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jeudi, 15 mai 2025

Qu'est-ce que la Plateforme des Images, de l'Innovation et de la Création (PIC) ?

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La PIC sera dédiée à la promotion des arts visuels, une filière d’excellence de la région. 
Avec ses 11000 m2 dédiés à l'innovation, aux images et à la création, la future plateforme devra, à l’horizon 2027, redonner vie à l’ancien Tri postal de la rue Dejean. 

Située au cœur du quartier Gare la Vallée, la PIC est un exemple de reconversion d’une ancienne friche industrielle qu’était la Plateforme Industrielle de Courrier. Elle s’inscrit dans une démarche d’économie circulaire en préservant le patrimoine existant et en réutilisant le site.

Plus d'informations sur le site amiens.fr :  CLIQUEZ ICI.

mercredi, 14 mai 2025

Bientôt, un nouveau Parc de La Hotoie

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Le parc de la Hotoie est un lieu de vie autant pour la promenade que pour le sport ou les manifestations de grande ampleur. Il rassemble un très grand nombre d’usages mais malgré sa place essentielle dans le quotidien des Amiénois, le parc n’a pas subi de restructuration majeure depuis les années 50.

Depuis septembre 2021, la réhabilitation du parc de la Hotoie se construit grâce à la concertation des habitants, des élus et des équipes techniques de la collectivité.

Pour plus d'informations : CLIQUEZ ICI et CLIQUEZ ICI.

jeudi, 08 mai 2025

"Amiens se reconstruit" : une conférence proposée demain par le Souvenir Français

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mercredi, 07 mai 2025

Projet de liaison ferroviaire Roissy-Picardie : bientôt un nouvel élan pour Amiens !

C’est une avancée que notre territoire attendait depuis longtemps. En 2026, Amiens sera reliée en seulement 1h02 à l’aéroport Roissy – Charles-de-Gaulle grâce à la nouvelle liaison ferroviaire Picardie-Roissy.

Ce projet ambitieux de 360 millions d’euros représente bien plus qu’un gain de temps : c’est un tournant stratégique pour l’avenir de notre ville. Cette nouvelle ligne de 6,5 km permettra aussi de créer plusieurs allers-retours TER quotidiens entre Amiens et Roissy, via Creil, Chantilly-Gouvieux et Survilliers-Fosses.

C’est une réponse concrète aux besoins des usagers du quotidien, notamment les nombreux travailleurs de l’Oise et de la Somme qui se rendent chaque jour dans la zone aéroportuaire. Mais les bénéfices dépassent le cadre local : deux nouvelles lignes TGV relieront Amiens à Lyon, Marseille et Strasbourg, avec des temps de trajet réduits jusqu’à 40 minutes. Par correspondance, c’est l’ensemble du réseau à grande vitesse au départ de Roissy qui s’ouvre à nous.

C’est aussi un signal fort en matière d’intermodalité, d’attractivité résidentielle et de développement durable. Amiens renforce ses connexions avec la région parisienne et affirme sa place dans la dynamique nationale. Notre majorité municipale salue avec force cette avancée. Elle correspond à notre vision d’un territoire ouvert sur le monde entier, connecté et tourné vers l’avenir. Amiens a tout à y gagner. Nous serons au rendez-vous !

 

(Tribune du groupe majoritaire Amiens ensemble, présidé par Brigitte Fouré, parue dans le Journal des Amiénois (JDA) n°1116 en date du 7 mai 2025).

mardi, 06 mai 2025

La passerelle Samarobriva va bientôt reprendre du service

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La nouvelle passerelle Samarobriva relie les deux rives de la Somme entre le parc Saint-Pierre et le boulevard du Cange et va être remise en service ce mois de juin 2025. Pour plus d'informations : CLIQUEZ ICI.

Déjà, en 2022, fut mise en service la passerelle L'Hortillonne, qui connecte le centre-ville aux Hortillonnages : CLIQUEZ ICI.

Et puis, l'an dernier, le 24 avril 2024, veille de la Journée de l'Anzac, c'est le pont de l'amitié franco-australienne qui fut inauguré au Jardin des plantes. Son idée était due à l’Australien George Hulse, lieutenant-colonel retraité et membre de l’association 1 Field Squadron Group - Royal Australian Engineers, association de vétérans du génie australien, des ex-sappers. Il s’agissait de faire don d’un pont miliaire à Amiens en souvenir des sacrifices des troupes de l’ANZAC (australiennes et néo-zélandaises) pendant la bataille de la Somme. Pour plus d'informations : CLIQUEZ ICI.

Pour une meilleure qualité de vie, Amiens se rénove petit à petit

Chantier.jpgTrois chantiers se verront également livrés dans quelques mois à Amiens : il s'agit du nouveau commissariat de la Police Nationale, qui sera situé près du site de l'ancien hôpital nord, des Halles de frais, à côté du beffroi, totalement rénovées et de la Lune des Pirates 2, rue Saint-Leu, qui permettra une offre complémentaire à la Lune des Pirates, quai Bélu, en matière de musique contemporaine.

dimanche, 04 mai 2025

Le zoo d'Amiens poursuit sa mue

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C’est LA nouveauté de cette nouvelle saison au zoo d’Amiens. Après la création des zones Archipels et Rivages et l’arrivée des tigres en 2020, l’ouverture du restaurant Le Pavillon bleu en 2021, la refonte des zones Clairière et Équateur les deux années suivantes, l’avant-dernière étape de sa métamorphose se concrétise aujourd’hui avec son pôle oriental de 2 500 m2 dessiné par l’architecte Bruno Mader. Construit en matériaux écologiques, ce bâtiment élégant raccordé au réseau de chaleur s’intègre à la fois au paysage naturel de La Hotoie et au Faubourg-de-Hem.

Pour plus d'informations : CLIQUEZ ICI.

vendredi, 02 mai 2025

En 2026, la piscine Le Nautilus fera peau neuve

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Après trois décennies d’exploitation, Le Nautilus présente des signes de vétusté structurelle, une détérioration des bassins et de ses actuelles fonctionnalités qui deviennent inadaptées aux attentes actuelles. Ce qui a conduit à une baisse de fréquentation de l’équipement.

Face à ce constat, Amiens Métropole a mandaté le cabinet d’architecture TNA Architectes, spécialisé dans la rénovation et la construction d’équipements aquatiques, pour une restructuration complète de la piscine.

Durant toute la durée des travaux, les piscines Aquapôle et du Coliseum restent à votre service !

Pour plus d'informations : CLIQUEZ ICI.

vendredi, 18 avril 2025

Où en est le Canal Seine-Nord-Europe ?

Pour en savoir plus : CLIQUEZ ICI.

lundi, 21 octobre 2024

Renzo Piano au micro de France Inter

Renzo Piano, architecte italien de renom, qui a, notamment, réalisé le Campus Citadelle à Amiens, était l'invité de Léa Salamé sur France Inter jeudi dernier 17 octobre.

mercredi, 09 octobre 2013

Café-Europe ce qoir au Bowling Mont-Blanc (BMB) à Amiens de 20 à 22 heures !

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Attention, changement d'horaires : ce Café-Europe a finalement lieu de 20 à 22 heures.

mercredi, 25 septembre 2013

Deux mois de travaux sur la ligne SNCF Amiens-Paris, deux mois de retards

France_Bleu_Picardie.gifPour lire l'article sur le site de France Bleu Picardie, CLIQUEZ ICI.

vendredi, 05 juillet 2013

Brigitte Fouré : « Je veux être la candidate qui propose un réel changement de cap sur la politique des déplacements à Amiens »

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COMMUNIQUE DE PRESSE

Vendredi, 5 juillet 2013

Brigitte Fouré : « Je veux être la candidate qui propose un réel changement de cap sur la politique des déplacements à Amiens  »

 

« A l’heure où s’achève à la fois le premier et le dernier mandat de Gilles Demailly, le constat que je tire de la politique des déplacements à Amiens est un échec sur plusieurs niveaux : Echec sur l’utilisation optimisé des modes alternatifs de déplacements à la voiture. Echec sur les aménagements invraisemblables tant en faveur des transports en commun et des pistes cyclables qu’envers les automobilistes. Echec en matière de concertation des habitants sur la réalisation des grands projets de déplacements, comme l’aménagement de l’axe Barni-Ferry et enfin, échec sur la bonne appréciation des amiénois vis-à-vis de la politique des déplacements.  

Durant ces cinq dernières années, les mécontentements des amiénois n’ont jamais été aussi nombreux et clairement affichés. C’est la raison pour laquelle j’ai créé une commission de réflexion sur les Déplacements urbains  en vue de préparer un programme clair et adapté aux amiénois.

Je veux être la candidate qui propose un réel changement de cap sur la politique des déplacements à Amiens. Cela doit passer par la préparation de nombreux projets comme l’arrivée du TGV à Amiens à l’horizon 2019, grâce à la mise en service du barreau Creil-Roissy, la desserte du CHRU et du futur pôle étudiant de la Citadelle. Pour cela, j’accompagnerai la mise en place du tramway mais je reverrai totalement le projet de Gilles Demailly qui me semble inadapté et incohérent sur de nombreux points. Je crois en effet qu’il faut relier les différents quartiers au centre-ville et permettre de dynamiser les secteurs concernés. Amiens Métropole a besoin de cet équipement structurant et ambitieux. Mais avec un financement maîtrisé et un tracé  efficace.

Ce moyen de transport doit redynamiser le centre-ville, attirer les entreprises et capter des investisseurs potentiels. Enfin, il permettra de créer des emplois grâce aux travaux réalisés, à l’exploitation future et au développement de projets dynamiques autour du projet. Si je suis élue maire, je donnerai la priorité à l’embauche locale sur le chantier.

 

Je souhaite également améliorer la qualité des déplacements pour tous en favorisant l’utilisation de transports en commun rapide, pratique, confortable et accessible tout en réalisant des économies d’énergie (meilleure qualité de l’air, diminution de la pollution sonore).

En outre, il faut intégrer ce projet à une refonte du système actuel : améliorer le plan de circulation des bus et, pourquoi pas, utiliser en grande partie les rails RFF pour faire circuler un tram-train en mettant en exergue l’offre déjà existante et en l’améliorant (gares de Longueau, Boves, quartier Saint-Roch, Dreuil, Saleux, Poix de Picardie, Corbie…)

Se déplacer aisément constitue un atout majeur pour la qualité de notre vie quotidienne, pour notre environnement, notre économie et pour l’attractivité de notre ville. Je veillerai qu’aucun quartier d’Amiens ne soit oublié dans la desserte des transports en commun.

Pour préciser toutes ces idées, je dévoilerai mes idées au cours du dernier trimestre de cette année, en réservant quelques surprises aux amiénois ».

 

 

CONTACT PRESSE - 06 47 54 95 47.

mercredi, 15 mai 2013

Stéphane Demilly lance une page sur Facebook pour défendre le projet de Canal Seine-Nord Europe

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Pour lire l'article sur le site de France 3 Picardie, CLIQUEZ ICI.

mardi, 30 avril 2013

Canal Seine-Nord : Les requêtes de Brigitte Fouré et d'Hubert de Jenlis auprès de Barbara Pompili

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COMMUNIQUE DE PRESSE

Mardi, 30 avril 2013

Les conseillers généraux Brigitte FOURE et Hubert de JENLIS ont rencontré hier lundi la députée Barbara POMPILI afin de faire connaître leur mécontentement au sujet du Canal Seine-Nord-Europe

 

Brigitte FOURE, Conseillère générale d’Amiens V Sud-Est, et Hubert de JENLIS, Conseiller général d’Amiens VI Sud, ont tous deux rencontré hier la députée de leur circonscription Barbara POMPILI (EELV) afin de leur faire part de leur mécontentement au sujet du projet de Canal Seine-Nord-Europe, malmené par l’actuel gouvernement. En effet, le Canal Seine-Nord, long de 106 kms entre Janville au nord de Compiègne et Oisy-le-Verger au nord de Cambrai,est le chaînon manquant indispensable pour assurer la continuité du transport fluvial entre la France, la Belgique, les Pays-Bas et l’Allemagne et promouvoir un nouveau système durable de transport de marchandises à l’échelle européenne, alternatif à la route. Le projet prévoyait quatre ports intérieurs, dont deux proches de Saint-Quentin, Nesle et Péronne, devant générer à eux seuls plus de 4 000 emplois, en supplément des 5 000 directs pour la construction du canal, perspectives soulageantes qui ne manqueraient pas de rejaillir sur le bassin d’emplois amiénois.

Pour Brigitte FOURE et Hubert de JENLIS « Ce projet, qui a fait jour en 1985 est un atout sur le plan économique mais aussi environnemental. Nous ne pouvons pas passer à côté d’une telle chance pour la Picardie, qui a trop souvent été oubliée des grands schémas d’aménagement du territoire ! De très nombreux parlementaires de l’actuelle Majorité présidentielle soutiennent le projet, notamment dans le Nord Pas de Calais, y compris la Sénatrice EELV Marie-Christine BLANDIN. En tant que co-présidente du groupe EELV à l’Assemblée Nationale et Députée de la Somme, Barbara POMPILI doit soutenir ce projet auprès du gouvernement, Il en va de sa responsabilité. Nous  lui demandons d’agir avant tout auprès du Gouvernement. Il est inconcevable qu’un tel impact sur la lutte contre le réchauffement climatique n’intéresse pas une députée écologiste ! Mme POMPILI doit penser aux intérêts de son territoire qui s’inscrivent parfaitement dans l’objectif de baisse du chômage prôné par le Gouvernement qu’elle soutient »

 

CONTACTS PRESSE : 06 47 54 95 47 (Brigitte FOURE) – 06 78 93 93 97 (Hubert de JENLIS).

vendredi, 07 septembre 2012

Vendredi Europe Express : Bernard Cazeneuve, ministre des Affaires européennes, était hier à Amiens

Cazeneuve B..jpgD'accord pour encore financer le monosite hospitalier mais aucune promesse pour le canal Seine-Nord: le ministre des Affaires européennes était au CHU hier.

Le ministre délégué chargé des Affaires européennes, Bernard Cazeneuve, n'est pas venu par hasard hier, sur le chantier du monosite hospitalier d'Amiens, pour évoquer le Pacte européen de croissance, ainsi que le rôle de la Banque européenne d'investissement (BEI).

Cette dernière, en effet, a accordé 250M€ de financements pour ce projet dont le «coût d'objectif» était de 516 M€ en 2003. Problème: le coût prévu est aujourd'hui de... 630M€ en raison de l'augmentation des prix et de la réglementation.

Qu'à cela ne tienne: François Hollande a été élu président de la République, il a négocié un Pacte européen de croissance et la BEI doit être recapitalisée.

Lire la suite de l'article sur le site du quotidien régional Le Courrier Picard : CLIQUEZ ICI.

 

mardi, 13 décembre 2011

Dossier spécial Rail (2/3) : La Ligne à Grande Vitesse Rhin-Rhône a accueilli ses premiers voyageurs

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TGV.jpgLe TGV Rhin-Rhône est entré en service commercial hier. 140 kilomètres de lignes nouvelles entre Dijon et Mulhouse qui vont aussi bouleverser la vie économique de la Franche-Comté.

La mise en service hier du TGV Rhin-Rhône va bouleverser le paysage économique de la Franche-Comté. La construction de 140 kilomètres de lignes nouvelles sur l'itinéraire Dijon -Mulhouse permettra à 11 millions de passagers de gagner 1 heure à 1 h 30 sur de nombreuses destinations. Un désenclavement attendu depuis des lustres par les acteurs politiques et économiques franc-comtois qui viennent de lancer une campagne de communication, « L'originale Franche-Comté » (2 millions d'euros sur deux  ans).

Entre Belfort et Montbéliard, l'attente est la plus forte. C'est là que le premier TGV fut construit il y a trente ans, et c'est là que le gain de temps est le plus évident : de 3 h 40 à 2 h 16 pour rejoindre Paris. « Une révolution », selon Alain Seid, le président de la chambre de commerce du Territoire de Belfort et du Club TGV de l'Aire urbaine, constitué pour accompagner l'événement. Au menu, un projet de lycée international. « Pour les entreprises de la Vallée de l'énergie qui vient de voir le jour et qui attend beaucoup du TGV, c'est incontournable », affirme-t-il. Dans un bassin d'emploi essentiellement automobile, l'énergie est un secteur de diversification prometteur. Mais une autre diversification se dessine avec l'horlogerie suisse. L'arrivée du TGV et l'achèvement de l'autoroute A16 facilite en effet la création de zones d'activité à la frontière, à quelques kilomètres à Boncourt et Chevenez. Swatch et Tag Heuer implantent des sites de production qui créeront chacun 200 emplois d'ici à 2013. Swatch en annonce 700 à moyen terme, et Sonceboz SA, société microtechnique suisse, prévoit également 300 emplois à Boncourt. « La localisation convient à ces groupes », analyse Thierry Bregnard, chef du service économie de la République et canton du Jura. « Nous avons du foncier disponible, nous avons relancé notre école d'horlogerie et il y a des possibilités de développement avec la main-d'oeuvre frontalière », ajoute-t-il.

Bassin d'emploi pour l'horlogerie

Conjuguée à l'effet TGV, la proximité du bassin d'emploi est une aubaine pour l'horlogerie suisse, qui a déjà saturé le pays horloger, plus au sud. « 700 ou 800 emplois se créent à proximité d'un territoire qui compte 11 % de chômeurs », confirme Gilles Curtit, le président de la CCI de Franche-Comté. Et tout sera encore plus simple fin 2014, lorsque la ligne TER franco-suisse Belfort-Delle-Porrentruy desservira ces zones d'activités et sera connectée à la gare TGV. En Franche-Comté aussi, les aménageurs sont à pied d'oeuvre. Les travaux du parc tertiaire jouxtant la gare de Besançon-Franche-Comté seront lancés en 2012. A terme, l'ensemble pourrait accueillir 3.500 salariés.

Pour la suite, 50 kilomètres de ligne restent à financer de part et d'autre de la première tranche de la branche Est, 35 kilomètres entre Belfort et Mulhouse, et 15 kilomètres entre Petit-Croix et Dijon. Le budget est estimé à plus de 1 milliard d'euros. Après trois mois de discussion entre Etat, RFF et collectivités, un accord politique a été trouvé entre les parties. Les collectivités concernées soumettent cet accord à leurs assemblées en ce moment. Un protocole de financement devrait être signé en 2012, puis les appels d'offres en 2013, pour démarrer les travaux en 2014.

 

 
(Source : Les Echos).