Fabrice Hinschberger

Assistant parlementaire

06 75 16 46 87

15:18 Publié dans Social | Lien permanent | Commentaires (0)